Vidéos de Noël : spécial tennis féminin

By  | 25 décembre 2011 | Filed under: Les filles

Pour Noël cette année, on rend hom­mage au ten­nis féminin, par l’entrem­ise de quelques-unes de ses plus glorieuses re­présen­tantes. De Maria Esth­er Bueno à Just­ine Hénin, c’est un demi-siècle de ten­nis que l’on vous pro­pose de (re­)par­courir. Joyeuses fêtes à toutes et à tous !

- Just­ine Hénin et Amélie Maures­mo, une cer­taine idée du ten­nis. Jeu en varia­tions, touch­er de balle, montées au filet et re­v­ers à une main de gran­de clas­se, Juju la Belge et Amé la Française ont régalé dix ans durant, délicieux an­achronis­me, les fans de « beau jeu ». Le pic de leur rivalité : la fin­ale de Wimbledon 2006, re­mportée par la Française (2/6 6/3 6/4). Son apogée tech­nique ? Pile un an plus tard. Eas­tour­ne 2007, Just­ine Hénin bat Amélie Maures­mo, 7/5 6/7 7/6. Sur cet autre gazon an­glais, celle qui est en­core tenan­te du titre à Wimbledon et celle qui court après le seul grand titre man­quant à son pal­marès, malgré deux fin­ales per­dues, vont li­vr­er un match d’anthologie, méconnu et pour­tant splen­dide, à faire re­grett­er que le ten­nis féminin ne se joue qu’en for­mat trois sets. Et que ces deux joueuses n’aient pas connu une fin de carrière aussi bril­lante que leur ten­nis.

- Mar­tina Hin­gis, l’en­fant gâtée. Elle a déboulé sans crier gare, pas bien gran­de, pas bien puis­sante mais bat­tant tous les re­cords de précocité : plus jeune gag­nante de Wimbledon en doub­le à 15 ans, fin­alis­te du Mast­ers, bat­tue seule­ment au 5e set par Stef­fi Graf, à 16… Et bientôt gag­nante en Grand chelem à 16 ans, pour l’Open d’Australie suivant. En fin­ale, elle réalise une démonstra­tion face à Mary Pier­ce (6/2 6/2) ; à la force de frap­pe brute et, il faut bien le dire, un peu bête de la Française, la gamine répond par un sens de l’an­ticipa­tion ex­cep­tion­nel, des rup­tures de trajec­toire im­prévisib­les et une capacité inouïe à quad­rill­er le ter­rain. C’est le début d’un règne : elle re­mpor­te 39 matchs con­sécutifs jusqu’à la fin­ale de Roland-Garros, per­due à la sur­pr­ise générale face à Iva Majoli, se rattrape en re­mpor­tant Wimbledon et l’US Open pour boucl­er un Petit chelem. La suite ? Frustran­te. En­core deux Opens d’Australie (1998, 1999), cer­tes, mais bien vite l’af­faire se com­plique avec l’arrivée au som­met des Wil­liams, Daven­port et aut­res Cap­riati, toutes plus puis­santes les unes que les aut­res. L’exemple-type ? Un fabuleux quart de fin­ale de Wimbledon entre la N°1 mon­diale et la fu­ture reine de Wimbledon, Venus Wil­liams (6/3 4/6 6/4). Réguliè­re­ment blessée, un peu démotivée, la Suis­sesse arrête sa carrière en 2002, à l’âge de 22 ans. Son re­tour à la com­péti­tion, en 2006, n’ap­portera rien de plus à sa légende.

- Li­ndsay Daven­port, la mécon­nue. Toutes cel­les qui se sont frottées à elle la con­sidèrent, à égalité avec les sœurs Wil­liams, comme la joueuse la plus forte de la décen­nie passée : Li­ndsay Daven­port n’a re­mporté « que » 3 Grands chelems (US Open 1998, Wimbledon 1999, Open d’Australie 2000), mais a marqué durab­le­ment ses con­tem­poraines. La gran­de Li­ndsay (1,89m), c’est d’abord un ser­vice tonit­ruant, sans doute le plus ef­ficace jamais possédé par une de­moisel­le. C’est aussi une puis­sance de frap­pe de­structrice, une capacité à per­for­er n’im­porte quel­le ad­versaire… pour peu qu’elle soit sur la trajec­toire. Le déplace­ment et, par­fois, des problèmes de poids, seront les gran­des li­mites de Daven­port. Re­stent ces trois Grands chelems, une médail­le d’or olym­pique (At­lanta 1996), un Mast­ers (1999) et 98 semaines passées sur le trône mon­di­al. Sans oub­li­er « l’hon­neur » d’avoir perdu ce qui a été élu « plus belle fin­ale de Grand chelem féminine des 2000′s », à Wimbledon, con­tre Venus Wil­liams en 2005 (4/6 7/6 9/7).

- Stef­fi Graf, « Fraulein Forehand ». Un coup droit – et un nez – de Con­cor­de. L’Al­leman­de a fréquenté le som­met du ten­nis féminin de 1987 à sa re­traite, en 1999. Et quand on dit « fréquenté », c’est bien souvent « dominé ». En 1988, Stef­fi réalise l’exploit de re­mport­er les quat­re levées du Grand chelem, as­sort­ies d’une médail­le d’or olym­pique à Séoul (à retro­uv­er ici en quat­re part­ies). Plusieurs Petits chelems suiv­ront égale­ment (1989, 1993, 1996, 1997), pour un total de 22 tit­res du Grand chelem à l’arrivée. La miss aura battu aussi bien Mar­tina Nav­ratilova que Venus Wil­liams, sans oub­li­er bien sûr Monica Seles, son ad­versaire prin­cipale en carrière pour une rivalité hélas écourtée (leur grand clas­sique : Roland-Garros 1992, vic­toire 10/8 au 5e de la Yougos­lave). Elle met un terme à sa carrière sur une défaite en fin­ale de Wimbledon con­tre Li­ndsay Daven­port, pour goûter à une paisib­le vie de co­u­ple avec Andre.

- Sabatini, le fan­tasme des jeunes quad­ras. Elle a laissé un souvenir ému chez tous ceux qui ont été adoles­cents dans les années 1980. L’Ar­gentine Gab­riela Sabatini a passé une gran­de par­tie de sa carrière dans l’ombre de Stef­fi Graf, lui concédant fin­ale du Mast­ers en 1987, fin­ale à New York en 1988, fin­ale olym­pique en 1988 et fin­ale de Wimbledon en 1991. Heureuse­ment, elle par­vint tout de même à lui sub­tilis­er une fin­ale d’US Open, en 1990, dans un match tout en­ti­er tourné vers l’at­taque (6/2 7/6). Sabatini orna égale­ment son pal­marès de deux vic­toires au Mast­ers (1988, 1994) et d’une vic­toire à Wimbledon en doub­le en 1988, as­sociée à… Stef­fi Graf.

- Nav­ratilova – Evert, les boulimiques. Elles ont in­carné 20 ans de ten­nis féminin, des années 1970 à la décen­nie 1990. Elles ont en­core côtoyé les légen­des King et Goolagong, avant d’as­sist­er à l’émerg­ence des Graf et Seles. Les chiffres de la rivalité Nav­ratilova / Evert don­nent le vert­ige : 80 con­fron­ta­tions (43/37 en faveur de la Tchèque), 14 fin­ales de Grand chelem les ayant opposées (10-4 en faveur de la Tchèque), 18 tit­res en Grands chelems de chaque côté, 167 tit­res con­tre 154, 4 Fed Cup con­tre 8… Et on ne s’arrête qu’au sim­ple, sinon on y passe la journée de Noël ! Dif­ficile dès lors de s’arrêter sur un seul match : si on ne sélec­tion­ne que les fin­ales majeures, con­ser­vons l’US Open 1984 (vic­toire de Nav­ratilova 4/6 6/4 6/4) et Roland-Garros 1985 (6/3 6/7 7/5 pour Evert, alors que Nav­ratilova avait re­mporté 15 de leurs 16 de­rni­ers matchs)

- Hana Man­dlikova, la tueuse de géantes. Le règne sans par­tage d’Evert et Nav­ratilova a causé bien des dégâts, for­mant un gigan­tesque cratère entre elles et le reste du monde. Mais au milieu de ce panorama très ex­clusif de la première moitié des 80′s, une femme par­vint de temps à autre à ab­attre sa pro­pre carte : Hana Man­dlikova, petit bout de joueuse Tchèque bourrée de talent, au ten­nis cris­tallin… tout comme ses nerfs. Ce sont eux qui l’empêcheront d’avoir un pal­marès plus conséquent. Mais du haut de ses quat­re Grands chelems, Man­dlikova n’a pas grand-chose à re­grett­er : Open d’Australie 1980 et 1987, Roland-Garros 1981 et sur­tout l’US Open 1985, son mor­ceau de bravoure, où elle bat coup sur coup Evert en de­m­ies et Nav­ratilova en fin­ale (7/6 1/6 7/6). Seul Wimbledon s’est refusé à elle, malgré deux fin­ales en 1981 et 1986. Man­dlikova ? Un Mecir qui a réussi.

- Vir­ginia Ruzici, tel « Nas­tase au féminin ». C’est le sur­nom dont la Roumaine Vir­ginia Ruzici avait été af­fublée après sa vic­toire à Paris en 1978 : « Nas­tase au féminin ». Ex­cel­lente joueuse de terre bat­tue, elle y re­mpor­te cette année-là le sim­ple, 6/2 6/2 con­tre Mima Jausovec, mais aussi le doub­le, en com­pag­nie de la même Jausovec. Ad­roite, espiègle, son jeu autant que son caractère plaisent au pub­lic, qui la retro­uve en­core en fin­ale du French en 1980, bat­tue cette fois par Chris Evert, puis en­core en 1981, cette fois en quarts. Elle ne dépasse jamais ce cap du Grand huit dans les trois aut­res Grands chelems, et lais­se, comme son aîné Ilie, une trace un peu à part à Roland.

Maria Esth­er Bueno, char­me et talent. Le Brésil, terre de ten­nis ? On n’ira pas jusque-là tant le foot­ball est, plus qu’ail­leurs, roi au pays de la samba. Mais terre d’esthètes du sport, assurément. Et le moins que l’on puis­se est qu’avec Maria Esth­er Bueno et Gus­tavo Kuert­en la pro­duc­tion ten­nis a été à la hauteur.

Née à Sao Paulo en 1939, Maria Esth­er Bueno a tout appris du ten­nis avec son frère aîné et, dès son pre­mi­er voyage en Europe, en 1958, elle re­mpor­te les In­ter­nationaux d’Italie en sim­ple, ainsi que le doub­le à Wimbledon, as­sociée à Al­thea Gib­son. L’année suivan­te, elle s’im­pose en sim­ple à Wimbledon, puis de­vient la première non-Américaine à re­mport­er la même année Wimbledon et l’US Open. A Londres, pour son pre­mi­er Grand chelem, elle domine Dar­lene Hard en fin­ale (6/4 6/3). C’est le début d’une lon­gue série gag­nante puis­qu’el­le re­mpor­tera 3 Wimbledon (1959, 1960, 1964) et 4 US Open (1959, 1963, 1964, 1966). Gran­de rivale de Mar­garet Court, elle lui dis­pute 6 fin­ales de Grand chelem, en re­mpor­tant 2. En doub­le, elle réalise le Grand Chelem en 1960 as­sociée à Hard et Truman. Les spécialis­tes la re­con­nais­sent N°1 mon­diale en 1959, 1960, 1964 et 1966.

Sur le court, Maria Esth­er Bueno est une joueuse élégante, au style très fin. Elle possède un fabuleux touch­er de balle qui en fait la préférée des foules. Elle est aussi très ner­veuse, et ses matchs sont souvent pro­pices aux re­bon­disse­ments et re­tour­ne­ments de situa­tion. Elle est enfin dotée d’une per­son­nalité com­plexe, tiraillée entre ses con­vic­tions de fer­vente cat­holique et sa vie de vedet­te dans un en­viron­ne­ment pas toujours approuvé par l’Église. Le doub­le dames, union de deux de­moisel­les en jupet­tes, lui pose notam­ment de gros problèmes de con­sci­ence en même temps qu’il en­ric­hit son pal­marès… Aut­res temps, aut­res mœurs !

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196 Responses to Vidéos de Noël : spécial tennis féminin

  1. Antoine 31 décembre 2011 at 13:35

    Quelle fin de match ! Enorme effort de Roger pour perdre son service: il a été obligé de faire deux fautes directes de suite. Pourtant, il y a cinq minutes sur la première balle de break, il était monté à mi court sur le coup droit de Nadal mais ce dernier avait réussi à la mettre dans le filet…

    Nadal va boucler le match et Roger aura donc gagné 9 jeux au total à Abu Dhabi, record à battre !

  2. Sylvie 31 décembre 2011 at 13:41

    Le deuxième set était mieux mais on a clairement eu l’impression qu’il ne voulait pas gagner son jeu de service à 5 partout. Il a fait des fautes énormes dont deux superbes dévissages dans le couloir. Soit, il tente des trucs et s’en fout royal du résultat, soit ils avaient décidé de ne jouer que deux sets.

    On en saura plus à Doha.

  3. Ulysse 31 décembre 2011 at 13:41

    Les deux font très fort dans la nullité même si c’est Roger qui gagne le pompon. Ça confirme que la préparation spécifique des mini-saisons et des grands rendez-vous est un truc très pointu et que ces deux-là sont excellents dans cet exercice dur à maîtriser. Ils sont d’autant plus mauvais avant l’heure qu’ils seront prêts au moment voulu.

  4. Antoine 31 décembre 2011 at 13:46

    Le plus pathétique est d’entendre les commentateurs: par exemple après une balle de match sauvée par Roger: « still fghting ! ». En tout cas, le cheick s’est fait refaire de quelques M$. Mais Roger est content de lui, comme d’habitude, cela fait plaisir à entendre. Nadal aussi. Bon réveillon les amis. Roger prend son avion et sera à Dubaï dans une demie heure. Pour le voir jouer au tennis, il faudra attendre mardi ou mercredi à Doha…

  5. Sylvie 31 décembre 2011 at 15:16

    Bon ben Ferrer n’a pas fait mieux qu’un mauvais Roger. 6/2 6/1 Djokovic.

    • Antoine 31 décembre 2011 at 15:25

      Décidemment le Djoker est vraiment un abruti !

      Il souhaite venir à Abu Dhabi empocher 1 M$ mais se décide tardivement du coup les contrats des autres sont signés et il est obligé de faire un match de plus. En plus il ridiculise les autres et l’exhibition elle même parce que les spectateurs vont avoir comme un doute pour ceux qui y croyaient, et frustre les autres spectateurs qui étaient venus voir un spectacle supposé durer plus de trois quarts d’heure…Vraiment le mauvais con. A la place du Cheick, je ne le réinviterai pas: il gâche tout. Vivement qu’il se fasse dérouiller à Melbourne…C’est un sale type. Je commence à le détester..

      C’est un Tocard avec un grand T: d’ailleurs 32 participants sur 33 l’ont pris comme Tocard cette année à Grandeur & Décadence. Sam ne peut quand même pas avoir raison contre tous les autres, non ?

    • Jeanne 31 décembre 2011 at 15:28

      C’était pas un bon Karma, cet Abu Dhabi. Federer pas très concerné et pressé de retrouver Mirka et les petites, Nadal dans ses brumes de décembre, Ferrer pissant des super UV mais pas charismatique, NG en mode warrior à contretemps.

    • Sylvie 31 décembre 2011 at 15:44

      C’est vrai que ce n’était pas une bonne cuvée. Un cavalier seul du Djoko qui semble vouloir marquer son territoire. Les autres pas réglés ou peu concernés, du coup pas du grand tennis.

      On ne peut pas reprocher à Djoko de ne pas avoir joué le jeu. Il a bien fait une exhibition, non ? Pas au sens où les spectateurs l’entendaient peut-être mais c’en est une tout de même.
      ;)

      Au moins il a bien joué, on ne peut pas en dire autant de tout le monde.

  6. Antoine 31 décembre 2011 at 15:34

    Finalement, la grande star, une fois de plus, c’est Gaël ! Le seul qui ait pris un set au Djoker ! C’est grace à ce dernier qu’il a d’ailleurs été invité. Il fallait un 6ème en raison de l’arrivée du Djoker…Idéalement, cela aurait du être la Murène, mais il a préféré rester s’entrainer à Miami. Du coup, ils ont invité Gaël moyennant un petit chèque.

    En tout cas, sur le papier, c’était bien: 5 des 6 meilleurs joueurs du monde !

    • Jeanne 31 décembre 2011 at 15:38

      J’oubliais Gaël -les bons mots- en effet !

    • Sylvie 31 décembre 2011 at 15:46

      Tu nous ressors des articles de 2006 ? Tu fais une collection des perles de Monfils ou tu es une fan qui n’ose pas faire son coming out ?

    • Jeanne 31 décembre 2011 at 15:53

      :lol: non mais je trouve que ces bons mots méritent de figurer en bonne place dans le petit Gaël illustré pour la postérité

    • Sylvie 31 décembre 2011 at 15:58

      C’est ce qu’on dit, c’est ce qu’on dit… :D

    • Jeanne 31 décembre 2011 at 16:07

      Mais euh ! Sylvie ! :mrgreen:

  7. May 31 décembre 2011 at 15:38

    Djokovic est en manque de reconnaissance permanente et pour cause…, il ne fait qu’envoyer des signaux au monde mais il le fait souvent de manière maladroite. Mais bon les exhib’ on s’en souvient que le temps d’un week-end. Il est déjà au taquet et est prêt à nous faire une année 2011 bis, je ne sais pas si cela va le desservir ou au contraire le propulser encore plus haut.
    Plus que quelques jours avant le coup d’envoi pour une année 2012 que j’espère palpitante.

    • Jeanne 31 décembre 2011 at 16:06

      manque de reconnaissance permanente : c’est exactement ça, et explique beaucoup. Encore plus haut cela voudrait dire le Grand Chelem. Et là, je ne le souhaite pas.

  8. Clément 31 décembre 2011 at 17:12

    Hoooolyyyy sh************t!!!
    http://tinyurl.com/78utsa8

    Antoine, NE CLIQUE PAS.

    • Jeanne 31 décembre 2011 at 17:14

      La news de l’année ! On comprend que 2012 est la fin du monde. Antoine par pitié. TOUT sauf ce clic. J’en appelle à la modération, détruisez le post de Clément.

    • Sylvie 31 décembre 2011 at 17:32

      ENORME !!!
      Il ne faut pas gâcher le réveillon d’Antoine, il vaut mieux qu’il ne voit pas ça tout de suite.

    • Coach Kevinovitch 31 décembre 2011 at 17:43

      Oh la la la la la!!! QUELLE NEWS!!!

      Murray va gagner Wimbledon en cinq sets en remontant un déficit de deux sets à zéro contre Federer.

      Andy Murray sera un très grand joueur.

    • Antoine 31 décembre 2011 at 17:46

      ENFER ET DAMNATION !!!

      TROP TARD !

      On en avait parlé et je n’y avait pas cru ! Quand je pense que je m’apprêtais à prendre la Murène comme Performeur ! Il va paumer au moins 5 000 points dans l’année…!

      Je plains sincèrement tous ceux qui ont déjà posté, les malheureux !

      Ivan, de retour sur le circuit pour apprendre à la Murène comment paumer des finales de GC, c’est un gag ! En tout cas la Murène a le numéro un de l’histoire dans cet exercice..!

      Saleté ! Je savais bien qu’il fallait le pendre au plus vite, il est encore capable de faire des dégats !

    • Djita 31 décembre 2011 at 17:50

      OMG! Lendl qui revient au premier plan avec Murray qui plus est. C’est une catastrophe, un bouleversement, un choc!
      Mais Murray a fait le bon choix, il ne pouvait trouver mieux que Lendl pour l’aider à surmonter ses derniers obstacles. Désolé mais il faudra compter avec un grand Murray en 2012! :cry:

    • Sylvie 31 décembre 2011 at 19:27

      J’ai adoré ce tweet :
      Lendl working with Murray? I can’t even begin to imagine the fun at the press conferences…

    • Sylvie 31 décembre 2011 at 19:28

      Du même Enrico Maria Viva

      I can’t wait for Wimbledon 2012 when Murray will be asked « how can Lendl help you to win the tournament? »

  9. Nath 31 décembre 2011 at 17:32

    http://apps4e.com/qtf/tournaments/main_draw_singles.pdf
    Davy-Fed pour commencer l’année, ça vous dit ?

    • Jeanne 31 décembre 2011 at 17:38

      Bigre le tirage !

    • Antoine 31 décembre 2011 at 17:38

      Ceux qui ont pris à la fois Federer et Davydenko comme Pertformeurs vont en être pour leurs frais !!! Comme Fieldog par exemple !

    • Djita 31 décembre 2011 at 17:48

      C’est marrant comme on change d’une année à l’autre, l’affiche de la finale de l’an passé devient un premier tour. Génial.
      Je ne sais pas en quelle forme est Davy mais Federer ne fait pas une bonne affaire en se tirant le Russe. Il m’a l’air pas assez en jambes.

  10. Djita 31 décembre 2011 at 18:05

    Une superbe vidéo pour finir l’année.
    http://youtu.be/pdZSjqPqNdI

    • Sylvie 31 décembre 2011 at 19:26

      merci :D

  11. Babolat 31 décembre 2011 at 19:34

    De par ma position géographique, je suis un des seuls 15 lovers à être déjà en 2012. Rassurez-vous… ce n’est pas douloureux mis à part le fait que des reptiles gluants viennent d’apparaître dans les rues et dévorent les passants, que la lune est sortie de son orbite et s’éloigne de la terre provoquant moults raz de marée, qu’il pleut du sang mais que le télé-achat marche toujours ouf… je vais pouvoir acheter du Baygon pour virer l’armée de sauterelles qui a élu domicile sur mon balcon. Sinon… euh, tout va bien. :)
    Bonne année à toustes

  12. Antoine 31 décembre 2011 at 23:10

    Salaud d’Ivan !

    Il m’a pourri mon réveillon. Je me suis barré après que deux ex-amis aient essayé de me casser la gueule parce que je les avais traités d’enculés, eux, Lendl et la Murène en ajoutant qu’à quatre ils pourraient toujours faire un film de tapettes. J’ai refusé de m’excuser et me suis cassé. Rien à foutre, ma cave est pleine de toute façon et je viens de lire l’article de Fred qui est super mais je n’en dit pas plus et ne mettrai un commentaire que demain ou après demain..

    Cela étant, j’envisage désormais autre chose au sujet d’Ivan: si la Murène ne l’a pas viré d’ici là ou qu’il ne s’est pas cassé de lui même comme Jimbo l’avait fait avec Roddick en lui disant que le coaching l’empêchait de promener son chien (véridique !), l’affreux sera là à Roland Garros dans la tribune des joueurs, immédiatement à droite du bas de la tribune présidentielle ou j’avais mes quartiers il n’y a pas si longtemps. C’est comme cela que je papotais avec Lundgren quand Safin jouait contre Nalbide: c’était mon voisin…Je vais me démerder pour me faire réinviter comme avant..Inutile de vous dire que même sans entraînement particulier, à un mètre cinquante, je ne laisserai aucune chance à Ivan..surtout avec du gros calibre..trois balles dans la tête, il parait que cela vous dissuade définitivement de venir voler l’oxygène des honnêtes gens..

    Sur ces bonnes résolutions pour 2012, je salue et souhaite une bonne année à Babolat puisqu’il a déjà franchi le cap. Pour vous autres, j’attendrai d’être en 2012 si les dieux me prêtent vie d’ici là; il parait que cela porte malheur de la souhaiter avant l’heure !

    Quand à la Murène et Ivan, je leur souhaite de faire partie de la rubrique nécrologique de l’ATP d’ici la fin de l’année qui vient.

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