Classement après sept courses
Les trois monstres aux trois premières places, décidément, dans le monde de la Tennis Race, plus ça change, plus c’est pareil. Même si deux néophytes ont enfin « ouvert leur compteur » en GP ce semestre, à savoir Thiem (25 ans) sur l’asphalte d’Indian Wells et Fognini (32 ans, quand même !), au rallye de Monte Carlo, l’infernal triumvirat RafaNoleRoge continue, mois après mois, année après année, et même décennie après décennie, de truster les titres.
Comme d’habitude, on essaie de s’intéresser à ceux qui pointent leur nez : Thiem, donc, 4ème, est le seul à être au contact. Le très jeune Tsitsipas fait un beau 5ème, mais derrière, c’est la Bérézina. Par exemple, Sacha Zverev, leader éphémère des TRWC au printemps 2018, est décroché avec une pâle 12ème place et seulement 20 points.
L’unique épreuve du calendrier disputée sur herbe pointe son nez, et plus que jamais, il semble difficile d’imaginer que le titre échappe à l’hydre à trois têtes.
Signalons que le nouveau barème imposé par la FIA depuis la saison 2010, favorise plus le vainqueur de chaque course, et permet aux 10 premiers de marquer des points: 25-18-15-12-10-8-6-4-2-1.
Rappelons que 14 Grands prix sont disputés cette année, dont 4 «super grands prix» (Melbourne, Paris-outdoor, Londres-outdoor et New-York) qui apportent deux fois plus de points qu’un GP classique, et un «masters GP» indoor qui clôture l’année (réservé aux huit meilleurs cogneurs de la saison, ce dernier rapporte 50% de points en plus qu’un GP classique; il sera disputé cette année, comme lors des neuf éditions précédentes, à Londres).
Paulo pardon Paula c’est son amie
ok je sors
1020 commentaires, nous aussi on s’attaque aux records !!
Montagne, je te suggère d’écrire un nouvel article, que tu pourrais par exemple titrer « Recherche Antoine désespérément »
Je serais notamment curieux de connaître l’analyse que fait l’ami Antoine de cette fameuse finale…
après cette déconvenue XXL de Wimbledon, c’est surtout son article sur le « GLOAT » qu’Elmar devrait conclure.
J’y ai pensé évidemment… Mais non, ce match n’a jamais eu lieu. Jamais.
D’ailleurs, nous sommes encore le 13 juillet (ça m’arrangerait d’autant plus que cela signifierait que j’ai encore une semaine de vacances devant moi ;-)) !
vu sur le site de Welovetennis un extrait d’une interview de Toni Nadal au sujet de son neveu avec qui visiblement il a regardé la finale : « je lui ai dit de regarder où était placé Djokovic au retour. Il était beaucoup plus près de la ligne de fond que Rafa en demi-finales. Rafael a admis que j’avais raison et qu’il avait eu tort de retourner toujours très loin derrière. Je lui ai alors demandé pourquoi il n’avait pas changé pas sa position au retour, comme Francis Roig (l’un de ses entraineurs) et moi lui avions conseillé pendant le match. Il m’a répondu qu’il ne l’avait pas remarqué, qu’il ne nous avait pas compris. Si c’était le cas, il l’aurait fait directement. »
Il y a deux choses qui me chiffonnent si les propos sont bien traduits : qu’il n’ait aucun problème à affirmer qu’il fait du coaching (ok, on l’avait remarqué depuis longtemps) et qu’il ait attendu Wimbledon 2019 pour lui faire la remarque… que Nadal ait une fâcheuse tendance à recevoir depuis les bâches n’est quand même pas nouveau
Pas sûr que la collaboration Zverev/Lendl résiste bien longtemps, le plus jeune reproche à l’affreux d’être souvent plus intéressé par ses propres résultats au golf que par ses entraînements de tennis. Ambiance….
Allez, on ferme la boutique ici. L’actu me donne – hélas – un support de discussion tout trouvé.