FAQ

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- Com­ment de­venir auteur ?

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- Y a-t-il des modérateurs ?

Oui. Ils peuvent éven­tuel­le­ment sup­prim­er des com­men­taires, des ar­ticles ou même votre pro­fil, en cas de non re­spect des règles élémen­taires de savoir-vivre.

- Fil de de dis­cuss­ion

Pour en­tam­er une dis­cuss­ion à la suite d’un com­men­taire, il vaut mieux toujours répondre au pre­mi­er com­men­taire ; sinon en post­ant sur le com­men­taire suivant, la case « réponse » se réduit de telle manière que par­fois le de­rni­er à répondre voit son nom dis­parait­re car la fenêtre de­vient trop petite.

Pour post­er des liens, il ne faut pas post­er plus de deux liens par com­men­taire aut­re­ment celui-ci est placé en at­tente de modéra­tion. Seuls les modérateurs ou un des ad­ministrateurs (par al­er­te email) peuvent valid­er le com­men­taire.

- Qu’est-ce que la Ten­nis Race et com­ment fonctionne-t-elle ?

La Ten­nis Race (appelée aussi, très pom­peuse­ment, Ten­nis Race World Cham­pionships) est un ex­er­cice de style con­sis­tant à élire chaque année le « champ­ion du monde de ten­nis » en appliquant à ce sport les prin­cipes de clas­se­ment (et le barème de com­ptage des points) en vigueur dans le sport auto­mobile (For­mule 1 et WRC). Les joueurs sont re­nommés en « cog­neurs » (pour ne pas les réduire à des « co­ureurs »).

Seuls les 14 plus grands tour­nois (les 4 GC, les 9 mast­ers se­ries (aka ATP 1000), et la Mast­ers Cup) sont pris en com­pte, et sont donc as­similés à des grands prix de F1 (ou à des ral­lyes de WRC, c’est selon).

La Ten­nis Race 2009 utilisait le barème alors en vigueur à la FIA, barème selon lequel 8 « co­ureurs » mar­quaient des points: 10-8-6-5-4-3-2-1.

Le joueur déclaré 3ème de chaque « co­ur­se » est le demi-finaliste qui a perdu con­tre le futur vain­queur. L’autre demi-finaliste est déclaré 4ème. Idem pour les quarts de fin­alis­tes: le 5ème est celui qui a perdu con­tre le vain­queur, le 6ème s’est in­cliné con­tre le fin­alis­te, le 7ème a rendu les armes con­tre le 3ème et le 8ème est celui qui n’a pu faire mieux que de per­dre con­tre le 4ème. Ex­cep­tion à cette règle: lorsqu’un cog­neur déclare for­fait ou ab­an­donne en cours de match, il est auto­matique­ment relégué à la dernière place de sa « catégorie ».

Le barème des TRWC suivan­tes (2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017…) est celui imposé par la FIA de­puis la saison 2010. Il favor­ise plus le vain­queur de chaque co­ur­se, et per­met aux 10 pre­mi­ers de mar­qu­er des points: 25-18-15-12-10-8-6-4-2-1.

Vous l’aurez com­pris: notre 9ème est celui des 1/8ème de fin­alis­tes qui a eu la « chan­ce » (la mal­chan­ce, plutôt) de tomb­er face au futur vain­queur, et notre 10ème celui dont la route a croisé le futur fin­alis­te. Sauf en cas d’aban­don ou de for­fait, auquel cas on élar­git à celui qui a été battu par le 3ème, et ainsi de suite si néces­saire.

Les 4 tour­nois du Grand chelem sont con­sidérés comme des «super grands prix» (Mel­bour­ne, Paris-outdoor, Londres-outdoor et New-York) et ap­portent deux fois plus de points qu’un GP clas­sique: 50-36-30-24-20-16-12-8-4-2.

La fin­ale des Mast­ers qui clôture l’année est as­simil­ée à un «mast­ers GP» in­door réservé aux huit meil­leurs cog­neurs de la saison. Il rap­porte 50% de points en plus qu’un GP clas­sique.

Enfin, comme en F1 ou en WRC, un clas­se­ment « con­struc­teurs » (en l’oc­curr­ence, Head, Wil­son, Babolat…) est égale­ment réalisé en fin d’année.

Rap­pels des clas­se­ments fin­aux des précéden­tes édi­tions des TRWC :

• 2009 : 1 Feder­er 115 ; 2 Nadal 94 ; 3 Djokovic 76 ; 4 Del Potro 75 ; 5 Mur­ray 58
  • (Chan­ge­ment de barème)
• 2010 : 1 Nadal 319 ; 2 Feder­er 235 ; 3 Mur­ray 153 ; 4 Djokovic 144 ; 5 Soderl­ing 126
• 2011 : 1 Djokovic 326 ; 2 Nadal 238 ; 3 Feder­er 217 ; 4 Mur­ray 202 ; 5 Tson­ga 97
• 2012 : 1 Djokovic 336 ; 2 Feder­er 231 ; 3 Mur­ray 181 ; 4 Nadal 163 ; 5 Ferr­er 160
• 2013 : 1 Djokovic 305 ; 2 Nadal 294 ; 3 Ferr­er 142 ; 4 Mur­ray 137 ; 5 Be­rdych 112
• 2014 : 1 Djokovic 296 ; 2 Feder­er 235 ; 3 Nadal 153 ; 4 Waw­rinka 123 ; 5 Raonic 117
• 2015 : 1 Djokovic 404 ; 2 Mur­ray 220 ; 3 Feder­er 180 ; 4 Waw­rinka 167 ; 5 Nadal 110
• 2016 : 1 Djokovic et Mur­ray 297 ; 3 Raonic 145 ; 4 Nis­hikori 126 ; 5 Be­rdych 103
• 2017 : 1 Nadal 242 ; 2 Feder­er 222 ; 3 Di­mit­rov 99 ; 4 Cilic 88 ; 5 Waw­rinka 84
• 2018 : 1 Djokovic 219 ; 2 Nadal 195 ; 3 Zverev 154 ; 4 Feder­er 140 ; 5 Del Potro 122

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Petit lexique des ex­press­ions fréquem­ment utilis­ées et qui peuvent per­turb­er la lec­ture:

- GOAT : greatest of all times, lit­térale­ment le plus grand de tous les temps. Désigne en l’oc­curr­ence le meil­leur joueur de ten­nis de tous les temps; thème à tiroirs in­itiateur de débats sans fin, queue ni tête et sans les­quels la vie sur le forum re­ssemblerait à un bi­strot de quar­ti­er sans al­cool.

- Super­biquet­te : Goat en an­glais sig­nifie égale­ment (et d’abord) bouc, chèvre. Les fans de Feder­er l’ont con­sacré GOAT, meil­leur joueur de l’his­toire; il de­vient donc par la même oc­cas­ion super­biquet­te, la chèvre super héros.

- Aggloméré para­llépipédique (ou, plus pro­saï­que­ment, « par­pa­ing ») : coup droit mas­sue. Voir aussi « Gon­zalez » ou « Ros­set ».

- Super­krisprolls : Robin Soderl­ing sur­nommé comme ça sans raison autre que les délires in­compréhen­sibles du plus zébré des par­ticipants au forum (qui n’est pas humain mais wookie pour la petite his­toire).

- PZ : petit zgueg, le sur­nom hon­teux et in­famant donné à Andy Mur­ray par le même Wookie décérébré. Mur­ray n’a pas la cote sur le forum et on se de­man­de vrai­ment pour­quoi. A part son jeu pour­risseur, sa tronche pas facile et son at­titude in­sup­port­able, aucune raison à la mise en quaran­taine de ce joueur plein d’avenir.

- SV : SportVox, site aut­refois for­mid­able sur lequel se sont re­ncontrés les mem­bres du noyau dur de 15-LT. SV a en­suite sombré du côté ob­scur de la force, avant de dis­paraître corps et biens.

- Bas­tille (Place de la) : une vraie légende ur­baine. Aux temps an­ciens de SV, un post­eur hystérique et colérique cat­alogué comme fou furieux faisait feu de tout bois et menaçait de mettre à mort tous ceux – nombreux – dont les goûts, les ar­gu­ments ou l’avatar ne lui plaisaient pas. Il répon­dait au nom d’Ed Abbey et pratiquait un art mar­ti­al mor­telle­ment dan­gereux, le Krav Maga. Un post­eur indélicat avait eu le tort de le contra­ri­er et se vit con­vi­er à un échan­ge cor­di­al de coups de po­ings Place de la Bas­tille le soir même. Ed le furieux alla même jusqu’à se décrire pour qu’il n’y ait pas méprise (« brun barbu polo rouge »). Ce qu’il fit… pour rien car le pleut­re convié ne se présenta jamais au duel, pro­voquant rail­le­ries, ire et hystérie conquérante de notre pugilis­te dont la seule présence au RDV suf­fisait à pro­uv­er la tail­le démesurée des co­jones. Quel homme mes amis, quel homme. En souvenir et par ad­mira­tion pour lui, et pour commémorer ce qui a été un des plus grands mo­ments d’in­ternaute pour be­aucoup d’entre nous, nous nous pro­posons de façon vir­tuel­le de régler à la Bas­tille tous les différends sur­gis de nos joutes ver­bales pas­sionnées (Fed ou Nadal, re­v­ers à deux ou à une main).

- OOS117 : derrière ce nom d’agent pas si sec­ret se cache le re­dout­able An­toine. La re­lec­ture de sa prose sul­furique du temps de SV nous a fait nous de­mand­er « mais pour­quoi est-il si méchant? » La réponse étant « pas­keeeeeeeeeeeee » nous l’avons naturel­le­ment sur­nommé Oran­gina Oran­ges San­guines, et comme il est agent sec­ret détaché à Wimbledon et qu’il aime les gens du jar­din, nous avons opté pour OOS117 (toute re­ssemblan­ce avec Jean Dujar­din OSS117 étant for­tuite).

- La guérilla : mouve­ment con­tes­tataire et égalitaire créé un soir de grand cog­nac par un re­mar­qu­able et co­urageux post­eur vert, pour­tant pas plus haut que ça. Ce mouve­ment part en guer­re con­tre l’idolâtrie béate, in­con­dition­nelle et ir­ration­nelle dont jouit Roger « the GOAT » Feder­er sur le site. D’obscures raisons his­toriques font que l’Exodus fuyant les guer­res at­roces de SV et ac­costant sur ces nouveaux et chatoyants rivages, était plein à craqu­er ses cales de fans du Suis­se. Leur épanouis­se­ment sans contra­in­te ni vent contra­ire a rapide­ment donné au site les al­lures d’église à sa gloire. Pour con­trebalanc­er les ef­fets per­v­ers de cette mono­cul­ture et as­sur­er une veil­le in­tel­lectuel­le, ce fameux et vrai­ment re­mar­qu­able petit per­son­nage vert a pris le maquis, suivi par une bande de co­urageuses amazones. De toutes leurs armes et tech­niques de guérilla ur­baine, le pro­nos­tic vaudou reste la plus de­structrice.

- FFF : Fan Fou de Fed, rien à rajout­er. Les cib­les privilégiées de la guérilla.

- Team Odyssée ou Odyssée : sit­com à gros succès et faib­le bud­get réalisée par Ulys­se mais pro­duite et écrite par Guil­laume. Une com­péti­tion vir­tuel­le entre mem­bres du site, chaque par­ticipant se con­stituant une équipe de joueurs de ten­nis pro­fes­sion­nels bien réels, et qui leur per­met­taient d’amass­er les points ATP qu’ils généraient en tour­noi. A la fin de la saison, le vain­queur était celui dont l’équipe avait col­lecté le plus de ces précieux points. Après deux saisons, la sit­com s’est arrêtée, suite à une grève des scénaris­tes. Elmar a re­pris le flam­beau en 2014 avec un con­cept légère­ment différent in­titulé « Ten­nis Man­ag­er ».

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Pal­marès des di­v­ers jeux au (plus ou moins) long cours or­ganisés sur le site :

Con­cours pro­nos­tics Wimbledon 2009 : 1er- Mariejo ; 2e- Benja ; 3e- Guil­laume.

Con­cours pro­nos­tics US Open 2009 : 1er- Bas­ti­en ; 2e ex-æquo- Duong, Marc, Guil­laume et An­toine.

Con­cours pro­nos­tics Mast­ers 2009 : 1er- Rony ; 2e- Colin ; 3e- Hasek.

Odyssée 2010 : 1er- Fiel­dog ; 2e- Bap­tiste ; 3e- Florent.

Paris – New York, New York – Paris (US Open 2011) : 1ers ex-æquo- Fred et Con­combre ; 3e- Guil­laume.

Odyssée 2011 : 1er- Fred ; 2e- Guil­laume ; 3e- Rony.

Gran­deur & Décad­ence 2012 : 1er- JC ; 2e- Karim ; 3e- Marc.

Cucumb­er Con­test 2012 : 1ers ex-æquo- Guil­laume et Fiel­dog ; 3e- Florent.

RYSC 2013 : 1ère- Syl­vie ; 2e- Nath ; 3e- Skvorec­ky.

Gran­deur & Décad­ence 2013 : 1ère- Syl­vie ; 2e- Mariejo ; 3e- Inès.