Tennis et foot, des incompatibles ? Sans doute. Sport individuel contre sport collectif, sport d’élite contre sport de masse, sport demeuré bourgeois contre sport le plus populaire de la planète. Difficile de faire plus opposés que ces deux disciplines. Tentons pourtant un instant, le temps de cette Coupe du monde qui éclipse tous les quatre ans le reste de l’actualité mondiale, d’établir un parallèle entre quelques champions. Vos contributions sont évidemment les bienvenues.
Cet article est par ailleurs destiné à accueillir les débordements footballistiques qui ne manqueront pas de survenir pendant la Coupe du Monde. Profitez-en mais, en contrepartie les modos seront sans pitié pour les dérapages qui surviendraient sur des articles consacrés au tennis. Antoine veille.
A tous seigneurs tous honneurs, commençons par les « greatest » des deux sports qui nous intéressent ici, la courte liste de ceux qui ont marqué leur temps et dont la renommée a passé sans encombres les décennies. Si l’on se hasarde à des comparaisons, certains paraissent relativement évidents : Pelé et Bjorn Borg, les mythes fondateurs de l’ère moderne de leur sport ? Diego Maradona et John McEnroe, les sales gosses géniaux ? Et le « greatest français » Yannick Noah alors, à qui le comparer ? Michel Platini, pour les enfants d’immigrés qui nous ont fait (re)découvrir la France qui gagne ? Cela voudrait alors dire que le tennis français attend toujours son Zidane…
Reste le cas de Superbiquette : qui pour incarner le Federer du football ? Aucune figure récente n’a atteint son statut d’icône couplé à un palmarès gargantuesque : par sa créativité, son côté joueur et inventif des jeunes années, sans doute est-ce du côté du trident en « R » brésilien qu’il eût fallu chercher : mais ni Ronaldo (le vrai, le gros), ni Rivaldo, ni le fantas(ti)que Ronaldinho n’eurent la longévité de carrière et finalement l’armoire à trophée assez remplie pour représenter au foot ce que le Suisse est au tennis. Alors, par son « tennis total », cet immense talent mis au service de la discipline, ce style léché encadré par une rigueur toute germanique, ce côté gendre idéal aussi, dont l’image s’effrite parfois pour laisser place au côté mauvais perdant nécessaire à l’orgueil du champion, il faudrait sans doute chercher le parallèle du Suisse du côté de Johan Cruyff, le Hollandais volant, l’homme qui a incarné à lui seul une façon de jouer, la propageant par la suite en temps que coach (FC Barcelone) et se taillant un palmarès monumental (trois Ligues des Champions, trois Ballons d’or).
D’autres champions passés à la postérité : Marco Van Basten, qui eut rejoint la catégorie précédente si les blessures ne l’avaient contraint à mettre un terme à sa carrière à 28 ans : un petit quelque chose de Boris Becker, même si c’est plutôt l’Allemand qui se sera empêché tout seul d’avoir une plus belle carrière, à compter de 1991 ? Hristo Stoitchkov le génial soliste au caractère de cochon, amateur de bonnes blagues potaches : Ilie Nastase ? De la Bulgarie à la Roumanie il n’y a après tout qu’une frontière à franchir !
Quelques autres idées, plus ou moins en vrac :
Rafael Nadal / Wayne Rooney. Les demoiselles qui flashent sur la plastique du Geronimo ibérique vont hurler, mais on ne peut qu’établir des parallèles entre le quadruple vainqueur de Roland-Garros et la star de Manchester United. Parallèle par la précocité tout d’abord : Nadal, premier (à égalité avec Borg) à avoir gagné 16 tournois avant vingt ans, deux titres du Grand chelem à vingt ans ; Rooney, plus jeune buteur de Premier League à 16 ans et 360 jours… L’autre donnée qui les rapproche est le côté dubitatif qu’ils ont suscité lors de leur avènement : Nadal que l’on percevait comme un banal crocodile et dont on n’imaginait guère en 2005 qu’il serait toujours là cinq ans plus tard, ayant étendu son terrain de chasse au gazon anglais et au dur australien ; Rooney que l’on catalogua vite comme un attaquant un peu bourrin, pas très fin, très dans l’historique esprit « kick and rush »de son pays. Sauf que le bonhomme, comme Nadal, a travaillé et a appris à faire d’autres choses, au point que depuis deux ans on ne sait plus trop s’il est attaquant, ailier ou milieu de terrain. Troisième point commun : l’impact physique peu commun, le côté « bête humaine »… et la propension aux blessures qui va avec. Nadal en est revenu après douze mois difficiles. Wayne Rooney en fera t-il de même ce mois-ci, après une saison 2010 où il a plus fréquenté l’infirmerie que les terrains de foot ?
Mats Wilander / Laurent Blanc. Deux lectures du jeu uniques et deux grands polyvalents. Si Laurent a fréquenté à peu près tous les postes possibles pour un joueur de champ (avant-centre, libero, défenseur), Mats a évolué selon un profil assez similaire, se muant au fil du temps de renvoyeur inlassable en un remarquable specimen de serveur-volleyeur. Deux joueurs à la palette technique riche, donc, et dotés du cerveau nécessaire pour en tirer tous les avantages et faire tourner les adversaires en bourrique. Deux reconversions en coach enfin, avec pour l’instant plus de réussite côté Blanc.
Ivan Lendl / Franz Beckenbauer. On a failli dire Harald Schumacher pour s’attirer les bonnes grâces d’Antoine, et puis non. Quand l’Allemand envoyait Battiston à l’hôpital, le Tchèque s’est juste contenté de tourmenter John McEnroe. Va pour Beckenbauer, alors. Niveau amabilité, c’est bon, ça se vaut. Niveau style, à mi-chemin entre puissance, efficacité, sans oublier la révolution technique qu’ils ont incarné (Lendl, perforateur de fond de court, a tout autant fait école que Beckenbauer dans la manière d’appréhender le jeu du libero), c’est bon aussi. Niveau palmarès enfin, monumental, on y est toujours. Vendu.
Lleyton Hewitt / Gennaro Gattuso. Ce morpion est à vos basques, il ne vous lâche pas, s’accroche, vous lance des regards teigneux éventuellement agrémentés de petites provocations s’il ne vous aime pas. Vous n’avez pas l’impression qu’il est super fort et pourtant il vous pourrit tant et si bien la vie qu’à la fin vous vous rendez compte avec stupeur que vous avez perdu votre match contre lui. Gennaro Gattuso, pilier et poumon du grand Milan AC (deux Ligues des champions, un titre de champion d’Italie, une Coupe d’Italie, auxquels il convient d’ajouter la Coupe du monde en 2006) apparaît comme le pendant footballistique de Lleyton Hewitt… jusqu’au manque de mémoire dont les amateurs de sport font souvent preuve à leur égard.
Juan Carlos Ferrero / Michaël Owen. Deux belles gueules révélées très jeunes et promises à un grand avenir : à 23 ans, « Juanqui » a gagné Roland-Garros, fait finale à l’US Open, gagné la Coupe Davis, est n°1 mondial. A 21 ans, la perle de Liverpool a gagné la Coupe de l’UEFA, les deux Coupes anglaises, est Ballon d’or. Les blessures vont pourtant briser leur trajectoire. L’Espagnol reviendra, entre deux rechutes, faire des quarts à Wimbledon ou gagner de petits tournois. L’Anglais reviendra, entre deux rechutes, remporter en tant que remplaçant son seul titre de champion national, en Espagne. L’un comme l’autre ont laissé sur leur faim les observateurs et l’impossibilité de confirmer leurs performances de début de carrière leur valent une reconnaissance mitigée.
Marat Safin / Georges Best. Un soir de victoire, une groupie énamourée qu’on invite dans la chambre de la vedette, et les deux qui se roulent sur le lit recouvert de petites coupures : chez Georges Best, l’anecdote est avérée. Chez Marat, on ne sait pas pourquoi, mais on visualise parfaitement la scène. Surtout en ce qui concerne les groupies, d’ailleurs : quand l’Anglais les choisissait durant les troisièmes mi-temps, le Russe leur permet d’orner son box un matin de finale du Grand chelem. Les deux n’ont pas toujours eu l’hygiène nécessaire au sportif de haut niveau, mais ils auront tellement ébloui les foules par moments qu’ils se sont taillés une place à part dans les mémoires. Palmarès : deux titres de champion d’Angleterre, une Ligue des champions, un Ballon d’or pour Best ; deux titres du Grand chelem, deux Coupes Davis, le sceptre de N°1 mondial pour le Russe.
Evgueni Kafelnikov / Pavel Nedved. D’abord parce qu’ils ont le même coiffeur. Ensuite parce qu’ils sont deux joueurs baromètres. Pas spectaculaires au sens premier du terme (on ne les qualifiera jamais d’artistes) et pourtant extrêmement impressionnants dans leur registre. Kafel, dans son style de joueur de cadence, prise de balle précoce, montées au filet pour finir les points, a tout de la machine de guerre difficile à faire dérailler. Nedved, l’homme qui court deux fois plus que les 21 autres joueurs réunis sur la pelouse, qui récupère les ballons, réoriente le jeu et marque à l’occasion, est fait de la même mécanique.
Gustavo Kuerten / Ronaldinho. Allons-y donc pour « Guga » et « Ronnie ». Deux Brésiliens déjà, deux types tellement joviaux qu’ils ont tendance à jouer le sourire aux lèvres. Deux grands talents. Deux carrières inachevées, aussi (pour des raisons différentes) même si l’on peut penser que le footballeur serait monté bien plus haut que le tennismen s’il avait été au bout de ses capacités.
Dans la famille des talents bruts salués par la seule mémoire des passionnés qui auront pu les voir évoluer, je demande David Nalbandian et son compatriote Juan Roman Riquelme, parallèle dont je suis assez fier puisqu’il tient jusqu’au bout de la bedaine des deux larrons : afin d’expliquer rapidement au profane, Juan Roman Riquelme est un grand talent venu d’Argentine qui n’a pas tenu toutes ses promesses. Riquelme, c’est une vision du jeu éblouissante, une anticipation fantastique, un coup d’oeil à nul autre pareil, des passes millimétrées et des caresses de la balle. Un jeu tout en finesse qui en fait un redoutable meneur de jeu et passeur décisif. Le problème de Riquelme, ce qui fait qu’il n’a pu s’épanouir que dans des schémas taillés pour lui (Boca juniors en Argentine, Villarreal), c’est qu’il n’aime pas courir. Le zèbre traîne une bouée de sauvetage peu en conformité avec sa profession et affiche clairement son dédain pour les phases défensives et autres actions de pressing pour reprendre le ballon. Une attitude qui lui aura finalement joué des tours puisque son palmarès, au moins en Europe, est demeuré rachitique.
Le paragraphe qui vient sera vendu en prix de gros : Karim Benzema – Hatem Ben Arfa vs Jo-Wilfried Tsonga – Gaël Monfils. Les têtes à claques du foot français contre les têtes à claques du tennis français. Quatre melons prononcés, quatre grandes gueules, quatre personnes qui certes gagnent, mais bien peu par rapport à ce qu’ils causent. A l’intérieur de ce carré d’as, on pourra éventuellement créer des binômes Benzema/Tsonga et Ben Arfa/Monfils, les deux premiers ayant tout de même prouvé plus de choses que les deux suivants.
On peut aussi s’amuser à choisit le comparatif par un strict prisme technique : si le « pointu » du footballeur équivaut au coup droit du tennisman on placera alors quelques mules de la spécialité dans une catégorie commune : à ma gauche, Fernando Gonzalez, Robin Soderling, Magnus Larsson, Marc Rosset, Alberto Berasategui ; à ma droite, Roberto Carlos, Ronald Koeman, Pier Van Hoojdonck, Juninho.
Osons la catégorie des joueurs pas prédestinés par leur physique mais compensant soit par leur âpreté (Arnaud Clément/Mathieu Valbuena) et/ou leur technique (Olivier Rochus/Eric Carrière).
Et enfin, bonus : dans la catégorie « Poissard du sport français… mais bon, je l’ai aussi parfois cherché »… Richard Gasquet et Mickaël Landreau. Ritchie pour l’ensemble de son œuvre. J’ai tenté de brièvement en rappeler les grandes lignes, mais pas moyen : on dépasse tout de suite les 1500 caractères. Michaël Landreau, ce sera pour sa précocité (plus jeune gardien à passer le cap des 100 matchs en D1, plus jeune joueur à porter le brassard de capitaine du FC Nantes) et ses débuts flamboyants, qui ont un temps – le temps où le FCNA gagnait des titres et permettait à Landreau de se distinguer en Ligue des champions, écoeurant la ligne d’attaque de Manchester United – fait penser à nombre d’observateurs que le garçon battrait le record de sélections en équipe de France pour un gardien. On a vu ce qu’il en aura été… Pire, Landreau s’est perdu au Paris-Sans-Gagner, y a laissé ses certitudes, sa confiance en lui et en sa défense. Tout ça pour, au final, se faire deux fois virer à la dernière minute de la liste de Raymond Domenech pour une compétition internationale : dans les 23 pour l’Euro 2008, dans les 23 pour le Mondial 2010, Dodo l’aura finalement laissé à chaque fois de côté. Une première dans l’histoire des sélections nationales tricolores.
A vos claviers.
Tags: football
Federer/Brésil: beau parallèle. Sauf que le brésil a changé il ne pratique plus son beau jeu. Le Brésil ne peut pas jouer comme les européens. Non, ça ne leur sied pas.
Federer le déclin? Oh mon Dieu que c’est triste.
quand on a des occases, il faut les mettre au fond
pourvu que l’Uruguay ne marque pas
yesssssss but du banni Muntari
il faut en mettre un autre
Bravo au Ghana qui a été dominé pendant 25 min avant de mettre un pressing devant le but des Uru et enfin marquer… et puis quel but!
f**k Forlan
c’est peut être partisan mais le Ghana joue très bien, technique, peu de fautes ils mériteraient de gagner épicétou
Manquerait plus que tu doives t’excuser d’être partisane
Bon, pour ma part, je m’étais absenté et je reviens à 1 partout. Tout à l’heure, y’avait 0-0 quand je suis parti, l’Uruguay conservait plus le ballon.
ben après c’est le Ghana qui a dominé, au retour ils ont manqué par deux fois la balle de deux zéros
et là je suis sûre qu’ils vont se faire éliminer dégoutée
j’espère qu’on ira pas au tirs au but, c’est horrible de perdre un match comme ça!!
Tu respires encore?
mes voisins doivent me haïr, je n’ai plus de voix
c’est un signe!!! le Ghana ne passera pas
‘tain il sort la balle de la main
péno raté j’y crois pas (j’ai envie de pleurer)
*pleuré
pleurer
Oui, c’est la folie ça; très pragmatique la main du joueur de champ uruguayen, valait mieux espérer le penalty raté, dans les dernières secondes de jeu; même un carton rouge ne change plus rien.
Dans ce cas , je me demande si l’arbitre ne peut pas accorder le but.
je m’interroge car llà le but est rentré alors qu’accorder un péno c’est du 50/50
Trop dommage c’est fichu là!
non encore un espoir
non fichu
encore raté!
Horrible
Y’a des journées comme ça..
C’est trop injuste, le but aurait du être valider.
je déteste les Uruguayens, c’est pas juste, le foot n’est pas juste, la vie n’est pas juste, ils auraient pu être le premier pays africain à aller en 1/2, next time…
et puis je déteste les Uruguayens
Pour être honnête, moi, ce n’est pas les Uruguayens en particulier, c’est les gominés globalement, d’Europe ou d’AmSud qui me sortent par les trous de nez..mais c’est un mal nécessaire pour se sentir concerné
Surtout que là, le Ghana s’est fait carotter.
Mais les Hollandais commencent aussi à me saouler grave.
Ne reste plus que la Mannschaft à soutenir et le Paraguay, ah ben tiens, je les supporte ces gominés là, bizarre. En fait, non, finalement y’a pas de règle, c’est au feeling.
Pour faire des mains, tu préfères donc Titi à Gominé ?
Je préfère el pibe della farina
mdr Jean, sinon je ne déteste pas tous les gominés juste Verdasco, CR7, et Villa et Hiero en son temps
La force de l’Uruguay?
« Ses » gardiens de but (auxiliaires)
http://i.tf1.eurosport.fr/2010/07/02/622509-7590073-458-238.jpg
Le pire c’est que Suarez est fier d’avoir arrêté le but de la main. Il « détient » la main de dieu selon ses dires. Nan, mais j’hallucine!
http://www.lequipe.fr/Football/breves2010/20100703_082446_suarez-l-arret-du-mondial.html
Il y a un vrai problème dans le football. Je suis dégoutée pour le Ghana.
Si Gyan avait mis son penalty, on ne parlerait même pas de la main de Suarez.
Asamoah Gyan est coupable.
L’Argentine bientôt out! menée 2-0 elle a 20 minutes pour incrire trois buts.
Le temps de féliciter Serena, les Allemands en rajoutent un 3ème…
Et un quatrième !!
Und eins, und zwei, und drei, und vier… NULL
Ha, ha, ha, ha, ha, ha.
Au tennis, quand tu sers pour le match à 40-0 et que tu foires, tu n’imagines pas que le type va gagner ensuite même s’il a une autre occasion..C’est l’histoire du Ghana hier: penalty à la dernière seconde du match: tu dois la mettre au fond; si tu ne le fais pas, au concours d’aces ensuite, t’es mentalement mort..Dommage pour le Ghana, mais rater un penalty, ce n’est pas excusable pour un professionnel car si le type tire correctement, le gardien n’a aucune chance; un penalty raté, c’est toujours de la faute du tireur, que le goal soit bon ou pas…
Hier, match correct du Brésil mais jouer correctement, cela ne suffit pas pour aller en demie; c’est comme Federer. Il faut être meilleur que cela..
Enfin, aujourd’hui, déroute de l’Argentine..Maradona va devoir rabattre son caquet. Chillavert l’avait bien résumé dans l’Equipe de ce matin: l’Argentine n’est pas une équipe et s’ils ont gagné jusqu’ici, c’est parce que personne ne leur est rentré dedans. Le résultat ne constitue pas une surprise pour moi: quand L’Allemagne joue mal, elle va en demies; quand elle joue bien, elle gagne. Demie finale, c’est toujours le minimum pour la Mannschaft, comme pour Federer jusqu’au mois dernier..
sauf que au bout de se péno il y a une place en 1/2, une première pour une équipe africaine, pas évident à gérer, dans cette CM il a tiré tous les pénos de son équipe, il a foiré celui qu’il ne fallait pas foirer.
Ck avec le but les Uruguayens étaient éliminés avec un péno, ils ne l’étaient qu’à 50%, donc c’est avant tout de la faute de Suarez, et des règles
L’Espagne s’en sort.
Pauvres Guaranis.
80 000 licenciés, l’équivalent d’un stade rempli.
France, Espagne: 2 millions
Allemagne : 6 millions
Toujours héroïques et jamais ridicules en Coupe du Monde.
Respect.
Oui, mais le pénalty, il fallait le mettre au fond ! et les Espagnols n’ont pas fait mieux..
On va vers une finale Allemagne- Hollande, non ? Un truc qui va ranimer l’amitié entre les peuples, à coup sûr..
En Argentine, le retour risque d’être difficile pour Diego après la pire défaite depuis 1974..
Surtout que le Paraguay a eu un but refusé pour hors-jeu imaginaire…
Si en plus, t’en remets une couche sur 1974.. la prochaine étape de ton rapprochement entre les peuples, c’est le bombardement de Rotterdam…
Mais préférons à cette violence sans limite, des images qu’on aimerait voir plus souvent
http://www.youtube.com/watch?v=mxiyDiEMDw0&feature=related
Oui, c’était un bon match qui est resté dans le gosier des Bataves ! Enfin, on n’a toujours pas vengé le soldat Battiston avec tout cela !
j’arrive et je vois que l’Allemagne a gagné et de quelle façon!!!! it’s amazing
Je réagis tardivement mais je trouve qu’Antoine doit être très fort au foot : « rater un penalty, ce n’est pas excusable pour un professionnel ». Se rappeler coupe du monde 86, 1/4 de finale Brésil/France : il y a quelques nuls qui ont raté des pénaltys !
Platini pour les français et deux brésiliens du même calibre, voire plus !
Il arrive même aux meilleurs de foirer lamentablement..
Oui, Antoine exagère, sur un pénalty..ou la séance des tirs au but, toute la pression est sur le tireur.
Là, le gardien n’a aucune pression et rien à perdre.. sauf d’être un héros.
Comme disait Didier Roustan, c’est ..la solitude du … tireur au moment du penalty…pas celle du gardien.
30s après le coup d’envoi, on a déjà un décollage aérien de Van Bommel.ptdr.
En ce début de match les uruguayens pressent intelligemment les oranges.
Ouarfffffffffff je sors.
Le retourné était magnifiquement exécuté mais il s’est juste trompé de ballon.Dommage.
Fais c…. Forlan, pour cinq minutes, je gagnais mon « parions sport »!
Ou va ce Monde Francky ?un Batave nommé Boulahrouze c’est légal ça!
Tête et but de Robben 3- 1 pour les oranges qui sont redevenus des mecs à nique ouarf ouarf.
Au delà du Surinam, les Provinces-Unies se sont manifestement élargies à l’Auvergne.
En Anglais ça donne :Bull aru’z classe !
j’ai droit hein ?
eeeeeeeeeeeeeeeeestamoooooooooos en la finaaaaaaaaaaaaaaalllllllllllllllll !
En parlant de ça, j’aime bien la photo de l’équipe de coupe Davis en train de regarder le match (en page d’accueil et sur le blog du site de la DC) ! Et le photographe était allemand
Voilà qui fera un vainqueur inédit, si je ne m’abuse…
Je vois que les filles suivent de plus en plus le foot
C’est trés bien
Mais il faut qu’elles restent bien conscientes d’une chose :
http://www.youtube.com/watch?v=1LOHGs11uoM
http://estaticos03.marca.com/imagenes/2010/07/11/futbol/mundial_2010/selecciones/espana/1278848070_1.jpg