Le saviez-vous ?, acte III

By  | 13 mars 2012 | Filed under: Insolite

Com­ment faire ? C’est vrai­ment une bonne ques­tion… Com­ment faire pour étonn­er, sur­prendre, apprendre en­core quel­que chose à ces fous de 15lovers. Je joue au ten­nis de­puis que j’ai 8 ans mais je n’ar­rive pas à la chevil­le des pros de l’analyse tech­nique, de l’analyse tac­tique, de l’analyse statis­tique qui roulent leur bosse sur ce site… Je ne peux pas m’aven­tur­er là-dedans… Alors com­ment faire ? Allez, je vais faire ce que je sais faire le mieux : racont­er des his­toires.
De­puis très longtemps je traine (trop) souvent sur in­ter­net à lire tout et n’im­porte quoi qui con­cer­ne notre sport favori. J’y ai trouvé des his­toires drôles, dramatiques, in­congrues, stupéfian­tes et la plupart du temps boulever­santes. Ce sont ces his­toires que je vais es­say­er de par­tag­er avec vous dans cet ar­ticle.

Com­men­çons par cette an­ec­dote sur­prenan­te qui con­cer­ne la WTA (eh oui, ça se peut bande de galopins médisants) et en par­ticuli­er une joueuse : Evon­ne Goolagong, Australien­ne de son état et vain­queur en tout de 14 tit­res du Grand chelem, dont 7 en sim­ple (4 Open d’Australie, 1 Roland-Garros, 2 Wimbledon). Comme vous le savez peut-être, le clas­se­ment des dames par or­dinateur a fait son ap­pari­tion en novembre 1975. Chris Evert a été la première numéro 1 de ce clas­se­ment et ce pen­dant 166 semaines, jusqu’en juil­let 1978, date à laquel­le Mar­tina Nav­ratilova par­vint à lui piqu­er la place. Enfin, ça, c’était la vers­ion of­ficiel­le, jusqu’à un cer­tain jour de décembre 2007. En effet, après avoir trouvé des nouveaux docu­ments non pris en com­pte (bravo les archivis­tes…), et après re­cal­cul, il s’est avéré que la brave Evon­ne avait réussi à chip­er la première place mon­diale pen­dant deux semaines à Chris Evert. Elle fut donc in­tronis­ée N° 1 mon­diale avec plus de 30 ans de re­tard…

Main­tenant, re­mon­tons un peu plus le temps pour ar­riv­er en 1881, au jour de la toute première fin­ale du doub­le mes­sieurs de l’US Nation­al Cham­pionship (ancêtre de l’US Open donc…). Un des par­ticipants de cette fin­ale est un Américain que nous con­nais­sons tous, mais dont per­son­ne n’imagine qu’il par­ticipa à cette fin­ale, et même mieux, qu’il la re­mpor­ta au coté de Clar­ence Clark. Il s’agit de l’ingénieur Frederick Winslow Taylor, connu mon­diale­ment de nos jours, prin­cipale­ment pour son travail sur l’or­ganisa­tion scien­tifique du travail, que tout étudiant de secon­de connaît sous le nom de tayloris­me.

Avançons main­tenant de 100 ans et retrouvons-nous à Roland-Garros, en 1982, pour suiv­re un match du doub­le mes­sieurs op­posant la paire Nas­tase/­Tiriac à la paire Panat­ta/Ber­toluc­ci. Nous con­nais­sons tous Nas­tase pour ses facéties et ce jour-là, il sor­tit de son chapeau un nouveau mauvais tour dont il avait le sec­ret. Con­nais­sant l’extrême super­sti­tion de son collègue Ad­riano Panat­ta, peu avant le match, il con­fie 500 francs à un garçon de ves­tiaire pour qu’il aille lui ac­het­er un chat noir. Aus­sitôt dit, aus­sitôt fait et c’est avec un joli chat noir caché dans son sac qu’Ilie re­ntre sur le court. Et après l’échauf­fe­ment, juste avant de com­menc­er le match, le Roumain prétexte un chan­ge­ment de raquet­te pour faire sor­tir du sac le pauv­re matou affolé qui aus­sitôt se précipite en di­rec­tion de l’équipe italien­ne. Ad­riano Panat­ta va per­dre tous ses moyens de­vant l’ap­pari­tion de ce sym­bole de mal­chan­ce et les Roumains vont gagn­er le match facile­ment. L’his­toire ne dit pas ce qu’est de­venu le chat mais j’espère qu’il fut bien récom­pensé.

Si un prix du plus grand joueur im­pos­teur ex­is­tait, Chris­tian Bous­sus ne serait pas loin, à mon sens, de décroch­er la tim­bale, bien qu’il n’y soit pas pour grand-chose le pauv­re… En effet, a priori, dif­ficile de croire que ce modes­te joueur français a re­mporté à quat­re re­prises la Coupe Davis. Mais at­tendez voir… ces vic­toires re­mon­tent un peu on di­rait… plus ex­ac­te­ment au début des années 1930… 4 vic­toires con­sécutives dans cette épre­uve de 1929 à 1932… ça me dit quel­que chose… mais oui, bien sûr, c’était la gran­de époque des Mous­quetaires (les vrais hein, pas ceux en car­ton… enfin bref) ! Mais alors qu’est-ce qu’il vient faire là-dedans ce bon vieux Chris­tian ? Vous l’aurez deviné par vous-même : Chris­tian Bous­sus, par­fois appelé le 5e Mous­quetaire, a eu la chan­ce (ou la mal­chan­ce) d’être appelé en équipe de Fran­ce pen­dant 4 ans aux cotés de Co­chet, Brug­non, Borot­ra et Lacos­te. Il passa donc 4 ans sur le banc des re­mplaçants, ne jouant aucun match mais gravant son nom sur le pre­stigieux trophée à 4 re­prises. A sa déchar­ge, je tiens quand même à sig­nal­er que ce n’était pas tout à fait un im­pos­teur : il a à son actif une fin­ale à Roland-Garros et une demie à Wimbledon entre aut­res. C’était peut-être la cin­quiè­me roue du car­rosse à son époque mais il fait quand même mieux que les pseudo-mousquetaires qui sévis­sent ac­tuel­le­ment…

Pour finir, une des his­toires qui m’a le plus touchée, une de ces his­toires dont on di­rait que ce n’est pas pos­sible, on ne voit ça qu’au cinéma : l’his­toire du de­stin croisé de Ric­hard Wil­liams et Karl Behr. Ces deux joueurs de ten­nis ont écumé le cir­cuit dans les années 1910-1920 et leur prin­cipale con­fron­ta­tion a eu lieu en quarts de fin­ale de l’US Nation­al Cham­pionship en 1914. La petite his­toire re­tiendra que ce fut Wil­liams qui sor­tit vain­queur de cette con­fron­ta­tion et qu’il alla même re­mport­er par la suite le tour­noi. Mais la gran­de his­toire, elle, re­tiendra avant tout que ce match op­posa deux miraculés.

En effet, le 14 avril 1912, Wil­liams et Behr étaient tous les deux pas­sag­ers sur la traversée in­augurat­rice du fleuron de la marine britan­nique, le RMS Titanic. Ils ne se con­nais­saient pas mais étaient quand même tous les deux pas­sag­ers de première clas­se. Et tous les deux n’avaient pas du tout prévu de pre­ndre ce bateau. Behr, avocat de son état, pour­suivait les faveurs d’une jeune de­moisel­le, Helen New­som, mais les parents de celle-ci ne voyaient pas vrai­ment d’un bon œil cette pos­sible union. Ils avaient donc décidé de par­tir avec leur fille en voyage sur le Titanic pour s’éloign­er de cet en­combrant avocat américain. C’était sans com­pt­er sur la persévérance de Behr qui réussit à ac­het­er à la dernière minute un bi­llet sur la même traversée que la famil­le New­som.

Ric­hard Wil­liams quant à lui, se trouvait sur ce bateau égale­ment par hasard : à 21 ans, après avoir passé sa jeunes­se avec son père en Europe, il était temps pour lui de re­ntr­er aux Etats-Unis où il de­vait pour­suiv­re ses études à la très fameuse uni­ver­sité d’Har­vard. Seule­ment, ce voyage re­tour avait dû être différé car le jeune homme avait attrapé la rougeole. Il voyageait sur le Titanic avec son père, Char­les (à pro­pos de Char­les, même le plus fou des scénaris­tes d’Hol­lywood n’aurait pas osé écrire ce détail sur cette his­toire, mais la vraie vie, oui : Char­les donc, avait déjà été vic­time d’un nauf­rage en 1880, sur le navire Arizona. A bien y réfléchir, je me de­man­de si le pauv­re Char­les a jamais réussi à ter­min­er nor­male­ment un voyage en bateau…).

Durant la nuit du nauf­rage du Titanic, Behr s’en sor­tit assez facile­ment. En tant que pas­sag­er de première, il bénéficia, avec toute la famil­le de sa dul­cinée, d’un accès prioritaire aux canots de sauvetage. Mais il racon­ta par la suite qu’il fut très étonné quand on lui per­mit de mont­er à bord de ces canots alors que bien des fem­mes et des en­fants re­staient en­core à bord (mouais, étonné mais il em­bar­qua quand même le gredin…). Pour Ric­hard Wil­liams, ce fut un peu plus coton : à lui, on re­fusa l’accès aux canots de sauvetage car la priorité était ef­fective­ment donnée aux fem­mes et aux en­fants. Les Wil­liams père et fils furent donc re­foulés et au mo­ment où le bateau s’enfonçait vrai­ment dans l’eau, Char­les fut tué par la chute d’une des chemin­ées. Alors que le bateau s’inclinait de plus en plus, Ric­hard décida que le plus sûr était de se jeter à l’eau, ce qu’il fit avant que le bateau ne coule com­plète­ment. Il réussit à nager vers une chaloupe malgré l’eau glacée et contra­ire­ment à un Jack Daw­son moyen, il fut repêché juste avant de mourir d’hypot­hermie.

Il était malgré tout bien amoché, à tel point qu’un médecin du Car­pathia, un des navires qui a récupéré les nauf­ragés, préconisa l’am­puta­tion immédiate des deux jam­bes. Wil­liams re­fusa tout net et bien lui en a pris car quel­ques années plus tard, il al­lait mar­qu­er de son em­prein­te le ten­nis US, re­mpor­tant donc l’US Open en 1914 et récidivant en 1916. Il re­mpor­ta égale­ment 5 Co­upes Davis en tant que joueur puis capitaine. Behr quant à lui ne réussit pas une aussi belle carrière que son com­pag­non de nauf­rage, mais fut cepen­dant réguliè­re­ment parmi les 10 meil­leurs joueurs mon­diaux avant le nauf­rage, et joua égale­ment une re­ncontre de coupe Davis dans la même équipe que Wil­liams en 1915. Wil­liams entra au Hall of Fame en 1957 et Behr l’y re­joig­nit à titre post­hume en 1969.

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Dis­paru des radars en 2013 à cause de cela... Mais de re­tour dès 2014 et ça va chier !

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676 Responses to Le saviez-vous ?, acte III

  1. Jérôme 17 mars 2012 at 00:02

    Superbe point d’attaque de Nalbide qui s’offre une balle de set sur service de Nadal.

  2. Julie 17 mars 2012 at 00:02

    oh oh oh…. la main magique….

    set point nalbandiannnn

  3. Bapt 17 mars 2012 at 00:02

    balle de set Nalbandian… je rêve… 

    • David 17 mars 2012 at 00:04

      Deux beaux points auront suffi ! Réaliste l’argentin !

  4. Bapt 17 mars 2012 at 00:03

    la vache ! Quel coup droit !

  5. Marc 17 mars 2012 at 00:03

    Et 1er set Nalbandian, allez David !

  6. William 17 mars 2012 at 00:04

    Je ne sais si Nadal s’est bel et bien réglé mais en tout cas cela fait un set zéro pour Nalbide !

  7. Fart-Burna 17 mars 2012 at 00:04

    Nalbandian chaleur sur la fin de set !!!!!!!

  8. Chris 17 mars 2012 at 00:04

    Le live score de l’equipe se raffraichit toutes les 60 sec…
    Quand c’est Federer, on passe alors de 0-0 a 40-15…
    Quand c’est Mowgli, on passe de 15-0 a… 15-0

  9. MarieJo 17 mars 2012 at 00:05

    mini hold up mais quel point !

    je rêve ou nalbi a perdu le bide ? je le trouve super fit !

    tant pis je vais au dodo, je suis cuite !

    • Oluive 17 mars 2012 at 00:08

      fit fit
      Je me faisais exactement la même remarque.

    • Julie 17 mars 2012 at 00:08

      tu abandonnes ton cheri versus la main????? Reviens!

  10. David 17 mars 2012 at 00:05

    Un ration ignoble de 6 winners pour 15 fautes directes pour l’espagnol. plutôt inhabituel !

  11. Quentin 17 mars 2012 at 00:06

    Et Nalbandian qui breake sur sa première balle de break à 30-40!
    Premier set Nalbandian 6-4 qui commence à servir au second set.
    Il serait peut être temps que Nadal lâche les chevaux, pour reprendre l’expression de Jérôme…

  12. Oluive 17 mars 2012 at 00:06

    Je sens que les pronostiqueurs fous du site sont aux fraises…

    Faut pas oublier que Nalbandian a toujours posé de GROS problèmes à Nadal. S’il avait eu une caisse physique ad hoc… Oui, dans ce cas, c’est pas seulement son H2H maillorquin qui serait différent c’est vrai.

    Si vous regardez bien, son geste de revers a de nombreux points communs avec celui de Djokovic.
    Surtout sur les trajectoires courtes croisées.
    Le revers à deux mains court croisé pris tôt après le rebond : la nemesis nadalienne.

    A noter que c’est rare que Nalbandian conclue à sa première occasion contre l’espagnol…

    • David 17 mars 2012 at 00:10

      Nalbandian, c’est le type qui aurait dû être l’arme ultime anti-Nadal bien avant Nogluten. Manque de pot, il préfère manger et ses voitures de course…

    • Quentin 17 mars 2012 at 00:12

      Davydenko, Nalbandian et depuis 2011 Djokovic sont les trois « bêtes noires » de Nadal

  13. Nath 17 mars 2012 at 00:07

    Set Nalby !!! Est-ce que c’est là que le compte à rebours commence ?
    Quelques fautes de Nadal en fin de set (15 sur l’ensemble du set quand même, pour 6 coups gagnants) et une musique pourrie pour montrer les highlights du set. Je comptais aller me coucher après ce premier set mais je vais me faire avoir et rester encore un peu.

    • David 17 mars 2012 at 00:08

      La même :)

  14. Antoine 17 mars 2012 at 00:08

    Etonnant ! Nadal dominait le match et à 4-4 se retrouve à 0-15 sur le service de Nalby. Sur une deuxième balle, il fait une faute, puis une seconde 30-15..Un coup droit gagnant puis le premier ace de Nalby: jeu 5-4

    A 4-5, Nadal fait un super revers: 15-0, puis une faute en coup droit: 15A, une deuxième 15-30, puis Naby fait une super demie volée amortie: 30-40 et donc balle de set, puis un CD gagnant et break et set à sa première occasion. Premier jeu de service paumé par Nadal de la semaine, au pire moment…

    • Oluive 17 mars 2012 at 00:09

      Comme quoi, on le vérifie souvent, c’est pas forcément une bonne chose de ne pas rencontrer d’opposition dans les premiers tours…

      • Jérôme 17 mars 2012 at 00:12

        Ce que je ne cesse de vous répéter.

  15. Marc 17 mars 2012 at 00:09

    La 2D balle de l’Argentin est pas mal, et FED devrait lui demander des cours particuliers pour apprendrea relancer les 2e balles de Nadal.

    • Oluive 17 mars 2012 at 00:10

      Des courts de revers à deux mains.
      ;)

      • Marc 17 mars 2012 at 00:12

        Ou Edberg a une main, c’était pas mal non plus !

  16. Sylvie 17 mars 2012 at 00:10

    Quel plaisir de voir jouer Nalbandian quand même !

  17. Alexis 17 mars 2012 at 00:11

    Il a pas l’air trop rougeaud encore le Nalbedon, il semble être en contrôle, c’est assez étonnant.
    Et bien vu Oluive pour le revers croisé pris tôt, en tout cas je partage ton analyse j’en avais parlé à l’OA d’ailleurs.

  18. Jérôme 17 mars 2012 at 00:11

    J’espère que vous avez bien pris la mesure de ce qui est en train de se passer sur le court.

    Nalbide, intermittent du tennis âgé de 30 piges, est en train de surclasser Nadal en fond de court.

    • Marc 17 mars 2012 at 00:14

      Le sens de la mesure de Jerome et son amour légendaire pour Nadal : Nalbide joue bien mais ne surclasse pas l’Espagnol, même si balle de break pour Nalbide !

    • Alexis 17 mars 2012 at 00:19

      Ou une simple tendance à l’auto-ignition.

  19. David 17 mars 2012 at 00:13

    Nadal, à part un coup de fusil, est très mauvais en retour et en revers.

  20. Jérôme 17 mars 2012 at 00:13

    Depuis son énorme coup gagnant croisé en revers, Nadal ne réussit quasiment plus un revers.

  21. Julie 17 mars 2012 at 00:14

    c fou pq dans tous els scenarios que nous pauvres FFF avons imagines pour eviter le choc nadal federer, nous n avons jamais envisagé une defaite de nadal contre nalbandian…

    le scenario ideal, nalbandian passe, federer lui met sa raclee pq faut pas faut pas exagerer quand meme, puis la raclee à djojocrotte… pbte infime mais… pbté…

    En tout cas on dirait que nalbandian fait enrager nadal, qui du coup craque en revers, on aura tout vu

    le momentum ne reviendra pas, si nalbide a une chance c maintenant

    • Quentin 17 mars 2012 at 00:19

      Il faut quand même rappeler que Nalbandian a longtemps été la bête noire de Federer.
      Des 4 de sa génération (Safin, Roddick, Hewitt, Nalbandian), l’argentin est celui qui a le mieux limité la casse (11-8 pour Federer)

  22. Oluive 17 mars 2012 at 00:14

    Problème au genou pour Nadal ?

    Vous allez voir qu’une nouvelle prophétie de Fed va encore se réaliser cette année (le fait que la finale de l’AO va laisser des traces…)

  23. Alexis 17 mars 2012 at 00:18

    Quel échange! Prise de balla hyper précoce en revers croisé puis amortie exquise de toucher…
    A propos de toucher, vous avez vu que Nadal a modifié son rituel au service? Sa main ne s’aventure plus au-delà de sa poche désormais.

  24. Julie 17 mars 2012 at 00:18

    bon ben il peut s en vouloir david sur cette balle de break, la deuxieme…

  25. Jérôme 17 mars 2012 at 00:18

    Le taureau a frisé la mise à mort. Attention à son réveil. Ca sent le contrecoup immédiat pour Nalbide.

    • Alexis 17 mars 2012 at 00:20

      C’est exactement ce à quoi je pense : on le croit moribond, il se sublime sur 1 point et c’est le rouleau vamospresseur.

  26. Antoine 17 mars 2012 at 00:19

    Il s’en tire bien Nadal sur la deuxième balle de break de Nalby…Ce dernier joue bien et Nadal fait un nombre de faute inhabituel en revers..

  27. William 17 mars 2012 at 00:21

    Nalbide a joué – et gagné – un set et n’est pas encore en surchauffe physique : si je m’attendais à ça…

  28. David 17 mars 2012 at 00:21

    C’est vrai que Nalbandian a une bonne seconde balle aujourd’hui mais Nadal est tout de même très mauvais.

  29. Quentin 17 mars 2012 at 00:22

    jeu Nalbandian qui reste concentré malgré ses 2 balles de break ratées.
    2-1 Nalbandian service Nadal

  30. Julie 17 mars 2012 at 00:22

    « le rouleau vamospresseur » j adore!

  31. Alexis 17 mars 2012 at 00:23

    Qui parlait des amorties de Federer tout à l’heure? Celles de Nalbedon sont assez bien touchées aussi je trouve. C’est une arme qu’il utilise lui depuis longtemps (ex : masters 2005)alors que Federer ne l’a ajoutée à sa panoplie que pour pallier à une baisse de force de pénétration.

    • Julie 17 mars 2012 at 00:29

      une baisse de force de penetration! Alexis je ne te permets pas! ;-)

      non mais peut etre que nalbide l a depuis toujours la baisse de force de penetration comme tu dis, une amortie c quitte ou double mais au moins tu finis le point, donc tu cours moins, donc, tu malmenes moins ta bedaine. Demonstration limpide pour moi.

    • Alexis 17 mars 2012 at 00:34

      Oh purée que n’ai-je pas dit là!

  32. Julie 17 mars 2012 at 00:27

    un coup droit long de ligne, vous en reprendrez bien un petit peu?

  33. Jérôme 17 mars 2012 at 00:27

    Qu’est-ce qu’il envoie en coup droit, le Nalbide !

    • Alexis 17 mars 2012 at 00:28

      C’est surtout qu’il prend la balle super tôt en avançant…tout en timing et en souplesse, je suis fan.

    • David 17 mars 2012 at 00:29

      On parle toujours de son revers mais Nalbandian a vraiment un excellent coup droit, moins efficace que celui de Federer mais avec lequel il touche toutes les zones avec toutes les variations possibles.

    • Quentin 17 mars 2012 at 00:32

      Karim disais que le coup droit de Nalbandian était comme le revers de Federer: perfection technique mais manque de folie.

    • Alexis 17 mars 2012 at 00:39

      Je pense que ce n’est plus d’actualité : on voit des coups assez merveilleux maintenant du côté du revers de notre ami Rodg’.

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