Il était le plus vieux vainqueur d’un tournoi du Grand chelem encore en activité. Avec son Roland-Garros 1998, plus belle pièce d’une armoire à trophées remplies de 20 breloques, il était même le dernier vainqueur d’un Majeur dans les années 1990 à n’avoir pas raccroché. La dernière survivance d’une ère passée, quand les surfaces ne différaient pas que par leur couleur, quand l’Oncle Sam régnait encore sur le tennis, quand le jeu ne s’encombrait pas d’une quelconque classification d’un « plus grand joueur de tous les temps ». Avec la retraite de Carlos Moya, c’est une page qui se tourne. Lleyton Hewitt devient le doyen des vainqueurs en Grand chelem, juste devant Juan Carlos Ferrero, Roger Federer et Andy Roddick qui se tiennent dans un mouchoir de poche. Et en même temps que ces gars-là deviennent les papys du circuit, c’est nous qui prenons un coup de vieux.
Comme la plupart des joueurs Espagnols, le Majorquin Carlos Moya a préféré faire ses classes en Challenger plutôt qu’user ses fonds de culotte sur le circuit junior. A peine un an après être passé professionnel, il réalise ses premiers « coups » : titre à Buenos Aires, demi-finale au « Godo » de Barcelone, finale à Munich en battant au passage celui qui est alors l’ogre de la terre battue, Thomas Muster. De là à imaginer le séisme qu’il allait provoquer début 1997… Alors que l’Open d’Australie se déroule sous une canicule extrême, le genre de cagnard dont seules les antipodes ont le secret, Carlos Moya élimine d’entrée le tenant du titre Boris Becker. Un soupçon plus frais que l’Allemand, il s’impose 6/4 au cinquième set. « Charly » » est en forme… et en confiance : tour après tour, il progresse dans le tableau, jusqu’à laminer en demi-finale le N°2 mondial – et finaliste 1996 – Michaël Chang. L’aventure Moya s’arrêtera en finale. La marche est trop haute, l’adversaire trop rompu aux joutes pour le titre du dernier dimanche ; Pete Sampras ne fait qu’une bouchée de lui.
De retour d’Australie, Moya réalise rapidement l’ampleur de ce qu’il a réalisé ; avec sa belle gueule, son profil aquilin encadré de cheveux longs, l’attente suscitée est énorme en ces temps où « España » rime avec Bruguera, Arantxa et Conchita. Carlos Moya amène la touche flamboyante qui manquait cruellement à ses aînés, un physique avenant apte à convertir les filles au tennis et surtout un jeu aux antipodes de la lime chère à l’école espagnole : très bon serveur, doté de l’un des plus gros coups droits de sa génération (excellent en décalage notamment), pas maladroit au filet, seul son revers peut être taxé de coup « faible », bon coup de remise mais sur lequel il réalise peu de coups gagnants. Bref, Moya n’a pas le profil du terrien typique, celui qui balaye les lignes de fond de court et ne quitte le court qu’à la nuit tombée, après avoir consciencieusement maculé de terre son short et transformé son T-shirt en un torchon détrempé. Il possède au contraire les caractéristiques du joueur polyvalent, au point que le voir briller sur le Rebound ace australien n’a quand on y réfléchit rien d’une surprise. Avec Moya et le Barcelonais Alex Corretja, les Espagnols comprennent tout à coup que bien jouer partout ne signifie pas forcément devenir moins bon sur la surface mère, contrairement à ce qu’avait toujours clamé Sergi Bruguera quand il affirmait « Je ne veux pas progresser sur surfaces dures pour ne pas devenir moins bon sur terre ».
L’exploit australien vite digéré, Moya se stabilise dans le Top 10 grâce à une victoire sur le ciment de Long Island et des finales à Indianapolis, Bournemouth, Amsterdam. Qualifié pour le Masters de fin d’année, il perd en poules sur Patrick Rafter (N°3), mais bat Thomas Muster (N°9) et surtout le N°1 mondial Pete Sampras, futur vainqueur du tournoi (6/3 6/7 6/2). Qualifié pour les demi-finales, il échoue sur Evgueni Kafelnikov.
Carlos Moya est ambitieux et confirme en 1998 qu’il vise ni plus ni moins que la première place mondiale. Son troisième titre ATP sera un Master series, et pas n’importe lequel : Monte-Carlo, l’antichambre de Roland-Garros. Thomas Muster (6/3 6/0), Hicham Arazi (6/1 6/1), Evgueni Kafelnikov (6/2 6/3), Alex Corretja (6/3 6/2), Richard Krajicek (4/6 6/1 6/4) et Cédric Pioline (6/3 6/0 7/5) se font tous rouler dessus. Abordant Roland-Garros en partageant l’étiquette de favori avec Pete Sampras et Marcelo Rios, l’entame de tournoi du Majorquin est anecdotique puisque il n’affronte pas le moindre joueur du Top 100 avant les quarts de finale ! Mais l’affiche qui nous attend ce mercredi 3 juin 1998 est de nature à révéler les champions : c’est ni plus ni moins que Marcelo Rios, l’homme fort du début d’année (finale en Australie, victoires à Indian Wells, Key Biscayne et Rome), qui attend Carlos Moya. Pete Sampras depuis longtemps déjà éliminé, on joue presque pour le titre ce jour-là sur le Chatrier. Mais comme souvent avec Rios il y aura tout dans ce match : les coups de génie (il remporte le second set 6/2, mène encore 2/0 au troisième), avant les coups de Trafalgar : Moya a le mauvais goût de se battre, ce qui agace le Chilien. Et c’est le rebondissement comme seule la terre battue en a le secret : Moya aligne six jeux de suite, gagne le troisième set 6/2. Rios est clairement frustré et s’inclinera en quatre sets à l’issue d’un match décousu (6/1 2/6 6/2 6/4). Carlos Moya doit maintenant assumer le statut de grand favori du tournoi… Ce qu’il va faire avec brio face à ses compatriotes Félix Mantilla, 15e mondial et écarté en quatre sets, et Alex Corretja le dernier dimanche, à l’issue d’une terne finale bouclée en trois sets : Moya était trop fort et Corretja trop bien élevé pour vouloir gâcher la fête de son ami (voir).
L’été qui suit ce premier sacre en Grand chelem est laborieux. Moya subit le contrecoup de l’évènement parisien, fête ce titre comme il se doit et répond favorablement à toutes les sollicitations en Espagne. Il se découvre à l’aise sur les plateaux télés, au point qu’il fera par la suite quelques apparitions dans des films et séries. Porté disparu sur les courts après Roland-Garros, il va pourtant refaire surface à la manière des grands : en Grand chelem. A l’US Open, il atteint les demi-finales après avoir sorti Chang, Corretja et Larsson. Il terminera sa saison par une finale au Masters, finale durant laquelle il mènera deux sets à rien mais qu’il perdra pourtant face à un Alex Corretja qui avait ce jour-là exceptionnellement décidé de se révolter.
Une défaite qui relèvera finalement de l’anecdote car, fort de sa régularité dans les grands tournois, Carlos Moya devient au soir d’une finale d’Indian Wells 1999 le seizième N°1 mondial de l’histoire, le premier venu d’Espagne. Une accession au trône qui se fête. Beaucoup. Se double d’une petite décompression, aussi, l’objectif suprême enfin atteint. Dans ces conditions, la suite de la saison ne peut être qu’en dents de scie : une belle demi-finale de Masters series à droite, (voir), des défaites prématurées à gauche, et au final un titre à Roland-Garros abandonné dès les huitièmes de finale à Andre Agassi, match dans lequel il s’effondre inexplicablement alors qu’il menait tranquillement 6/4, 4/1 double break, facile. Trop facile. L’Espagnol oublie d’enfoncer le clou, sort quelque peu du match, perd finalement ce set 7/5, abandonne le troisième sur le même score, et s’effondre finalement 6/1 au quatrième face à un Agassi qui ne ratait plus rien (voir). En quelques mois, Moya est passé de l’euphorie au doute, découvrant de manière abrupte que le leadership est encore plus difficile à conserver qu’à conquérir. Ou comme il dira plus tard, dans une explication de texte qui éclaire sans doute sur la trajectoire de bien des joueurs : « « Il y a ceux qui veulent devenir numéro 1, et ceux qui veulent le rester pour marquer l’histoire. Je n’entrais pas dans cette seconde catégorie ». Il n’aura passé que deux semaines à la première place mondiale.
Pis, il se blesse sérieusement au dos en fin de saison. L’opération est inévitable. Passage sur le billard, puis repos forcé, sa carrière plonge dans les profondeurs. 2000 est une année difficile, ponctuée par la déception de n’être pas sélectionné en Coupe Davis et de regarder depuis le canapé ses potes Corretja, Costa, Balcells, des gars à qui il mettait la misère peu de temps auparavant, ramener ce Saladier d’argent espéré par tout un peuple depuis près de cinquante ans, emmenés par un petit jeune de 20 ans, Juan Carlos Ferrero. Moya expliquera bien plus tard avoir été blessé de n’être pas sélectionné pour prendre part à l’aventure. Mais, blessé au moment où une équipe se créait, il avait raté le train et le triumvirat Duarte – Perlas – Avendano, qui se partageaient alors le capitanat de l’équipe espagnole, n’avait pas voulu le retenir.
Moya va mettre du temps à revenir. Il se reconstruit pas à pas. Le moment charnière, celui où il refait vraiment surface, c’est Monte-Carlo en 2002. Dans ce tournoi qu’il a gagné quatre ans plus tôt en laminant ce qui se faisait de mieux à l’époque, il manque refaire le coup, tombant Lleyton Hewitt, Alex Corretja, Marat Safin et Tim Henman. Seul Juan Carlos Ferrero, qui s’affirme alors comme le meilleur terrien du moment, parvient à l’arrêter en finale. Battu en cinq sets par Guillermo Canas à Roland-Garros, il se console en remportant peu de temps après le Masters series de Cincinnati. En finale, il bat de nouveau le N°1 mondial Lleyton Hewitt. Une tendance qui ne va pas se démentir : Carlos Moya sera la bête noire du Hewitt période leader du tennis mondial (trois victoires pour une seule défaite).
La seconde période dorée de Carlos Moya vient de débuter : elle comprendra un troisième et dernier titre en Masters series, à Rome ; un titre, forcément prestigieux à ses yeux, à Barcelone ; une finale à Miami ; une nouvelle demi-finale au Masters (voir) ; une place de quatrième mondial occupée plusieurs mois durant ; et surtout une Coupe Davis en 2004, revanche contre le sort et aboutissement pour Moya, fer de lance de son équipe cette année-là (voir). A ses côtés dans l’équipe, on découvre alors un jeune gaucher venu comme lui de Majorque et qu’il a pris sous son aile : Rafael Nadal. Ils s’entraînent ensemble depuis que « Rafa » est ado et c’est à l’aune de Carlos Moya que le neveu de Miguel Angel étalonnera ses ambitions futures. Au point que l’élève dépassera plus tard le maître, mais c’est une autre histoire…
Curieusement pourtant, Moya ne brille plus en Grand chelem ; sans qu’il y ait réellement une explication au phénomène, ce Moya qui ne quitte guère le Top 5, qui brille en Masters series et en Coupe Davis, ne passe plus les quarts de finale en Grand chelem, lui qui y était justement meilleur que partout ailleurs lors de sa « première carrière ». Il pourra notamment nourrir des regrets à Roland-Garros ; si la défaite contre Martin Verkerk en 2003 peut être nuancée par le fait que personne n’aurait sans doute battu Juan Carlos Ferrero cette année-là, il n’en va pas de même pour 2004. Ferrero lessivé par une varicelle, le titre semble devoir se jouer à trois, selon une configuration assez identique à 1998 : un N°1 mondial très attendu mais sans réelles références Porte d’Auteuil, Roger Federer remplaçant Pete Sampras ; un épouvantail des douze derniers mois sur la surface, Guillermo Coria endossant le costume de Marcelo Rios (en remarquera que le parallèle s’étend jusqu’au caractère des deux loustics), et Moya en arbitre de tout ça. Le tirage au sort choisit pourtant de s’en mêler et place – comme en 1998 toujours – Moya et Coria dans le même quart de tableau. Federer éliminé prématurément – comme en 1998 enfin – l’on se retrouve dans la configuration identique lorsque le vainqueur de Monaco et celui de Rome se retrouvent en quarts : le titre pour le vainqueur. Mais Coria sera simplement trop fort ce jour-là. Deux fois dans les deux premiers sets, il reprendra le service de l’Espagnol alors que celui-ci servait pour le set : celui que l’on surnomme « Mini-Moya » se qualifiait en trois sets pour les demi-finales et, vu son niveau à cette époque, semblait bénéficier d’une autoroute vers le titre…
Sa victoire en Coupe Davis acquise, Moya recule assez nettement dans la hiérarchie dès 2005, ce que confirmera encore 2006. C’est donc une réelle surprise de le voir s’offrir un retour dans le Top 20 en 2007, suite notamment à des quarts de finale à Roland-Garros et l’US Open et à une dernière victoire en tournoi, sa cinquième à Umag. Les blessures l’empêcheront hélas de s’offrir des adieux dignes de ce nom. En délicatesse avec son épaule dans un premier temps, opéré ensuite à un orteil, il n’a jamais pu réellement revenir, malgré quelques tentatives à oublier au début de cette saison. A presque 34 ans, Carlos Moya s’apprête, selon ses propres mots, à quitter le circuit « heureux et très impatient de passer à la suite. » La suite ? Le champion espagnol, en couple avec une actrice espagnole, s’apprête d’ici peu à pouponner.
Champion marquant du tournant de millénaire, ayant tutoyé tant Pete Sampras que Roger Federer au sein de l’élite mondiale, Carlos Moya était un joueur attachant, un gars réputé simple, pote avec un peu tout le monde sur le circuit et distingué plusieurs fois du prix Arthur-Ashe saluant les actions humanitaires des sportifs. Sans doute aura-t-il au final trop peu gagné aux yeux des spectateurs les plus exigeants. Mais au-delà de ça le vainqueur de Roland-Garros 1998 respirait l’humilité et le charisme. Ou en un mot comme en cent : juste la classe.
• Roland-Garros 1998
• Monte-Carlo 1998
• Cincinnati 2002
• Rome 2004
• Buenos Aires 1995 – 2003 – 2006
• Umag 1996 – 2001 – 2002 – 2003 – 2007
• Long Island 1997
• Estoril 2000
• Acapulco 2002 – 2004
• Bastad 2002
• Barcelone 2003
• Chennai 2004 – 2005
• Coupe Davis 2004
• Finaliste Open d’Australie 1997
• Finaliste Masters 1998
1/16 Théoriques
Fed-Lopez
Wawrinka-Monfils
Cilic-Gulbis
Montanes-Soderling
Murray(Gasquet)-Baghdatis
Isner-Berdych
Youzhny-Robredo
Garcia-Lopez-Tsonga
Roddick-Monaco
Melzer-Ferrer
Ferrero-Querrey
Hanescu-Djokovic
Verdasco-Kohlschreiber
Almagro-Gonzalez
Ljubicic-Belluci
Hewitt-Nadal
Pourquoi tu fais tout plus vite que moi!
Nadal, Djokovic, Ferer et Verdasco dans la même moitié.
Roddick Ferrer en huitième.
Gulbis contre Soderling en huitième, le vainqueur contre Federer en quart.
Tsonga a un quart très dégagé, si il passe Murray il peut atteindre la demi.
Bien évidemment, c’est théorique.
Il faudrait que Murray passe Gasquet au 1er tour d’abord!
De Dieu le tableau de folie pour Roger!!!!! Monfils ou Wawrinka en 1/8èmes, Soderling ou Gulbis en 1/4 (le match entre ces deux là promet beaucoup!!).
Par contre, en demi, c’est ouvert c’est possible pour Tsonga pour la revanche de l’OA mais Murray a aussi un quart de tableau ouvert (s’il passe Gasquet au premier tour!!)…
Pour le troisième quart du tableau, ça peut se jouer entre Roddick, Ferrer, Ferrero, et Djoko, c’est très très ouvert…
Le dernière partie du tableau va se jouer entre Nadal et… Nadal.
Il a un quart d’une facilité insolente, sauf en 1/4 où il affrontera certainement le vainqueur de Verdasco-Almagro, dont on sait les problèmes qu’ils lui posent habituellement…
Bref, si on croit le tirage, Nadal a un boulevard. Fed beaucoup moins…
Ben tu vois je ne fais pas vraiment la même analyse que toi.
Monfils et Wawrinka ne sont pas des soucis.
Il y a le quart qui est plus compliqué, c’est vrai, mais sinon c’est bon.
Alors que Nadal encaisse Hewitt, Ljubicic, Verdasco puis Ferrer ou Djokovic. C’est quand même pas du gâteau.
Celui qui a du bol, c’est Tsonga: rien jusqu’en demi (parce que Muray sur terre, c’est pas la panacée!).
T’as fait ma réanalyse avant moi, merci!
Remarquez, avec 5 minutes de recul, je me dis que le tableau est finalement assez équilibré…
Mais Nadal domine tellement ses adversaires théoriques que son tirage parait beaucoup plus simple, alors qu’il est simplement progressif.
Quant à Fed, ça parait beaucoup plus dur, mais il évite les purs terriens (sauf Monfils, mais va-t’il arriver jusqu’en 1/8èmes?) qu’il n’aime pas trop habituellement et va se taper les shot-makers qu’il transforme volontiers en jouets…
En tout cas, ça nous promet des matches spectaculaires dans la partie Fed, beaucoup moins dans la partie Nadal ou sont la plupart des purs terriens.
C’est ironique, j’espère!
Si on étudie bien les choses, les deux ont des tableaux favorables puisque dans leur quart, il n’y a pas le type de joueurs qui en termes de style de jeu pourraient les embêter. Tu ferais un échange de quart et ce serait déjà beaucoup plus sulfureux!
Tsonga a un tableau plutôt favorable avec jusqu’en quarts avec Robredo, Youzhny, Berdych, Isner et Murray!
Je ne sais pas pourquoi mais je ne suis pas surpris qu’il ait de tels « cadeaux ». Etrange!
Cadeau?
Leur statut de tête de série les protège, c’est sur, mais sinon:
Federer prend Monfils (demi en 2008, quart en 2009)en huitièmes, Soderling (finaliste 2009) ou Gulbis(homme en forme) en quart.
Nadal prend Hewitt au 3nème tour, Ljubicic en huitième, Verdasco ou Almagro en quart.
C’est pas de la tarte!
Le quart le plus facile, c’est celui de Murray et Tsonga.
Clui de Djokovic vaut celui de tic et tac avec Ferrer dans son quart.
Bref, pas d’accord du tout.
Plus facile le 1/4 de Murray?
C’est le top 4 supposé le moins fort sur TB et je trouve son quart plutôt hard.
Bien sûr, Richie peut revenir à sa tradition hors GOAT 250 et challenger mais tout de même…
Moi je parlais de cadeau pour Jo surtout qui comme par hasard, va se taper le top 4 le plus faible sur terre, l’ »espagnol » le plus faible des espagnols connus etc!
Un peu l’impression que tout est fait pour le propulser en demi-finales, bref la différence avec ses tableaux qu’il a eu en M1000 est tellement criante qu’elle en deviendrait suspecte!
C’est comme l’an dernier, Monfils qui se tape Roddick comme top 8!
Je trouve que le suisse a un tableau assez favorable, à part son quart contre Gulbis ou Soderling il n’y a rien de très compliqué.
Si il joue comme à Madrid il devrait pouvoir atteindre la finale.
Les 1ers tours à suivre
Murray-Gasquet
Mayer-Monfils
Gulbis-Bennetteau
Troïcki-Robredo
Nishikori-Giraldo
Dolgo jr-Clément
Llodra-Belluci
Chardy-Hewitt
Nadal-Mina
Nishikori le revenant? il va se faire broyer m’est d’avis.
Moi, je plains surtout Mina. Ce match risque d’être court, intense, et extrêmement douloureux…
Cool, le retour de Nishikori. Même si on l’attend plutôt pour la suite de la saison. J’espère qu’il pourra revenir à un bon niveau.
Les têtes de séries ne sont pas super bien réparties les spanish d’un coté le reste du monde de l’autre. Bof! Bonjour les oppositions de style.
Tu aurais préféré Gulbis et Sod en bas sûrement.. je te comprends
Tout à fait!
Verdasco / Almagro ou Ferrer contre Nadal Bof! déjà vu les semaines précédentes.
Alors, attends la finale
Tursunov est de retour!!!
Et tableau de la mort pour Murray
Gasquet
Chela
Baghda
Berdych ou Isner
JWT ou Youzh
Avant Fed, Gulbis, Sod ou consort en 1/2
Ok sauf Chela, Murray lui a réglé son compte à Madrid si ma mémoire ne me fait pas défaut avec un double 6/2.
Gasquet voudra sa peau après leur 1/8 à Wim 08.
Ben de toute façon, Murray… Qui en fait ne serait-ce qu’un outsider??
Je suis même pas sûr (et je rigole pas) qu’il passe Gasquet qui est quand même un peu mieux en ce moment (ou alors en 5 sets, avec balles de match pour Gasquet; le truc habituel, quoi).
Oui, mais il a tout de même un 1/4 à défendre à RG.
J’en conviens. Je me demande d’ailleurs toujours comment il a fait pour arriver jusque-là.
Je ne dis pas qu’il ne va pas se battre pour aller le plus loin possible, mais enfin pour le voir en 1/2, faudrait l’apocalypse (au minimum…).
J’exagère un peu, mais il faudrait qu’il sorte son meilleur tennis (ce dont il est ,je pense, incapable sue TB), et que les autres se prennent les pieds dans les tapis pour espérer quelque chose.
N’empêche plus je mate le tableau plus je me dis que c’est un peu truqué quand même ce qu’ils appellent tirage au sort:
- pas d’adversaires qui pourraient réellement déranger voire plus le top 2 jusqu’en demies où on met Murray avec Federer (lol!) et pour Nadal, un Djoko avec une planche savonnée par un duel potentiel terrible contre Ferrer. Ainsi, on s’assure une grande finale
- un Tsonga qui a un tableau cadeau qui lui permet d’envisager les demi-finales (comme par hasard, il se tape le plus nul du top 4 sur terre!)
- des espagnols autre que Nadal qui sont principalement regroupés dans la même partie de tableau et face à leur « bête noire » pour éviter que l’on ait trois espagnols en demi-finales comme à chaque MS!
(cela ne plairait à personne ou presque)
Moi, j’accuse!!
Tout le monde est content
Nadal évite Gulbis et Sod
Et les Espagnols vont s’éliminer entre eux.
Je ne vois pas ce que tu trouves à y redire
Gulbis et Soderling contre Federer en quart, tu appelle ça
« pas d’adversaires qui pourraient réellement déranger voire plus le top 2 jusqu’en demies »?
Verdasco contre Nadal en quart, même chose.
Je reste sur mon impression que le quart de Tsonga est le plus facile
Oui, enfin, ce sont les réactions habituelles après tirage selon les affinités de chacun, rien de nouveau…
Le quart de Tsonga EST le plus facile, c’est pas qu’une impression!
Celui de Djoko, Ferrer et Roddick est le plus dense.
Pour le duo, c’est à peu près le même niveau, avec un peu plus de marge, je pense, pour Nadal, compte tenu de leurs adversaires respectifs.
A part une infirmité pour Federer, on sait très bien que Federer ne sera pas dérangé par Soderling ou Gulbis.
Je tiens à rappeler que le meilleur Soderling lutte sans réussir la plupart du temps pour prendre un set à Federer alors le Soderling actuel face à Federer en cinq sets ne va pas tenir la distance.
Gulbis, pareil, je ne le vois prendre plus d’un set à Federer et encore, ce set, ce serait le premier et pis c’est tout.
Idem pour Verdasco contre Nadal.
Tu échangerais les quarts de Federer et de Nadal, et là tu verrais des joueurs capables de faire tomber en un match ou en plusieurs Federer ou Nadal avant les demi-finales.
Les deux évitent les joueurs qui sont les plus chiants pour eux, on peut appeler cela un tirage favorable selon moi.
Après je dis ça mais la suite peut me donner tort.
Effectivement, Federer évite les terriens et Nadal évite les joueurs offensifs, donc chacun est content!
Par contre, Gulbis peut réellement poser un problème à Fed, je pense.
Et je remarque aussi qu’Almagro (le seul à aoir pris un set à Nadal sur terre avec Gulbis) pourrait rencontrer Nadal en quart.
Le point où je rejoins CK, c’est que Nadal, Verdasco, Ferrer, Almagro et Ferrero, ça fait beaucoup d’espagnols dans la même moitié.
Je crois que l’an dernier, personne ne voyait Soderling prendre plus de 5 jeux à Nadal, vue le 6/0 6/1 qu’il avait encaissé 2 semaines avant. Idem pour fed contre Haas
Et il est un peu contradictoire de dire qu’ils sont favorisés par le tirage, avant de rajouter que les n°3 et 4 n’ont même pas les moyens de les inquiéter. Ben qui alors?
Sur le papier, personne ne peut les arréter, mais bon, on verra sur le terrain
Pour Soderling, tu as raison même s’il avait le profil pour gêner Rafa.
Pour Haas, je ne suis pas d’accord. De longue date en GC, Federer s’en sortait toujours assez difficilement contre l’allemand cf OA 2002 et 2006!
Sur dur,Ok , mais sur TB, Haas n’est pas spécialement une référence comp&ré à Fed
» les n°3 et 4 n’ont même pas les moyens de les inquiéter. »
Ça, c’est la théorie..admettons pour Murray; cette année, je ne sais pas ce que va faire Djokovic, mais en principe, ce n’est pas la fatigue qui devrait le tourmenter, contrairement à d’autres années, je n’enterre pas ce gus,même si son tableau progressif sans être une montagne, laisse encore plus d’interrogations, surtout à cause de lui..
Korolev
Giraldo
Hanescu
Ferrero ou Querrey
Ferrer ou Roddick (que je n’enterre pas plus que ça)
Je suis un peu déçu que Sod et Nadal soient pas dans la même partie de tableau… Je voulais la revanche.
Mais quand même, on a de sacrées affiches en perspective!!!
Excellent RF vs Monfils en huitième. Année après année, Monfils descend d’un cran…
Patricia, Gasquet a un boulevard jusqu’en demi !
edit de Franck: j’ai corrigé Clemency, mais pour le lapsus je le rappelle pour le forum..
RG contre Monfils
Si c’est une planche savonnée pour Murray, ça n’en devient pas pour autant un boulevard pour Gasquet, je ne vois pas ce qu’il y a de facile là-dedans..
Et oui Monfils ne se bat pas contre des joueurs mes contre des tournois, un peu comme Federer vs l’Histoire.
Monfils aussi se bat contre l’Histoire, RG ça peut être.. Richard Gasquet le GOAT d’Olivier Rochus.
mdr !!!
franck-V(anneur) tu me fait trop marrer
Quand même, en regardant bien , je me dis que seul un Verdasco en fusion atomique pourrait déranger Nadal sur la route de la finale.
Ou alors (riez pas) un Roddick en mode Terminator, tapant sans réfléchir sur tout ce qui bouge. Le problème, c’est que le Nébrasko-Texan (pour éviter de redire Roddick (merde! je l’ai redit)) a un tableau absolument monstrueux…
Pourquoi pas si A-Rod avait foulé la terre cette saison mais là il va arriver sans repère sur cette surface qui n’est déjà pas sa meilleure.
J’ai vu jouer A-rod tout à l’heure au match d’exhibition. Vraiment il y avait de belles séquences dans son jeu. Bon il faut relativiser il peut titiller Rafa mais pas longuement.
17 français avant les qualifs, une 20aine au départ sûrement, la moyenne. Presque 1/6 ème du tableau pour combien en 1/8ème? 0 ou 1 comme de bien entendu.
Les gars de L’Equipe qui continuent à se branler comme des ados attardés en faisant la Une avec Richard pas de chance VS Murray. Le gars est 68ème il rencontre déjà un type mauvais sur terre, tu veux quoi aussi, choisir l’adversaire. Tirage normal. La vraie question est : sera-t-il blessé d’ici 2-3 jours?
Il a une tête bizarre Rafa avec l’âge arrivant, de moins en moins de cheveux, un visage qui devient chelou. Non non, ne me faites pas dire ce que je ne voulais pas dire.
Enfin, Aravane sur sa caravane va tout charcler; en 1/8 Venus, puis Dementieva, Kuznet et la grande finale contre Marion! Allez la France!
T’as pas le mal du pays, toi, en ce moment?
Si si, c’est le seule moment ou Paris c’est sympa, les gens contents du soleil, pas encore la canicule. Je me serai bien fait un premier tour, voir Nadal défoncer l’autre. Et voir si Dokic fait son come-back surtout.
Mon jet est en panne, pourrais faire l’aller-retour.
C’est vrai c’est un scandale ça, comment ça se fait que Ritchie n’a pas tiré Olivier Rochus? (je veux dire, au tirage au sort, précision pour Geô)
Sinon Gasquet / Murray, d’accord avec Elmar, victoire de Murray en 5 sets après avoir remonté un déficit de 2 sets et un break dans le 3ème.
Jean, Kuzni-Sorana
C’était pour de la blague.
Mais je ne risque pas de rater Gasquet-Monfils euh… Gasquet-Murray.
Et puis non en fait je le dis : Gasquet va créer l’évènement cette année.
Désolée je merde tout le temps pour placer mes com.
Rafa n’a personne pour l’inquiéter avant les demis (en même temps, il y avait peu de joueurs potentiellement dangereux pour lui avant ce stade de la compétition); il évite ET Gulbis ET Soderling qui étaient les seuls à pouvoir le bousculer; en revanche, il se coltine (quand même!) Djoko en demi, ce qui est une vieille habitude. Ses quatre (quatre!) premiers tours sont une vaste blague.
Rog’ devra se coltiner Stan ou Leurfils en 8ème, c’est pas si simple; et surtout en quart Cilic, Gulbis ou Soderling… qui est clairement la partie de tableau la plus dense. Pas de la tarte donc, même si on peut espérer qu’un bon Rog’ s’en sorte. Evidemment, j’aurais préféré un tableau inversé, avec Stan ou Monfils en 8ème, puis Gulbis ou Sod en quart pour Nadal, ce qui aurait été un espoir potentiel de le crever un tant soit peu dans sa reconquête.
J’ai lu le nom de tous les joueurs du tableau. Je ne vois personne capable de nous faire une Kuerten ou même une Verkerk.
C’est le principe de la Kuerten ou de la Verkerk, quand on lit le tableau on voit pas venir. En 97 ou en 2003 t’aurais rien vu non plus. Et tu risques pas de voir longtemps vu que j’avais précisément en projet de t’arracher les yeux.
Finalement, le fait que Sod et Gulbis s’éliminent en 1/4, de plus hors de portée de Nadal, conjugué aux forfaits de DP et Davy rend plutôt ce tirage quelconque. On pouvait alors imaginer un autre tableau..
Dans le pire des cas, Nadal aura peut-être un Djoko incertain en 1/2, voire un boulevard d’Espagnols, ce qui dans les 2 cas, lui laisse le temps d’attendre dans un fauteuil, le survivant du haut pour reprendre sa couronne parisienne.
Le seul enjeu reste de savoir si Fed atteindra sa 1/2 traditionnelle, synonyme cette fois de 286 semaines comme n°1.
Je reviens un peu sur tous les coms laissés ce matin relatifs à la période où Moya a brillé, fin des années 90. Je suis étonné de lire ici et ailleurs combien de personnes (en général trentenaires voire plus) avaient déserté le tennis pendant ces années là, du milieu/fin des 90′s au premier tiers des années 2000. Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai pu lire le « ça correspond à la période où j’avais décroché » ou « c’est une époque où je ne suivais plus le tennis ».
On dirait que la fin des Becker et Edberg et la fin des années Sampras « full power » ont été la source d’un exode terrible; et je ne suis même pas sûr que Sampras n’ait pas été responsable carrément aussi du désintérêt général, vu que de nombreux fous n’aimaient ni son tennis ni sa personne. Et le retour de l’exodus correspond à l’avènement de Roger 1er, roi de Suisse, empereur d’Europe, roitelet des USA et prince d’Australie.
Finalement même si ces années n’ont pas connu d’émergence d’un nouveau king durable avec des Safin ou des Hewitt se battant pour la première place mondiale contre un Pete fatigué, on a eu de rares talents comme vous le dites. Korda et Rios, mais également Safin à son meilleur, Kuerten à son meilleur, Rafter à son meilleur qui fait le doublé à Flushing. Bref ces années qui vont grosso modo de 97/98 à 2003/2004 n’ont pas été pauvres tennistiquement. En 99 on a la résurrection de Dédé notamment.
Pour parler maintenant des tirages, à la lecture de vos coms et des tableaux, et en pensant à tous les absents dont on a pas l’impression qu’ils ne sont pas là du coup, c’est fou ce que l’élite est dense quand-même. Les tableaux sont relevés et personne n’a d’assurance vie jusqu’en finale.
Pedro, je ne pense pas que la théorie du complot puisse d’appliquer avec un tirage au sort, à moins qu’évidemment les dés ne soient pipés. Mais j’en doute.
Quand on voit le nombre de personnes qui ont décroché pendant entre grosso modo 1998 et 2003, j’ai un peu peur pour le tennis quand Federer arrêtera.
Pour le complot, je plaisante car le tableau me fait bien rire même si comme tu l’as dit plus haut, les Verkerk 2003 ou Kuerten 1997 personne ne les prévoient.
66 Stakhovsky, Sergiy (ranking de Kuerten avant RG 97)
46 Llodra, Michael (rk. de Verkerk avant RG 03 )
Juste pour info
Sinon, Verkerk reste pénible à jouer jusqu’à la fin de l’année 2003…
R16 Bercy 2003: Federer 3 df. Verkerk 16 7-6(3), 6-7(12), 6-7(6)
Le niveau était surement très dense mais peut-être aussi plus équilibré que les périodes avec des Supers Stars qui dominent leur sport comme l’on fait des MC Enroe – Lendl (oui c’était ma super star) – Sampras – et aujourd’hui Federer.
C’étaient de très bons joueurs mais ils n’ont pas vraiment fait rêver. Trop de turnover dans l’élite.
Safin oui, mais pas assez investit dans le tennis comme un Gulbis aujourd’hui.
Le talent tennistique ne suffit pas,
Mais pour beaucoup de trentenaires et plus j’imagine que le peu d’assiduité étaient lié aux petits n’enfants et au début de carrière professionnelle.
« Mais pour beaucoup de trentenaires et plus j’imagine que le peu d’assiduité étaient lié aux petits n’enfants et au début de carrière professionnelle »
Exactement. En ce qui me concerne ça correspond aux périodes de naissance de mes enfants et à un investissement professionnel important qui m’a laissé moins de temps pour le tennis. Et, j’avoue que ce que je voyais ne me donnais pas plus que cela envie de m’y replonger. A cette époque je n’avais pas de parabole satellite, pas d’internet. Le tennis se limitait à RG en gros.
Donc ce scénario ne va pas se reproduire avec la retraite de Federer. En revanche, il est clair que si pendant une période on a un creux tennistique et une valse des numéros un, je pense que le tennis perdra un peu d’audience de façon générale.
Au contraire, c’était ma période sex & drugs & RMI et j’avais autre chose à faire que rester planté devant la télé
Mais depuis que je suis réinséré socialement, tout va bien, je peux à nouveau passer des heures devant un écran, et ça tombe bien, il y à Roger
Je lis ici que tous les Espagnols sont en bas.. et Lopez, Montanes, Robredo, Garcia-Lopez?
Sauf Nadal, bien sûr, le seul à avoir battu Fed sur TB (ou ailleurs), c’est bien Montanes.
Et Gulbis qui a battu Fed à Rome (oui, je sais, il n’est pas espagnol) est aussi dans la moitié haute.
« oui, je sais, il n’est pas espagnol »
Encore heureux..
Finallement quand on voit le tableau, on se dit que la plus mauvaise pioche possible pour une tete de serie au premier tour c’est Gasquet, vu que les vrais epouvantails type Gulbis ou Almagro ont integre le top 30 in extremius.
ET c’est donc Murray qui s’y colle. En meme temps ca reste Gasquet.. Ca va etre donc sur le Central, il y aura plein de monde, et toute la France regardera en direct. Je vois bien un scenario catastrophe pour notre Richie national. Nuit blanche a se passer le match dans sa tete, vomissement apres le petit dejeuner, et finalement forfait une heure avant le match. Deja a Nice aujourd’hui il va perdre car il va commencer a penser a son clavaire probable sur le Central lundi prochain. Allez Richard!
Message d’encouragement plein d’optimisme et d’humanité Merci!
Nananan, comme Verdasco a connu l’effet Coupe Davis, Gasquet va surfer sur la vague O.Rochus, Murray comme Tsonga vont aussi payer les pots cassés et Richie va entamer sa marche glorieuse jusqu’en demi pour finir d’éreinter Gulbis dans un match au couteau.
Ce qui ne changera rien au scenario final, du reste…
Tu vois la même chose que moi finalement.
En quart, mené 2 sets zéro, il passe 67 revers gagnants dans les trois sets suivant.
Malheureusement il arrive cramé en demi.
« Nuit blanche a se passer le match dans sa tete, vomissement apres le petit dejeuner »
Il n’a toujours pas réussit à décrocher ?
nishikori-giraldo ! pourvu qu’ils jouent mardi !!! je m’y collerai avec plaisir
sans dec, quand il s’agit de RG que ce soit pour fed ou nadal, leur tableau reste toujours plus jouable que pour le reste du top15, ya pas photo, c’est comme ça depuis 2005…
ils ont toujours une marge supplémentaire sur le reste du monde, autrement ils n’auraient pas monopolisé 22GC depuis 5ans !
pour ceux qui croient que le tableau a été arrangé, je rappelle gentiment que c’est kuze qui a tiré les têtes de séries hommes, et fed celles des femmes avant la répartition automatique du reste de joueurs.
vous croyez vraiment que kuze aurait voulu favoriser qqu’un ?? rohhhhh
je pense que si c’était le cas elle aurait pas oublié de demander que roger lui évite cirstea dès son entrée en lice, non ? si fed a été indélicat à ce point, quel salaud quand même ! lol
moi j’ai un peu de mal à croire à tout ça…
mais bon, faut assurez le spectacle aussi, sans trop dégouter les 2 clans je suis comme franck-V(ision), chacun hérite de la kryptonite de l’autre, c’est parfait, non ?
c’était obligé que jo allait bénéficier d’un bon tableau en évitant tous les gros avant les 1/4… mais il a plus tiré le seul top 4 qui n’a pas bcp de références sur terre, du moins cette saison, franchement il a les moyens de s’offrir cette demi… après c’est uniquement tous les 6 ans qu’on a une surprise : 97 guga, 2003 verkerk, 2010 sod… faudra donc attendre 2016 !
richard G, pauv’ petit malheureux ! il peut sortir le scot ou pas, comme d’hab… j’espère qu’il va gagner à nice !
le tableau étant ce qu’il est, je pense en avoir pour mon argent avec ma quinzaine de geek rolandesque !
vamos ! hajde ! allez ! comon ! what else ?
давай!
» chacun hérite de la kryptonite de l’autre »
Euh, c’est qui la kryptonite de Fed sur TB cette année, à part Nadal?
Non, parce que je te rappelle que Montanes et Gulbis sont chez lui et que.. ben aux dernières nouvelles, Nadal n’a pas encore mordu la poussière (ou la TB), mais plutôt les trophées
En complément de Kuerten et Verkerk au-dessus..
25 Robredo, Tommy (rk. de Söderling avant RG 09)
» vamos ! hajde ! allez ! comon ! what else ? »
….
….
….
« be quiet »
Ben MarieJo, t’aurais pas préféré une revanche Soderdingue/Nadalou en 1/4? Parceque si le Rafa doit encore jouer Verdasco (qui n’est plus aussi fit qu’en avril…) pffff!. Depuis de début de la saison de TB on a que des rendez-vous manqués entre ces deux là et sauf final pour les 2 c’est mort pour cette année.
Ben y’a pas que RG et la TB dans la vie, y’a aussi Wimbledon et l’US par exemple, regarde, on y a eu droit à la Masters Cup
je sais que tu fais ta mauvaise tête Franck-V(ipère au poing)… je réponds quand^même.
Tu sais que Sod l’a battu sur TB et encore + fort à RG. Ce qui se passera sur d’autres surfaces n’effacera pas la question que tout le monde se pose – Est-ce qu’il pourrait le refaire? j’aurais juste aimé avoir la réponse même si j’ai mon idée là-dessus…
Je passe la MC il y est allé comme Fed est allé à Estoril.
V(y perd aux points) reste une variante
Joli le parallèle Estoril-Masters Cup, mais ça ne trompe pas un chasseur de grands titres comme Davy, contrairement à Fed.
A Estoril 08, Davy abandonne en finale contre Fed.
A la Masters Cup 09 , Davy bat de rang et dans l’ordre, tous les vainqueurs GC de l’année courante.
CQFD
» Je passe la MC il y est allé comme Fed est allé à Estoril. »
Non, il est allé à la MC comme Fed va à la CD..il n’y va même plus d’ailleurs..souhaitons tout de même revoir Nadal à la Masters Cup…
Tu vois pas si bête la comparaison. ceux qui ont le mieux performé à la MC sont aux abonnés absents!
Je le redis, si les GC se jouaient en 2 sets Davy serait le Goat.
Les victoires contre Titi & Gros Minet sont empoisonnées, après l’euphorie, attention la digestion est lente et douloureuse.
« 22 GC en cinq ans », sur 20 possibles, MarieJo, ça, ils sont forts…
Je sors pas, fait trop chaud.
Bon sinon, Fed et ses XXXX demies d’affilée, la série s’arrêtera bien un jour, probablement quand on s’y attendra le moins, par exemple quand il aura un 1/4 de tableau « abordable » (cad tout quart de tableau avec Nadal Top 4).
Tant qu’à s’arrêter elle pourrait fort le faire là où il a pour la dernière fois perdu avant les demies justement…
Alors pourquoi pas cette année? Non pas que je l’espère, je la veux ma finale Nad/fed, même si je ne pourrai probablement pas la regarder.
Amusant: les journalites disent tout et son contraire
http://www.eurosport.fr/tennis/roland-garros/2010/federer-est-cerne_sto2332939/story.shtml
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hjMOnD4c-99ZOPblJzlV1nHju32A
« A suivre: Tsonga-Brands, Gasquet-Murray, Hewitt-Chardy. »
Pfff, qu’est-ce qu’il faut pas lire, je ne le connais même pas ce Brands (allemand, il me semble).
Inversement, pour voir le Nishikori-Giraldo, il faudra être sur place vu qu’ils ne seront probablement même pas sur un court télévisé.
Bon, je me dois de commenter le tableau féminin, histoire de continuer mes bonnes œuvres, n’est-ce pas ? De toute façon le tableau masculin ne m’inspire pas, et a déjà été largement commenté.
La deuxième moitié du tableau d’abord, puisqu’elle comprend 11 des 17 joueuses dont j’ai parlé dans mon état des lieux. Elle est dense en quantité.
Dementieva a je crois les 3 premiers tours les plus jouables de sa moitié de tableau, puis devrait retrouver MJMS vu l’état de forme plus que suspect d’Azarenka. La gagnante rencontrera une joueuse issue d’un huitième plutôt violent : Venus Williams, qui commence avec Schnyder qui ne l’a jamais battue, mais lui a souvent pris un set, retrouvera en huitième la gagnante de Rezaï-Petrova. Je vois bien la gagnante de MJMS-Dementieva passer ce tour, ainsi que le suivant puisqu’il n’y a pas de joueuse en forme dans le troisième quart hormis Safarova. Je tente donc MJMS ou Dementieva en finale.
A noter que dans ce fameux troisième quart, Cirstea et Kuznetsova, qui se retrouveront dès le 1° tour, ont un tableau que je trouverais difficile même si elles étaient en forme (2° tour : Petkovic, puis Kirilenko, Schiavone ou Na Li, Safarova…), alors dans le cas présent…
La première moitié est au contraire dense en qualité, puisqu’on y retrouve les 3 favorites (JJ, Serena, Justine). Et pour couronner le tout, Stosur est dans le même huitième que Justine. Celle qui s’en sortira affrontera vraisemblablement Serena Williams (qui devra se méfier de Shahar Peer qui a fait une très bonne saison jusqu’ici, quelle que soit la surface).
Dans le 2° quart, Jankovic a un boulevard devant elle, à moins qu’Ivanovic ne fasse des sienne (rencontre possible en quart).
Pronostic : je ne m’y risquerai pas, autant j’ai m’impression d’avoir une vision à peu près claire de la 2° moitié (même si je peux me planter royalement), autant là je suis dans le flou total
En l’occurrence, le type de l’AFP qui a pondu la dépêche ne doit pas comprendre grand chose au tennis..
Qui a gagné au TIRAGE AU SORT ?
Le plus mauvais tirage, outre celui du jeune Mina, qui tombe sur Nadal mais qui n’a pas de quoi se plaindre puisqu’il a eu une WC et qu’il est très loin au classement me parait être celui de Benetteau qui tombe sur Gulbis d’entrée et qui, s’il réussissait à le battre, devrait quand même sans doute se coller Cilic au troisème tour, Soderling en 1/8ème, puis Federer en quarts.. Gasquet tombe sur Murray au premier tour mais, tant qu’à faire, autant le jouer vite alors qu’il a pas mal de matchs dans les jambes maintenant..
En l’absence de Davy et Del Potro et compte tenu des insuffisances de Roddick sur terre, la question était surtout de savoir quel serait le top 4 qui devrait se taper Soderling, Verdasco et surtout Gulbis. La dessus, il n’y a pas photo: pas de bol pour le Suisse, c’est lui ! Sa malchance est toutefois atténuée par le fait qu’il ne rencontrera en quarts, s’il parvient jusque là, et que si ce dernier sort vainqueur du 1/8ème qui opposera vraisemblablement Soderling au vainqueur de Cilic -Gulbis. Gulbis a donc lui même un tirage assez exécrable…Il est presque sûr que, s’il est en quarts, le Suisse rencontrera l’un de ces trois joueurs et ce n’est pas une bonne nouvelle pour lui, surtout si c’est Gulbis parce que ce quart pourrait voir sa chute d’abord, parce que même s’il passe, il risque d’y laisser des plumes, ce qui facilitera sans doute la tâche de son opposant en demie, théoriquement Murray, mais peut être plutôt Tsonga ou Youzhny. De toute façon, ce n’est pas une promenade de santé pour lui puisqu’avant les quarts, il rencontrera sans doute Monfils dès les 1/8ème cette année, et avant lui Lopez, et qu’il n’est donc pas évident qu’il arrive jusqu’aux quarts..Il parait très peu probable qu’il puisse arriver en finale sans avoir laissé pas mal de sets derrière lui, comme l’année dernière, et ses chances de l’emporter apparaissent donc des plus réduites.
Dans le deuxième quart, Jo est de l’autre côté de Murray et tant qu’à faire pour lui il vaut mieux être dans le quart de Murray que dans celui de n’importe quel des trois autres. Un bon coup à jouer pour éventuellement viser une demie mais il a un 1/8ème possible contre Youzhny avant.Bon tableau pour Jo..
Djoko lui, dans le troisième quart, n’a pas non plus un parcours très facile, avec Giraldo au 2ème tour et sans doute Ferrero ou Querrey en 1/8ème avant un quart contre Ferrer, qui devrait profiter des insuffisances de Roddick pour aller jusque là. Et, s’il arrive en demie, c’est Rafa.
Rafa lui a un tableau tranquille jusqu’en quarts, avec un troisième tour contre Chardy, Hewitt ou Becker, un huitième contre Ljubicic, ce qui ne devrait pas être la mer à boire sur le format des trois sets et ce n’est qu’en quarts qu’il devra affronter le survivant de Verdasco vs le vainqueur de Gonzo-Almagro..A ce moment là, ledit vainqueur risque d’avoir déjà été lui même émoussé et Rafa irait ensuite en demies contre Djoko ou Ferrer. Mis à part au troisième tour, on voit mal quel joueur pourrait bien l’obliger à rester un long moment sur le court et il a donc les meilleurs chances d’attendre les quarts bien frais le Rafa..
Gulbis aurait pu être dans n’importe quel quart du tableau et il eut mieux valu pour lui qu’il fut dans celui de Murray ou de Djoko (qu’il vient d’écoeurer hier après midi sur le Lenglen indique l’équipe de ce matin, au point que ce dernier en a pêté sa raquette). Pas de chances pour lui, ni pour le Suisse, il risquent fort de se rencontrer en quarts dans ce qui sera l’un des matchs les plus chauds de la quinzaine…C’est donc peut être Gulbis qui mettra fin à la série du Suisse en GC..
J’ai déjà dit que je pensais que seuls Rafa, Federer et Gulbis pouvaient gagner ce tournoi, mais le tirage, avec les deux derniers cités qui se télescopent en quarts, augmente encore les chances de Rafa…
Qui pense que mettre un billet sur la fin de la série de demies de Fed à ce RG vaut le coup ? Levez la main.
Question : y a-t-il une cote là-dessus? Je me dis que parier sans discontinuer depuis 5 ans sur Fed en demie de GC, ça devait rapporter… « Plus une série est longue, plus elle se rapproche de sa fin », voilà une maxime qui s’avère généralement très pertinente chez les bookmakers et leurs statistiques, mais bien casse-g… pour cette série. En toute logique la cote n’aurait dû qu’augmenter depuis le début, dans ce cas à combien serait-elle aujourd’hui?
Moi je pense qu’il y a de bonnes chances pour que cela arrive lors de ce Roland Garros. D’abord, Federer doit passer Monfils en huitième ce qui n’est pas un cadeau si l’on se réfère à son quart de l’année dernière ou à la demie d’il y a deux ans. Même s’il passe, il risque d’y laisser des plumes et au tour suivant, ce serait Gulbis qui avait failli le battre à Doha, qui l’a battu à Rome et qui aurait également très bien pu le battre à Madrid si le Suisse n’avait pas revêtu ses habits de Goat au second et troisième set. Bref, Gulbis est parfaitement capable de le mettre à la porte et c’est l’un des seuls qui peut le faire…On verra ce qu’il en est dans dix jours, mais si le match avait lieu dimanche, je dirais que c’est du 50-50…
Bon, quand c’est Antoine qui le dit, Nadal a déjà le 5°, c’est tout de suite plus recevable.. mais Djoko doit de toute façon laisser sa place à Querrey en 1/2, n’oublie pas
Antoine, le journaliste se base sur les forces actuelles des joueurs qui ont fait une bonne saison sur TB. C’est juste que leur vision des choses est trop étroite comme souvent. J’hallucine quand certains journaleux annoncent des résultats faux avec une telle conviction qu’on ne peut pas douter de l’information.
La preuve en est que beaucoup de posteurs ici sont bien à même de commenter ce tirage avec des arguements souvent difficiles à réfuter!
J’ai toujours trouver que le tennis était un sport très mal commenté par les journalistes de façon générale, il y a un vrai manque de spécialiste dans cette discipline(surtout dans la presse écrite) et c’est pour celà qu’ils font autant appel à des consultants qui sont souvent d’anciens joueurs.
Pas faux, mais le tennis est l’un des sports qui offrent le plus d’angles d’attaque quand il s’agit d’essayer de prévoir les résultats.
Il faut tenir compte du classement, des aptitudes sur une surface donnée, de la forme du moment, des H2H… Chaque joueur a son niveau moyen et son meilleur niveau, avec une irrégularité chronique pour certains, je trouve que c’est un vrai casse-tête !
Dit comme ça, ça fait froid dans le dos… Antoine, en te lisant, une brise sibérienne m’a parcouru l’échine et des corbeaux se sont mis à voler bien bas autour de mon toit. J’ajouterai que j’ai aperçu par la fenêtre un grand couillon habillé en noir, avec une faux, qui disait d’une voix grave et lente : « Suis-moi, Roger, suis-moi… »
Oiseau de mauvaise augure !!!
une « voix », bien sûr…
Ou sur une voie grave et lente…
Vu ce que montre Verdasco montre à Nice , l’envisager comme un pb pour Nadal en 1/4 , c’est vraiment se faire peur pour se faire peur
En effet, ce n’est absolument pas un problème pour Rafa.
Avec recul, je crois que le tableau est assez équilibré. Rafa devrait arriver sans soucis en finale et peut-être même sans perdre un set. Pour Federer, il y aura un peu plus de suspens. Gulbis peut l’inquiéter mais je n’y crois pas dans un format 5 sets surtout si le public soutient Federer comme l’an passé, Gulbis aura la pression.
Montanes? Faut pas déconner non plus. Federer aime faire des cadeaux de temps à autres mais il y a des tournois précis où ces cadeaux ont lieu, RG n’en fait pas parti. ^_^
Monfils? Il va se transcender?! Si c’est comme l’année dernière, alors il va faire jeu égal pendant un set et s’écrouler ensuite. N’empêche il a vraiment pas de bol, s’il se fait encore éliminer par Federer.
Mina? J’ai cru comprendre qu’il « adorait » Nadal. Et bien Rafa va lui donner une bonne raison de continuer de l’aimer. J’espère juste que le pauvre arrivera à avoir un jeu et qu’il n’en sortira pas dégouté: on le sait bien Rafa n’a pas pitié
Normalement, Federer peut arriver en demie.
Mais n’oublions pas, ce RG commence de manière bizarre avec tous ces forfaits donc nous ne sommes pas à l’abri d’autres surprises au cours de la quinzaine.
Tu rigoles, Gulbis n’aura aucune pression..Dans cette hypothèse, il serait en quarts pour jouer contre le tenant du titre; avec strictement rien à perdre et tout à gagner..aucun point à défendre par ailleurs..le profil idéal pour l’outsider qui descend l’un des favoris..
D’autant plus que Gulbis, à ce stade, aurait déja sorti Cilic et Soderling, et sortir 2 tops 10 d’affilée a de quoi bien le booster
Mouais, tout cela est possible, Gulbis n’avait aucune pression à sortir Federer d’un MS 1000, pas plus que Simon, Canas, Volandri et compagnie.
Reste tout de même à voir l’effet que ça peut produire de faire ça en GC, et d’être le premier depuis Nalbide à l’US 03 ou Kuerten à RG 04.
Le profil idéal certes.. mais ça ne serait pas le premier à porter ce fardeau..
Gulbis n’aura pas la pression de favori, mais s’il pousse Federer dans ses derniers retranchements, le public interviendra et compliquera la tâche au letton. Je ne donne pas des pouvoirs incroyables au public, mais Gulbis étant réputé un peu nerveux cela peut le déstabiliser.
Le public n’a jamais sauvé personne..
C’est vrai, Nadal peut en témoigner, malgré la foule, rien à faire.
Qu’il gagne (souvent) ou qu’il perde (une fois)
A propos du soutien du public dont bénéficierais Federer, je crois qu’il ne faut pas s’attendre à la même chose que l’an dernier. Le suisse l’a eu, son Roland, et contre un joueur comme Gulbis (jeune, jeu attrayant, et plutôt sympas), je ne crois pas que le public prenne parti, même si Federer est en difficulté.
Il faut quand même se rendre compte que le soutien de l’année dernière était incroyable, particulièrement lors du quart de finale contre Monfils: Gael était la meilleur chance française (et le dernier en lice), il est très populaire auprès du public (match contre Roddick, ou même son troisième tour contre Melzer: j’étais dans les gradins du Lenglen, je peux vous dire qu’il était incroyablement soutenu), aucun français n’a gagné de Grand Chelem depuis 1983, il avait en face un étranger au jeu moins offensif que d’habitude. Et bien pourtant, le public a conservé une prudente neutralité.
C’est tout bonnement incroyable! Vous imaginez le public londonien rester neutre lors d’un match de murray à Wimbledon?
Tout ça pour dire que le soutien de l’année dernière est du passé. Federer restera un chouchou du public, mais ne bénéficiera pas du même soutien qu’auparavant (I think).
Oui, rien à voir avec Roddick au tour précédent, ce public si décrié n’est pas si chauvin que ça, et sûrement pas moins connaisseur qu’à Londres, New-York ou Madrid.
Suffit d’imaginer ou de se rappeler face à Federer.
Agassi à New-York
Murray à Wimbledon.. ou à l’O2, mais là, il est vite redevenu Ecossais…
Nadal à Madrid
» à l’O2, mais là, il est vite redevenu Ecossais… »
Surtout qu’il (Verdasco)semble blessé et de toute façon complètement cuit, et que même si Hewitt était déjà bien inoffensif pour Nadal en 1/16, il s’est choppé un virus à Düsseldorf, mdr
Ritchie qui tape Murray, pourquoi pas ? J’ai vu le Scott vite fait l’autre jour, quelle plaie, il traîne les pieds, baisse la tête… je me demande s’il n’écoute pas de la musique anglaise, lui, un vampire obligé de croquer Korda aurait plus la banane. Mais attention à la légendaire pression du public parisien sur les joueurs français. Sans déconner, soyez sympas sur le central, tournez-vous. De toute façon, c’est tout bénef’ déjà si il va, Ritchie.
On va voir du warrior !
Attention, Korda était très nourrissant. Il prenait des trucs.
Justement, c’est pas très bio, on peut être Prince des ténèbres et prendre soin de son corps. Et écouter Kassav.
Moi au contraire je pense que Korda c’était le red bull du vampire à la recherche de sensations fortes; fut-ce un vampire amateur de zouk (que tu es con du reste… j’aimerais bien voir un tracé de ton électro-ancéphalogramme, la courbe doit être totalement folle!! mdr).
Rolland Garros c’est pourri qu’on se le dise franchement et sans détour. A quand remonte le dernier grand match dans ce tournoi ? Pour moi c’est le Kuerten – Norman de la finale 2000. Depuis ce tournoi est mort. Seul le label GC permet de sauver les apparences.
J’ai remarqué que beaucoup de posteurs écrivent Roland avec deux « L » Rolland Garros, vraiment beaucoup. les deux orthographes sont admises? quelqu’un a une explication. Je pense l’avoir trop souvent lu pour qu’il s’agisse d’une faute simple.
Yaya, tu m’as l’air très tenniso-dépressif toi, non? tes posts sont souvent noirs et findumondesques!!
Ce n’est pas parce que Yaya met deux l à Roland que le tournoi est pourri mais il est vrai que c’est une faute fréquente. Cet aviateur émérite qu’était M. Garros, Roland de son prénom, le premier à avoir traversé la Méditerranée en 1913, ne se distinguait pas des autres Roland par l’ortographe de son prénom, et il n’y a par suite, qu’une seule ortographe possible.
Rolland avec deux L c’est parce qu’il était aviateur..
Deux ort(h)ographes possibles ?
Excellente, si si vraiment
Mdr!
Enfin on retrouve Antoine le découpeur, ça commencait à bien faire cette condescendance permanente. Et le tiret entre Raullant et Guarrosse, obligatoire ou pas?
pas dépressif, juste réaliste. Si RG n’était pas en France on verrait les choses d’un autre oeil.
Tu as regardé les demi-finales l’année dernière? Et la finale 2006?
finale 2006 d’un niveau de jeu inégal et match un peu décousu. les demi-finales 2009, très intéressantes
Sinon je viens de revoir la finale Graf-Hingis, vu qu’on en avait parlé dernièrement. C’est incroyable de voir à quel point Hingis est nerveuse. Bien que menant au score, elle nous fait sa Murray, à geindre sur tout les points perdu, voir même sur les points gagné, et ça dès le début du match.
http://www.youtube.com/watch?v=9bYmsCGo56Q
(La qualité est pourrie)
Pendant ce temps-là dans la matrice notre Riri gagne le premier set au mental, on aura tout vu! Beware Andy…
Je suis en train de regarder Gasquet-Starace. Je suis courageux, hein?
Ben Gasquet s’est fait breaker à 5-5, comme un bon Gasquet; puis il s’est retrouvé avec 2 balles de set à sauver. Et d’un coup, Gasquet est parti. Il s’est fait remplacer par un mec que je connais pas; un super joueur, ce type!! Il a débreaké, puis a écrasé le tie-break 7-1, en enchainant revers gagnants, services-volées, amortie, coups droits puissants (si si je vous jure!)…
C’est dommage qu’on soit pas sûr de le voir à RG, ce mec-là!!
Ben c’est peu probable en effet, déjà qu’il a fait tout le match d’hier comme ça contre Oliv’… Un très très bon niveau de jeu. Par contre contre Starace, il est assez clairement cuit, s’accroche jusqu’au tie break par la carotide et tente de refaire ce qu’il peut faire en ce moment quand il a du fuel….
Voilà, il est en finale, version jambon mi-cuit.
Si Verdasco est archi blessé, il aura peut être l’intelligence de ne pas charger une mécanique au bord du gouffre. Ah, ben. J’avais oublié. C’est Verdasco.
C’est un stratège, je vous dis!
Pendant ce temps là, seul dans son coin, tel Rocky IV s’entraînant en Sibérie Gasquet enchaine une NEUVIEME victoire de rang. Il s’arrache gagne le premier jeu décisif 7 à 1!
Richard est une machine, ne pense plus qu’à ça. C’est un monstre, une brute sanguinaire qui ne vit que pour la balle et frapper toujours plus fort. Demain sa prochaine victime : Verdasco!
Pour mémoire, en Mai 1997, Kuerten était 66ème, Gasquet 68ème, troublant non comme coincidence…
9 victoire, il a fait la moitié du chemin, il reste 8 victoires pour soulager Yannick et 63 ou 64 millions de français de 28 ans d’attente.
Gasquet phénoménal contre l’immense Potito en quart de Nice. Après avoir ramé pendant tout le premier set en concédant 5 balles de bris de plus que son adversaire, il le cloue dans le tie bris 5-0 avant de conclure le jeu décisif 7-1 (je commente d’après scoreboard). On vous le dit : Richie, un mental en béryllium.
Quizz : laquelle de ces expressions est la plus improbable dans un forum tennis ?
a) Gasquet phénoménal
b) immense Potito
c) quart de Nice
Je peux prendre le 50/50, Jean-Pierre?
Ce score n’existe pas………. »Égalité » est admis ou 40 A.
En tous cas, « tie bris » n’est pas heureux, on lui préfèrera le « bris d’égalité ».
En demi Ulysse en demi.
En Mais que va-t-on dire dans 20 ans à nos enfants sur pourquoi on s’intéressait tant à Gasquet? On va avoir l’air con moi je vous dis si les archives de 15LT et SV sont pas détruites. Les écrits restent.
Richard est comme un OVNI, un mec l’a vu un jour, un journaliste de Tennis Mag je crois. Depuis les scientifiques s’interrogent, L’Equipe garde le secret.