Bienvenue dans le passé : nous sommes le lundi 17 janvier 2011, vous vous pelez sacrément le cul, à moins d’être près de l’équateur ou mieux, dans l’hémisphère Sud…
D’ailleurs c’est marrant, l’hémisphère Sud, vous y avez pensé au réveil, à 8h30 en allumant votre ordinateur au boulot, et à 10h30 pendant la pause intellectuelle « lequipe.fr/ 15-lovetennis/ facebook/ mail perso/ le monde.fr/ lefigaro.fr/ yahoo actualités. »
Le premier jour de l’Open d’Australie, le vrai lancement de la nouvelle saison de tennis, les premiers points qui comptent vraiment pour l’Odyssée, le premier test pour les cadors du circuit, les premiers matchs que vous allez voir à la TV, voire les premiers matchs dont vous allez suivre les résultats depuis Noël et cette saleté de dinde sèche comme un jour sans bière que mamie Graton s’évertue à cuisiner chaque année… Ce moment a une saveur toute particulière qui secoue le palpitant de tout fan de tennis qui se respecte.
Pour commencer, en Australie, mamie Graton s’appelle « Nana » et le menu de fêtes inclut o-bli-ga-toi-re-ment des crevettes, grillées sur le barbecue. Au niveau de l’actualité sportive, toute l’attention du pays est tournée vers les « Ashes », qui est une compétition de cricket qui oppose tous les deux ans les équipes d’Angleterre et d’Australie, et qui porte le doux nom des « Cendres » depuis 1882, lorsqu’un journal anglais titra « Le cricket anglais est mort, ses cendres sont en Australie », après une dérouillée subie sur le sol londonien.
Cette série de test-matchs qui s’étale grosso modo sur six semaines entre un peu avant Noël et la fin janvier, est l’évènement sportif australien le plus important, et se traduirait en France, au niveau de l’émotion populaire, par la Coupe du monde de football croisée avec un France – Angleterre en rugby tous les trois jours pendant plus d’un mois. Car l’ennemi sportif numéro un en Australie ce sont les Anglais. Un bon point pour les kangourous.
C’est pourtant à ce moment-là qu’a lieu l’Open d’Australie, ou comme le dirait un Australien : c’est à ce moment-là qu’a lieu le tennis. En France, nous sommes les seuls à appeler Roland-Garros un tournoi connu dans le monde entier sous le nom de French Open ; en Australie, avoir regardé l’Open d’Australie, c’est « I’ve watched the tennis ». Comme si le tennis professionnel se résumait à un unique tournoi, comme si ce sport ne se pratiquait que 15 jours par an, au mois de janvier, comme si cet évènement résumait ce sport à lui seul, comme les Jeux olympiques. Si ce constat a quelque chose d’inquiétant (la plupart des Australiens néophytes de la balle jaune pensent d’ailleurs que la Coupe Davis est une compétition nationale, dans laquelle l’Australie va défier tel ou tel pays chaque année… ben oui, quoi, à chaque fois qu’il y a la Davis Cup à la TV c’est l’Australie qui joue…), il a un corollaire positif : le tennis est incontournable la deuxième quinzaine de janvier.
Une pub sur cinq à la TV montre du tennis : c’est Pat Rafter qui s’y colle pour le déodorant, et on essaye de nous refourguer le DVD du film Wimbledon entre deux spots avec McEnroe. Et ça c’est dans toute l’Australie… A Melbourne, c’est la folie : le complexe est à deux pas de l’hyper-centre ville, il y a des drapeaux « Australian Open » dans les rues et toutes les vitrines des boutiques ont des balles de tennis ou des posters de champions dans leur devanture. Mieux, une passerelle piétonne depuis laquelle on peut voir un paquet de courts annexes, permet de venir prendre l’ambiance du tournoi pour pas un sou ! Il y a bel et bien une ambiance de manifestation sportive importante dans la ville et, le lundi matin du premier jour, dans les rues, les gens sont tous en train de marcher « pour aller voir le tennis »…
Une fois les escaliers menant à la Rod Laver Arena montés, l’impression se confirme : il y a bien une manifestation sportive internationale et populaire qui va se dérouler, et les moyens mis en place suivent. D’ailleurs des travaux d’amélioration sont déjà prévus, à hauteur de 363 millions de dollars pour, entre autres, équiper la Margaret Court Arena d’un toit rétractable, augmenter sa capacité de 7500 places, ou encore créer 8 courts indoor et 13 courts outdoor à destination des entraînements.
Alors autant on peut trouver qu’à l’US Open, la station de métro dédiée, le pont bardé de drapeaux américains, les écrans géants dans le stade, la musique aux changements de côté, les quarante restaurants et la plus grande boutique Ralph Lauren du monde, tout ça relègue le sport loin derrière les intérêts commerciaux des sponsors ; autant quand on arrive au fin fond du Bois de Boulogne, et qu’une adolescente pré-pubère avec une carriole et un parasol Perrier vous propose le programme du jour mais ne saurait pas vous dire ou sont les toilettes, et encore moins l’endroit ou on peut acheter quelque chose de chaud à manger, on se demande si on s’est pas gouré d’adresse parce qu’on cherchait en fait un des quatre tournois du Grand chelem… Le Melbourne Park est grand, on s’y rend à pied, et sans tomber dans l’excès du cousin d’outre-Pacifique (rappelez-vous, vous êtes en Australie), on y trouve des services à profusion : des toilettes, des distributeurs automatiques, des boutiques sympa, des restos de vente à emporter de toutes les cultures européennes ou asiatiques, et on se dit qu’à Paris, y’a du boulot…
L’instant où le titre se justifie pleinement va venir plus vite que prévu : le Querrey – Kubot, préféré au match de WTA sur la RLA (prononcer Air Elle Ai), s’avère catastrophique, et n’est égayé que par une joyeuse troupe de supporters polonais qui s’époumonent après chaque, je dis bien après CHAQUE point.
Faute directe après faute directe, le match traîne en longueur, et c’est finalement du côté des filles que vient la première bonne surprise de la journée : Gisela Dulko, opposée à Caroline Wozniacki, est vraiment très jolie et de plus, propose un jeu plaisant, avec notamment des revers slicés.
L’ambiance dans le Stadium est bonne mais pour tout le monde ce match est une mise en bouche, car après avoir craqué face à la régularité de la Danoise, la belle Argentine laisse la place à…
DOUDOU ! Roger Federer fait son entrée, qui provoque immédiatement une éclaircie divine dans le ciel nuageux de Melbourne, dessinant un carré de lumière au cœur de l’arène où va avoir lieu le premier match de l’homme le plus titré en Grand chelem. Pas étonnant que les inondations se poursuivent dans le Queensland : cet aprèm, Dieu a envie de mater du tennis.
Et il a raison ! Roger marche sur l’eau et sur Lacko au passage, 6-1 6-1 6-3 en 1h 15, festival de points gagnants, demi-volées de la grande époque, retours de service agressifs, montées à contretemps, tout y passe…Le Roger est beau, le Roger est Grand, il ne peut que remporter le tournoi, et en plus il est allé tellement vite qu’on a plein de temps pour les courts annexes.
Sur ces terrains, qui permettent une proximité maximale avec les joueurs, à part un Simon qui simonne et un Tsonga qui s’entraîne et sue, quatre artistes sont ou vont être à l’œuvre.
Nicolas Mahut est en mode guerrier, très très solide, dans sa tête et dans son jeu, il propose une équation bien trop difficile pour Dabul, qui ne cesse de s’invectiver, mais ne trouvera jamais la solution face au Français, jusqu’au troisième set, où il empoche le break pour mener 4-2… avant de voir le héros de Wimbledon empocher les quatre derniers jeux pour conclure 6-3 6-3 6-4. Solide vous avez dit ?
Benoît Paire, l’homme à la tête et au jeu de chien fou, a fait le déplacement jusqu’en Australie pour distiller ses fameuses amorties à un Italien issu des qualifications, qui prend également trois sets secs avant son vol retour.
Richard Gasquet, opposé au canadien Dancevic, (« Come on Francky », entend-on dans les gradins) met en place une stratégie qui n’appartient qu’à lui. En retour de service, sur première balle, Richard, dès l’impact balle/raquette du serveur, se précipite en arrière et choisit un côté. Sur seconde balle, Richard allège ses talons, bouge ses cuisses, effectue une reprise d’appuis dynamique et effectue quelques pas assurés… vers l’arrière. Systématiquement.
Un peu plus loin, Grigor Dimitrov, soutenu par des groupies à faire passer les fans de Tokyo Hotel pour des académiciens sourds-muets, met en place une stratégie qui appartient à un suisse, mais qui lui convient très bien : chaque coup est souple, délié et gracieux, mais puissant : arrêt sur image. Dimitrov, la relève ? Finalement ce sont Dolgopolov et Raonic qui ont marqué le tournoi, mais les cieux australiens ont souvent été favorables aux jeunes et aux opportunistes de début de saison… Vivement l’année prochaine !
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Les spectateurs doivent être ravis. j’espère que leurs billets leur permettent de rester.
ça m’étonnerait beaucoup, business is business on vend les billets pour les deux sessions séparément. je n’imagine pas la déception, surtout qu’ils vont sûrement se taper un double ou un truc du genre pour tout lot de consolation. c’est dégueux.
moi je me serais caché sous le coussin du siège et serais resté voir la seconde demie. peut-être que Serena se serait assise sur moi, je hmmmmmmm…. que m’arrive-je t’il? reprendre mes esprits je doigt!!!! ourf ourf frivole est yoda ce soir.
mdrrrrrrrrrrrr ! Toi, tu voudras te réincarner en coussin de Serena. Quand elle partira en tournée, tu vas t’emmerder : la vie de coussin doit quand même être assez monotone.
@ may : « Delpo vaut 12 Chela ». J’aime!
Sachant que Robredleejones ne vaut rien du tout mais qu’il vaut quand même 10 fois plus que le Dan Kosakowski de Colin, à quel âge Ritchie va-t-il gagner son premier grand chelem en double si on considère que son partenaire lui apporte un bonus de 16 places?
Vous avez 4 heures, les calculatrices sont interdites.
riiiiiiiiiiiiiiiiiire
Oui Concombre, 12 c’est bien? J’ai voulu mettre 20 mais j’ai trouvé qu’une douzaine c’est mieux.
J’ai le regret de t’annoncer officielement que Gasquet ne remportera jamais de GC, seul ou en binôme, même si on le clone à l’infini.
Trop tard, c’est déjà fait : il a gagné Roland en double mixte, avec Tatiana. Incroyable quand on y pense, non ?
Zut le double mixte, ça compte pour de vrai ça?
Bonne question. Une discipline qui a vu Martina Navratilova gagner un dernier l’US Open à 50 ans ; Jamie Murray devancer son frangin et devenir le premier Brit depuis des plombes à remporter Wimbledon ; et donc les gamins à peine pubères Richie et Tati gagner Roland-Garros avant de connaître les carrières décousues que l’on sait. Est-ce bien sérieux.
Nan mais pour faire écho à l’article du vert galant, et à tous les coms qui disaient que Gasquet n’ avait pas sa place :
http://www.youtube.com/watch?v=fPnD89sZIiE
Serieusement.
Le passing à 1:58, c’est la spéciale Gasquet, la même que Nadal côté coup droit. Le revers sur la balle de match est assez inouï mais aussi relativement chanceux.
Je ne vois pas Gasquet battre Djokovic. Pourtant une telle victoire serait forcément un déclic pour le reste de la saison. Je ne crois pas non plus qu’il prendra une raclée comme Gulbis et Trociki qui sont tout de même plus sujets à des pétages de plombs chroniques.
Sur terre battue et herbe, il va faire mal. Croisons les doigts pour qu’il ne se blesse pas à l’approche de Wimbledon…
Ce revers! c’est beau, c’est assuré et efficace… mais le reste de son jeu est très en dessous.
Si on se focalise sur Roddick on remarque comme son jeu est devenu insignifiant et il aurait perdu même contre Robredo.
Si Roddick est une fraude, Robredo c’est une arnaque. Roddick c’est Kerviel, Robredo c’est Madoff.
Il a tout simplement le meilleur revers du circuit, il est tellement beau, rien à dire.
Mais c’est vrai que ça serait top pour le tennis que Gasquet retrouve un bon niveau, il serait mieux que certains joueurs.
je t’ai déjà interrogé mais… ton nom se lit de gauche à droite ou dans le sens des aiguilles d’une montre?
Ah oui, magnifique. Voilà un extrait qui aurait sa place dans l’article de Karim sur les 5 plus beaux revers.
Bon promis j’arrête de vous bombarder de youtubes mais TROUVEZ MOI CE MATCH : http://www.youtube.com/watch?v=b1ygVBl4nHg&feature=related
Le niveau de Safin est effrayant.
Tu me coupes l’herbe sous le pied concombre. Je prépare un article sur Safin…
Son niveau est dingue sur la vidéo de la MC que tu postes, un signe avant-coureur de l’oa qui allait suivre…
Et l’impression aussi que le coup droit de Federer est plus sec, percutant. Non ?
(et, sur les balles qu’on voit, une défense plus solide que j’en avais le souvenir)
Quelque part, je regrette un peu de ne pas avoir de Delpo / Robredo à me mettre sous la dent ce soir ; c’est en voyant, dans les tribunes, le quart de finale qui les avait opposé à Roland en 2009, que j’avais compris, évidence aussi frappante qu’un parpaing made in Tandil, qu’avec un del Potro on changeait d’ère. Tout à coup le Tommy, ce modèle droit sorti des années 90 qui nous ont aussi donné Corretja et Costa, devenait juste obsolète face au tennis 3.0 (© Colin) de la Poutre. C’était du concassage en règle. Au passage, l’Argentin est assuré de réintégrer le Top 50 à la fin de la semaine. Il est capable d’être tête de série dès Roland.
Il vaudrait mieux pour certaines têtes de séries qu’il le soit (tête de série) !
Mais pour l’intérêt de la première semaine ç’aurait été marrant de le voir émarger 40e
C’est vrai qu’il y aurait un effet sécateur assez terrible !
s’il pleut pas ce sera un effet sec à terre.
A bientôt tous.
Bonne nuit Karim !
Grâce à un levé nocturne suivi d’une impossibilité de me recoucher j’ai pu voir la fin du match Karlo-Nadal avec des bouts de suspens dedans. Je me suis réjouis d’en voir un bout, le dernier match visionné étant la déculottée toute rouge sur les fesses à Andy du côté de Melbourne…
Je n’aurais pas la précision de Babolat pour vous décrire les points 1 par 1, mais toujours est-il que le Karlo m’a agréablement surpris par la qualité de son jeu. Son jeu reste basé sur le service et la volée évidemment mais j’ai surtout apprécié les points où l’échange s’installait un peu durablement car il profitait de la moindre occasion pour monter et mettre la pression sur Nadal.
Au final 9-7 dans le casse-cravate du 3ème, avec des bons passing du Nadal et de l’agressivité côté Karlo, et ça m’a fait plaisir de voir un mec monter aussi souvent au filet bien qu’il perde au final.
Voili-voilou, c’était la minute matinale en écoutant le chant des oiseaux…
« le casse-cravate »… Ca me plaît ça… je vais la ressortir en société.
Merci pour le petit résumé Fart.
Karlo était donc un sacré client, pour être revenu avec un bon niveau de tennis après une année presque blanche c’est très méritoire, le résultat aurait pu être inversé.
Si Karlo était un peu meilleur à la relance ce serait vraiment beaucoup plus difficile de le battre ses %age de 1ères et 2 èmes balles sont en dessous de celles de Nadal mais il a été bon pour sauver les balles de break.
Du peu que j’ai vu, à la relance c’était correct pour le Karlo, enfin dans le terrain quoi…
Et dans l’échange s’il n’avait pas le temps de monter, le grand croate finissait quand même souvent par un décallage coup droit sorti de 2-3 mètres mais après 5-6 frappes de balle donc honorable pour lui.
Babolat, tu peux la ressortir, sans soucis, je n’ai pas déposé de brevet et ça fait souvent un petit effet sympa.
Vivement les matchs de ce soir, je vais louper Gasquet pour obligations tennistiques mais serai là pour le duel Vaudo-Bâlois.
Le casse cravate, mais putain, c’est tellement évident, tellement bien trouvé, tellement capriesque…
Ca devrait tou simplement être le nom du site. Ni plus ni moins.
C’est trop de compliments pour une modeste traduction…
Pour Capri il y a une bonne matière pour les définitions là :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lexique_du_tennis#J
Je trouve la toute première définition énorme tellement jamais je n’aurais pensé à la donner.
Pas mal.
Cadre : partie de la raquette qui délimite le tamis
Sans déconner.
Et tamis, c’est partie de la raquette à l’intérieur du cadre?
Désolé de casser la hype autour du terme « casse-cravate » mais le mot « tie » dans ce cas signifie « égalité » ou « match nul », le tie-break est le jeu qui casse l’égalité.
Traduction mot à mot = humour.
Vraiment? Je pensasis sincèrement que les joueurs devaient couper leurs cravates à 6 partout. Ce qui explique qu’aujourd’hui plus aucun joueur de tennis ne porte de cravate.
Mouarf… Y’en a certain pour qui le second degré reste un mystère.
Karlo est passé tout près d’un grand coup pour ma team, mais comme je l’avais écrit hier, quand ça chauffe, Nadal lui est tellement supérieur que l’issue est logique, comme au Queens en 2008 (de mémoire).
On aura notre Nadal-Del Po dans lequel, contrairement à bcp ici, je pense que le n°1 aura le dessus: la marche est encore un peu haute à mon sens pour JMDP, qui n’aura, en revanche, rien à perdre.
De beaux quarts ce soir en perspective.
Commentaire de JMDP: « J’ai bien conscience que la route est encore longue pour retrouver le sommet »; soit la même rengaine depuis sa reprise. J’espère qu’il a aussi conscience du chemin déjà parcouru
Le mec est déjà en demi-finale, dès le 2ème tournoi important de l’année. Assez fou quand même, même si, bien sûr, il a un peu profité des circonstances (mais cela aurait-il changé quoi que ce soit?).
« Long is the road »
Dommage que Delpo n’ai pas cité les grandes auteurs du XXème « La route est droite mais la pente est rude ! »
L’avantage c’est que même dans les moments difficiles l’Argentin a su conserver une « positive attitude ».
Et Fed et Nadal qui se retrouvent en demie du double, c’est sympa aussi ça tiens !
J’ai été surpris de l’aspect serré du Nadal-Karlo. D’habitude l’Espagnol se régale contre les gros serveurs, même sur dur. Pas très bon signe pour lui. Je donne clairement Delpo en finale.
J’aime pas le fuseau horaire d’IW. Voilà je l’ai dit comme tous les ans.
Fed / Nadal dans un double ? Ils n’ont pas de micro ? Ça va leur faire bizarre…
Ulysse toutes leurs rencontres sont serrées. Nadal a quand même du mal à breaker Karlo.
Au Queen 2008 – Nadal l’emporte en 2 sets à 1 / 3 TB.
Je n’aime pas non plus le FO de ce tournoi et la programmation est pourrie.
Presque tous les matchs de Karlo sont serrés. Regarde ses scores contre Federer.
Toutes les rencontres entre Nadal et Karlovic sont serrées. Moi, je me demande comment Nadal a mis 6-1 à Karlovic!
2 aces
Je suis étonnée que certains voient Del Potro battre Nadal. ça me semble prématuré. Comme on l’a vu, hier, dans les moments chauds Nadal reste le meilleur. Je pense que d’une part l’Argentin est encore juste pour un tel joueur, d’autre part, Nadal a enfin lancé son tournoi donc c’est maintenant qu’il est dangereux
je ne vois pas JMDP battre Rafa. Honnêtement. Poisse verte mise à part.
merci, tu viens de lui donner une chance
Karim, pronostiquer l’inverse de ce que l’on pense parce qu’on a peur de sa poisse légendaire pour porter chance à son favori ne fonctionne pas. Tu le verras samedi.
Delpo a déjà battu un Nadal de retour de blessure, Nadal s’efforcera d’éditer la même, l’orgueil du champion est toujours vif chez ce garçon, à ne surtout pas négliger.
Delpo joue bien mais il n’est pas encore à son niveau de 2009 et il n’est pas de ceux qui grillent les étapes, il y va crescendo.
Sympa a programmation. Federer et Wawrinka sont censés jouer le simple à 15h et le double à suivre à 18h.
C’est juste moi ou le nouveau « Saviez-vous… » de Guillaume bug?
on est au moins 2…
» »
ça a l’air bien court par rapport à la qualité rédactionnelle habituelle… Puis on le savait tous ça le « endif plein de flèche »
Pas pour moi, cela me semble normal
Chez moi ça beugue sous Internet Explorer, par contre aucun problème sous Mozilla Firefox.
Comme dirait Elmar:
COMPLOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOT !
Tu fais passer Elmar pour Arno?
COMPLOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOT!
Merci Concombre de veiller à la préservation de mes droits d’auteur.
COMPLOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOT !
Yé parlais d’Elmar, no?
Ben no. Si?
Je ferme l’article de Guillaume 10 minutes le temps de corriger les problèmes de visibilité sous Internet Explorer.
Voilà, l’article de Guillaume est à nouveau disponible, y compris aux heureux utilisateurs de Internet Explorer.
Quelle efficacité, merci Colin.
J’en déduis qu’il y avait un bug visuel sur l’article. Merci Colinou !