Les stars, le public et les invités surprise. Dès la première année, tous les ingrédients qui vont faire le sel du tournoi de Bercy sont déjà présents. Qualifs à Meudon, suspension record de McEnroe et Becker de gala, l’Espagnol Sergio Casal a été le témoin privilégié des coups de raquettes et coups d’éclat du Bercy inaugural. Souvenirs hauts en couleurs d’un finaliste discret.
L’aventure Bercy débute à… Meudon. C’est là, précisément au Forest Hill de Meudon-la-Forêt, qu’à la fin octobre 1986 Sergio Casal vient disputer les qualifications du premier Open de Paris, dont le tableau principal se joue dans le récent complexe du Palais omnisports de Bercy. A 25 ans, le Catalan est alors peu connu, lui qui par la suite gagnera deux Grands chelems en double, avant d’atteindre la notoriété via l’académie créée en compagnie de son compère Emilio Sanchez à Barcelone, où Svetlana Kuznetsova, Andy Murray et Ana Ivanovic furent ses élèves. « Ce Bercy a été le meilleur tournoi de ma carrière, estime l’intéressé, rare représentant de la caste des serveurs-volleyeurs venu de l’autre côté des Pyrénées. J’en garde de bons et nets souvenirs. A l’époque, j’étais 100e mondial et des poussières. Bercy était un gros tournoi pour un joueur de mon niveau, qui oscillait entre circuit principal et Challengers, et j’étais déjà content d’intégrer les qualifs. »
Son long périple vers la finale – seul Radek Stepanek a reproduit depuis pareil cheminement tortueux, en 2004 – débute donc sur les courts couverts à Meudon. Trois rencontres à gagner pour intégrer le tableau final, et déjà des images colorées imprimées dans sa rétine : « Un match en particulier m’a marqué, contre Mansour Bahrami. Il n’y avait pourtant pas beaucoup de spectateurs, une poignée peut-être… mais c’était bien assez pour que Mansour me sorte la totale des coups inattendus qui ont fait sa réputation. Ce qu’il fait aujourd’hui en exhibition sur le Senior Tour, il le faisait alors en match. Il cherchait autant à faire rire les gens qu’à gagner. Trois spectateurs lui suffisaient et c’était parti. Ce pouvait être déstabilisant quand on ne le connaissait pas. »
Ce drôle d’obstacle passé, Casal découvre deux jours plus tard l’enceinte du POPB, où l’aventure se poursuit face à un Français, Tarik Benhabilès. « Un tournoi, c’est aussi une part de chance, reprend t-il. Dans l’année, il y avait toujours une ou deux semaines où toutes les pièces du puzzle – le tableau, le niveau de jeu et le mental – s’imbriquaient. A Bercy, c’était mon tour. D’abord parce que je tire un autre qualifié, Matt Anger, au premier tour. Une entrée en matière accessible. Ensuite parce que Benhabilès ouvre ma partie de tableau en sortant une « perf » contre Miloslav Mecir, que je devais affronter au deuxième tour. C’était ma chance : Mecir me battait à chaque fois facilement. » Casal ne laisse pas passer l’occasion face à l’ancien vainqueur de Roland-Garros junior : Benhabilès, wild-card à Bercy, est écarté en trois sets devant des tribunes clairsemées, déjà repues ce soir-là par les victoires précédentes de Forget et Leconte. « Vous le savez sans doute mieux que moi, Bercy est comme un chaudron, compare l’Espagnol. Les gradins peuvent être très chaud, monter très vite en ébullition. Ils sont très différents des tribunes de Roland-Garros. A Bercy, le public est expressif, bruyant, met beaucoup de pression quand tu joues un des siens. Il t’agrippe dès la sortie du tunnel en hurlant ses « Allez, allez ». C’est presque de la Coupe Davis. A mon époque on voyait même des gens fumer dans les gradins ! Heureusement pour moi, nous étions deux joueurs peu connus et après les matchs des meilleurs Français, ça n’avait jamais dépassé les bornes. »
La tempête, c’est pour les quarts de finale, où Casal affronte un John McEnroe toujours pas qualifié pour la grand-messe du Madison Square Garden. Si l’Américain est retombé au 10e rang mondial, « il avait toujours une aura particulière se remémore l’Ibère. Et à titre personnel c’était mon idole. Je n’avais jamais joué contre lui ; en soi, c’était déjà une récompense. »
« McEnroe me dit : ‘Tu ne gagneras pas ce match’ »
Mais peut-on être préparé à affronter McEnroe quand on n’a encore jamais croisé sa route ? L’Espagnol se fait intarissable, s’animant au fur et à mesure qu’il revit cette partie pas comme les autres : « Cela a été un match compliqué, avec beaucoup de contestations du côté de John. Au début pourtant, je jouais vraiment bien, et c’était presque facile… Je ne ressentais pas de différence de niveau. J’étais dans ma dynamique, je ne perdais pas mon service, j’avais l’impression de voler sur le court. Je jouais d’égal à égal avec lui. Sans même m’en rendre compte, me voilà menant 6/3, break dans le deuxième, 3-2. C’est à ce moment-là que j’ai pris conscience que j’étais en train de battre McEnroe. Logiquement, j’ai fait ce qu’il ne fallait surtout pas faire : j’ai commencé à cogiter. John s’en est aussitôt aperçu et s’est mis à me héler, à me chambrer entre les points. Il savait très bien jouer de son aura pour intimider. Évidemment, il a débreaké dans la foulée et m’a lancé bien distinctement en me cherchant du regard : « ‘Tu as laissé passer ta chance. Tu ne gagneras pas ce match !‘ »
Pourtant Casal s’accroche à son service, et les deux hommes se retrouvent au tiebreak dans le deuxième set : « Là, c’est devenu le grand bordel ! J’obtiens une balle de match à 6-5. Il sert, je retourne dans le filet. 6-6. Quelques instants plus tard, il prend un de mes points de service et a une balle de set dans sa raquette, à 8-7. Il frappe un ace… et dans l’élan de son service-volée fonce s’asseoir sur sa chaise, sans attendre confirmation du score ! Hors l’arbitre annonce « deuxième service ». McEnroe explose : « Mais non, le set est pour moi ! Elle était bonne ! Je l’ai gagné ! » Tout le public commence à crier. Moi, nerveux dans mon coin, je ne savais pas comment réagir. L’arbitre met un avertissement à McEnroe, qui revient finalement jouer son deuxième service… et fait une double faute ! A 9/8 pour moi, deuxième balle de match : c’est la bonne, je finis sur un passing gagnant. »
Jeu, set et match, tout le monde au vestiaire ? Pas tout à fait : « Avec moi pas de souci, John me serre la main franchement. Mais derrière il va vers l’arbitre et lui déverse sa rage, lui crie qu’il est le pire arbitre qu’il ait vu, qu’il n’arbitrera plus jamais aucun de ses matchs. Suite à ça je crois que John a écopé d’une lourde amende et d’une suspension. » Car l’irascible Américain a épuisé son quota d’amendes de l’année : suspendu 42 jours, c’est la fin de saison pour McEnroe.
Casal, lui, continue sa route à Paris, battant en demies « Tim Mayotte, un joueur très tranquille, sobre. Comme un contrecoup du match précédent, je n’ai pas beaucoup de souvenirs de celui-là, si ce n’est que, petit à petit, au fil de ce que je réussissais face à de grands joueurs, je me mettais à croire au titre… » Jusqu’à ce que se rêve se heurte de plein fouet au mur Becker en finale. L’Allemand est alors sur la voie royale d’un troisième titre indoor en trois semaines… sur un troisième continent différent ! « Sur une moquette comme le « Supreme », extrêmement rapide et au rebond bas, Becker était invincible. Contrairement aux matchs contre McEnroe ou Mayotte, je n’ai jamais eu la sensation de pouvoir gagner, juste de retarder l’échéance. C’était impossible de lui prendre son service. Dès qu’il armait le bras, c’était ace ou service gagnant assuré à la retombée du geste. Une artillerie lourde. Becker en salle, c’était quelque chose. Je me sentais impuissant… sans même livrer un mauvais match. J’ai tenu jusqu’au tiebreak dans le premier set, et après je perds les deux suivants 6/3 6/4. » En trois sets, « Boum-Boum » met fin à l’aventure entamée huit jours plus tôt à Meudon.
Épilogue : l’histoire entre Sergio Casal et Boris Becker n’est pourtant pas tout à fait terminée. Elle prendra même un tour inattendu quelques mois plus tard, dans un autre chaudron, celui de Barcelone, en Coupe Davis, quand l’Espagnol marquera le cinquième point, victorieux, de son équipe aux dépens d’un Becker au four du simple et au moulin du double ce week-end-là. Deux ans plus tôt, en 1985, l’attaquant catalan avait déjà battu le roi de Wimbledon en indoor, lors d’un dead rubber. Anecdotique ? Sauf que Sergio Casal détient du coup la « stat » flatteuse d’avoir infligé à Becker, monstre d’excellence en Coupe Davis, deux de ses trois seules défaites en quarante-et-un simples disputés ! « McEnroe à Bercy et Becker en Coupe Davis à Barcelone, ce sont mes plus belles victoires, confirme t-il. Le match contre Boris, tout le monde l’a vu à l’époque. On m’en parle encore aujourd’hui : « Ah oui c’est toi le premier qui a battu Becker en Coupe Davis ! » La victoire sur McEnroe, c’est plus réservé aux aficionados. Mais pour moi… » Un silence, avant de conclure : « Il y a parfois des choses curieuses dans le tennis, comme avec Boris dont j’ai longtemps été l’unique tombeur en Coupe Davis, ou comme ce quart de Bercy contre McEnroe. C’est le pic de ma carrière, gagner contre une légende. Je le joue une seule fois, et je le bats. Le dernier point du match, la sensation immédiate, je n’oublierai jamais. »
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Je ne comprends toujours pas que Ferrer pose autant de problèmes à Berdych.
7-3 en H2H maintenant.
Roger devrait demander des conseils à David.
En tout cas, c’est une autoroute pour Nadal qui devrait sans doute jouer sa première finale à Bercy.
Il en a déjà joué une, non ? Il n’avait pas perdu contre Nalbandian ?
Exact en 2007!
C’est seulement sa 4ème participation à Bercy …
Richard et Stan, les siamois de 2013. Suisses, revers à une main. Ratio victoires/défaites post Bercy: 50/20 pour le premier, 49/21 pour le second. « Match nul » à Roland Garros. Après un échec en demi-finale de l’US Open, douzième défaite d’affilée face à Nadal, treizième défaite d’affilée face à Djokovic, symétriques jusque dans le score : 6/4 6/1 d’un côté, 6/1 6/4 de l’autre, reflet d’une incapacité à s’imposer face au top 2. Valeureux, combatifs, qualifiés pour le Masters, Richard et Stan demeurent (à tout jamais ?) des lieutenants.
Tu peux peut-être dire que Stan « demeure » un lieutenant, mais tu ne peux quand même pas employer ce verbe pour Roger.
Il a été le plus longtemps de l’histoire n°1 mondial, je ne vois pas comment il peut « demeurer » un lieutenant!!!!!!!!!!
Qu’il le soit devenu, peut-être, mais demeurer sûrement pas.
Je pense qu il s agit de Riri, pas Roro
Mes excuses, j’ai été trompé par « suisses ».
je crois que j’ai le RYSC le plus foireux de l’année avec un pt pour fognini !
roger sauve moi et gagne bercy ! ça me fera 2 !
Marie qui encourage Roger, on aura tout vu !
Fed attaque au même niveau qu’hier et break au même moment.
putain on peut dire que Roger est bien rentré dans son match !!! énorme niveau, très bon tactiquement
Djoko n’y est pas trop mais Roger ne lui laisse pas trop de répit non plus
Bien joué Federer qui remporte le 1er set malgré un Djoko qui retrouve peu à peu son tennis après un début de match poussif. Federer doit rester offensif et ne pas entrer dans la filière longue de Djoko.
Federer très accrocheur et Djokovic qui fait quelques grosses fautes
Break d’entrée pour le Suisse.
Les groupes pour Londres ont été annoncés et sont bien déséquilibrés !
Groupe A: Nadal, Ferrer, Berdych, Wawrinka
Groupe B: Djokovic, Delpo, Federer, Gasquet.
hop debreak de Novak qui est bien mieux depuis plusieurs jeux
…Rhaaa pfff, ces deux fautes de coup droit là…Moi j’aurai pas fait ça, j’aurai arrondi juste un tout petit peu sur la première et ça me faisait une balle de break, et après zou, pareil long de ligne, et là, j’allais m’asseoir avec encore un break et le public en train de scander mon nom…
Fou comme Federer se fait déborder à chaque fois côté coup droit…
Gasquet vraiment pas gâté par le tirage au sort des groupes au Masters.
« Les groupes pour Londres ont été annoncés et sont bien déséquilibrés !
Groupe A: Nadal, Ferrer, Berdych, Wawrinka
Groupe B: Djokovic, Delpo, Federer, Gasquet. »
Tout à fait, Rémy. Le groupe A réunit les numéros 1, 3, 5 et 7 du tournoi. Alors que le groupe B verra s’affronter les numéros 2, 4, 6 et 8. Il n’y a pas photo!
Mon Dieu ce tirage. Gasquet c’est Andromède, son armure rose, sa voix de fillette et sa chaîîîne nébulaaaire qui fait face à Novak Chevalier d’Or des Gémeaux, Juan Martin Chevalier d’Or du Taureau et Roger Chevalier d’Or du Sagittaire.
et voilà djoko en finale et moi avec un rysc désastreux ! je vais me faire doubler dans la dernière ligne droite pour le masters…
je me sens comme raonic là !je n’ai pas bien joué, j’ai perdu
Pas facile à pronostiquer ce Bercy… La surprise, c’est qu’il n’y a pas de surprise!
pour des surprises y’en a pas eu des masses… et attends, nadal peut encore dégager sur david !
nadal et stan ont le tableau bordé de nouilles grave !
l’autre poule c’est la mort qui tue avec gasquet au mileu ! s’il gagne un match je lui tire on chapeau ! peut être que sa meilleure chance s’est de prendre djoko d’entrée qui devra enchainer quasi sec avec sa finale dimanche… mais bon ce sera pas du gateau !
par contre stan devrait pouvoir se sortir des griffes de berdych ou ferrer qui semble parti pour éliminer nadal à bercy et prolonger son séjour à paris !
delpo qui se fait voler comme un bleu à gare du nord… il s’est fait tirerr ses bagages et le seul truc qui l’enmerde vraiment c’est la perte du rosaire du pape françois, c’est pour ça qu’on l’aime aussi le « grandullon » de tandil
Qu’est-ce qu’il lui arrive à Ferrer? Il est à la rue depuis des mois et là il met Nadal à la rue. La mobylette est de retour. C’est Bercy qui le transcende comme ça?
Soit Nadal n’a pas envie de se coltiner Djoko demain soit il est déjà à Londres, il fait quand même bcp de fautes surtout grotesques que ça en devient suspect…
Gasquet est verni sur ce « Masters ». Sur le papier le groupe B, c’est celui de la mort. Il faudra voir la forme physique de Delpo et de Djoko qui sortira d’une finale la veille du tournoi.
David je t’aime !!
Prends en de la graine Richard
Bon se sera une finale Djokovic-Ferrer. Il me semble que Djoko reprend la place de numéro 1 en cas de victoire plus que très probable demain.
Ca alors ! Je m’attendais pas à ce score et encore moins à ce vainqueur ! J’ai bien cru que se faisant debreaker en servant le match Ferrer s’était tiré une balle dans la tête, comme très souvent face à Nadal, mais il a enchainé les deux jeux qu’il fallait.
Pas convaincu malgré tout, j’achète pas trop… Je soupçonne Rafa de le réduire en charpie la semaine prochaine…
Trop nul sur cette surface, le Nadal. Maintenant direction Londres pour se prendre trois fessées monumentales.
On dirait bien que Ferrer a pris goût aux finales à Paris, ça fait 3 de suite quand même !
Je n’ai pas commenté l’article que j’ai lu dans un train, il m’a appris plein de choses. Etonnant, ce record contre Becker !
Mon dieu c’est quoi cette poule pour Gasquet au Masters! Ptet un coup à jouer vs Roger mais Djoko et Del Po j’y crois bof
Nadal sur ce tournoi était en mode survie, balles liftées à mort, niveau carré de service. Pas génial mais il faut pouvoir le battre malgré tout et Richard a coulé dans ses complexes… Que Ferrer ne fait pas. Il sort le super match dont il a besoin pour sa victoire bisannuelle sur Rafa.
Fed ses matches contre Djoko me soûlent désormais plus que ceux contre Nadal. Quand il se tient derrière la ligne de fond il est en survie sur chaque frappe de Nole qui domine l’échange complètement. Dans le jeu de la machine lance-balle il y a trois classes d’écart. Et plus que Nadal, Djoko arrivé rendre Roger fébrile en revers. Slice, slice, inoffensif, ou recouvert à 45km/h. Quand on voit les pralins que Stan met sur ce coup face à Djoko, ça fait mal au cœur.
Bon Djoko finit l’année sur quatre tournois de suite dont deux m1000 et le masters et coiffe Rafa à la photo finish. De la burne en fonte ce petit.
Attention, ca va être chaud pour le RYSC.
Je préviens déjà toutes les personnes concernées par le Tour Final.
Qualifiés : Nath, Sylvie, May, Fieldog, Kaelin, Skvorecky, Quentin, Babolat, Antoine, Jérôme.
Remplaçants : MarieJo, Oluive et JoAkim.
Toutes ses personnes auront à poster une liste.
Je vais faire ce que je peux pour mettre en ligne demain soir. Le premier match commençant lundi 13h heure française
Ca marche, je posterai ma liste sans fautes dans les temps. Jte remercie Rémy !
Tu nous expliqueras les règles
A la relecture, il semble que le règlement d’Arno prévoie également la qualif de Homais (5.C) en plus des 8 premiers et des vainqueurs de GC hors top 8.
Article 5- Seront admis au Masters de Londres :
A/ Les huit premiers du classement annuel publié après l’Open de Paris-Bercy.
B/ Les vainqueurs de Grand chelem n’appartenant pas à la catégorie A.
C/ Le participant le moins bien placé au classement annuel ayant participé au moins aux quatre tournois du Grand chelem. Ce sera son ultime chance de briller, c’est « La revanche du Perdant ». En cas d’égalité sur ce critère, le « Perdant » sera désigné grâce à sa moyenne de points par tournoi: si deux concurrents sont à 10 points, que l’un a joué quatre tournois et l’autre treize, ce dernier est bien évidemment beaucoup plus nul et sera considéré comme « Perdant » ! En cas de nouvelle égalité, les ex-æquo seront admis ensemble au Masters de Londres
ou alors le nb de points global et non celui réalisé sur les 4 GC est pris en compte pour le « champion des perdants » ? ça parait contradictoire avec la dernière phrase, car le nb de tournois est complètement différent, mais bon !
En tous cas quelle andouille ! je n’avais pas relu le règlement et pensais que les gagnants de GC évinçaient les classés, comme à l’ATP… du coup je ne pensais pas pouvoir me qualifier et je me suis vautrée dans le WT !
haha ! bon courage pour interpréter le résultat de Ferrer contre Nadal – surtout qu’il est dans sa poule…
« Classement annuel » et non uniquement classement des tournois du GC.
dire que la défaite de rafa m’a rapporté un 2è point au RYSC et que je suis remplaçante c’est les bouboules !
je poste ma liste ce soir sur ce fil ou celui du RYSC bercy ?
euh s’il faut poster sa liste avant 13h demain et que tu ne poste rien avant le soir on fait comment ?
ahhh je sens qu’antoine qui est en vacances en grèce va déclarer forfait et que je vais être in !!!
Euh ! Il n’y a pas une erreur là ? Je vois un peu plus haut que je suis qualifié pour le Masters !?
Ferrer en 2 sets !
C’est sympa ce RYSC. On vient à encourager pour la gloriole des types qu’on n’aurait jamais imaginé supporter un jour. Ca en dit long sur la nature humaine.
L’ami Ferrer ne conservera pas son titre, j’en ai peur… Il a servi pour le match, s’est fait debreaker à 15 et derrière Djoko a enchaîné 2 jeux pour boucler le set 7-5.
Je pensais vraiment que c’était mort pour lui, la place de numéro 1, mais le bougre a de la ressource, c’est indéniable…
Le temps de l’écrire et 3 balles de break pour Ferrer ! J’ai vraiment du nez…
*pour le set bien sûr, pas pour le match
Ferrer va écraser Nadal à Londres. Qu’est ce qu’il est bon, le David!
Encore une fois, le voleur de poules s’empare d’un nouveau Masters 1000. Quelle imposture!
Dans un univers parallèle, Ferrer a conservé son titre en l’emportant 5-3 5-3.
Sliders ^^
Djoko pop vainqueur ! bon c’est au moins 1 point de plus sur mon RYSK ^^
Bien vu Lorio !
Djokovic fait une grosse fin de saison. Depuis la fin de l’US Open, il n’a pas perdu un match, a remporté 4 tournois dont 2 M1000, et a battu tous ses rivaux au sommet : Nadal, Ferrer, Federer, Del Potro… Pourtant je ne l’ai pas trouvé excellent à Bercy, je m’attends à un tout autre niveau à Londres, chez lui comme chez Nadal.
Djoko peut espérer améliorer son total de combien de points avec la Coupe Davis? Ca pourrait avoir son importance pour la place de numéro 1 en fin d’année!
He could make History.
225 s’il gagne ses deux simples et qu’il soulève le trophée.
150 s’il gagne ses deux simples mais que les Tchèques l’emportent 3-2.
75 s’il ne gagne qu’un match.
Nadal est donc sûr de finir numéro 1 s’il gagne deux matches à Londres.
S’il n’en gagne qu’un, Djoko doit faire un sans faute.
En cas de foirage total de Nadal, Djoko peut se permettre une défaite en match de poule, à condition de gagner ses deux simples en CD.
« Je suis bon partout. Techniquement, à part lors des jeux important, je n’ai aucune lacune. » David Ferrer