Ball wars, the Masters fight

By  | 20 novembre 2011 | Filed under: Actualité

Ils sont les Maîtres et ils n’ont peur de rien. Ils ont la force, mais pas toujours du bon côté. Ils défen­dent l’Em­pire du jeu de fond de court ou le com­bat­tent de l’intérieur. Ils sont huit. Il n’en re­stera qu’un.

Le de­rni­er rendez-vous de l’année poin­te le bout de son nez au terme d’une saison 2011 qui aura vu la fin du règne du duopole le plus titré du sport. Une année marquée par la domina­tion sans par­tage, ou pre­sque, d’un Novak Djokovic impérial. Si les deux pre­mi­ers mon­diaux avan­cent masqués à l’en­tame de cette semaine, al­imen­tant les in­ter­roga­tions auto­ur de leurs pépins physiques, d’aut­res ar­rivent au contra­ire re­gonflés par une fin de saison en­couragean­te, Andy Mur­ray et Roger Feder­er en tête. Rapide pas­sage en revue des for­ces en présence avant le début des hos­tilités cet après-midi.

Groupe A

- Novak Djokovic

L’homme qui voulait être le Roi aura enfin réussi son pari, à savoir franchir les deux re­mparts qui le séparaient de la première place mon­diale. Qui aurait cru qu’une cure sans glut­en pouvait pro­duire de tels résul­tats ? C’est pre­sque à se de­mand­er si Novak n’aurait pas aussi percé le mystère de l’anti-matière…

Les super­latifs n’ont en effet pas manqué pour soulign­er l’incroy­able saison du Serbe qui n’a, sur l’année, perdu que deux matchs à la régulière et été contra­int à trois ab­an­dons (si on com­pte Bercy). Son bilan est tout simple­ment phénoménal : avec ses trois levées du Grand chelem et ses cinq Mast­er 1000, il a vrai­ment écrasé tout le monde. Le contra­ste est saisis­sant avec 2010, où il ne re­mpor­te que deux « 500 », n’at­teint aucune fin­ale en M1000 et signe 4 vic­toires pour 8 défaites con­tre le Top 10. Avant de faire son entrée à Londres, il af­fiche là un bilan ahuris­sant de 20 vic­toires pour seule­ment 2 défaites (dont une sur ab­an­don) et se paye égale­ment le luxe d’inflig­er un cinglant 6-0 à Nadal en autant de fin­ales. Entre l’Australie et New York, il rafle 13 070 points sur 14 750 pos­sibles. Aouch.

Pour­tant, de­puis son sacre new-yorkais, la mac­hine s’est enrayée et les pépins physiques se sont succédés. Contra­int à l’aban­don en Coupe Davis, il an­nule en­suite sa tournée as­iatique et n’opère sa rentrée qu’à Bâle où il perd à nouveau sur bles­sure. Après un léger sus­pens, il s’alig­ne fin­ale­ment à Paris, pour évacu­er la polémique auto­ur de son prize money, pense-t-on, mais re­mpor­te tout de même deux matchs avant de déclar­er for­fait quel­ques heures avant sa re­ncontre con­tre Tson­ga. En cause, une épaule douloureuse qui l’empêche de ser­vir con­venab­le­ment. Sera-t-il réel­le­ment prêt à en découd­re cette semaine ? Ap­parem­ment, oui. Il vient de déclar­er qu’il ser­vait « au maxi­mum de [s]es pos­sibilités de­puis deux ou trois jours », af­firmant qu’il était « vrai­ment à 100%. » Info ou intox ? Pre­mi­ers éléments de réponse ce lundi soir face à Tomas Be­rdych.

- Andy Mur­ray

L’année ou jamais pour Mur­ray ? De­puis qu’il par­ticipe au rendez-vous des maîtres, il n’est jamais arrivé dans d’aussi bon­nes dis­posi­tions. Etin­celant durant la tournée as­iatique, avec 3 tour­nois re­mportés, per­for­mant en Grand chelem (trois de­m­ies et une fin­ale), Mur­ray est en outre le seul joueur à avoir battu le Top 2 cette année, et peut légitime­ment prétendre à une place dans le de­rni­er carré. Pour une fois, il ne tombe pas sur Feder­er et de­vrait logique­ment ab­ord­er tous ses matchs en favori, posi­tion qui, mal­heureuse­ment, ne lui con­vient pas trop… Parviendra-t-il à mieux gérer la pre­ss­ion cette année et enfin décroch­er un titre sig­nificatif qui ferait taire les critiques ? Le groupe du nouveau lead­er syn­d­ical de l’ATP ap­parait en tout cas bien plus favor­able à son jeu et son entrée en lice, face à David Ferr­er, de­vrait lui per­mettre de rapide­ment pre­ndre ses mar­ques avant d’affront­er le Djok­er.

Une vic­toire à Londres pour­rait boost­er une con­fian­ce en­core trop chan­celan­te et lui per­mettre de con­firm­er là où ça com­pte vrai­ment, à savoir en Grand chelem. Greg Rusedski, en tout cas, y croit à mort : « L’an pro­chain sera très im­por­tant pour Andy Mur­ray. […] Feder­er a déjà 30 ans et Djokovic ne pour­ra pas rééditer les mêmes per­for­mances. Enfin, Rafael Nadal gagne sur­tout Roland-Garros. Du coup, je suis sûr que Mur­ray gag­nera un Majeur en 2012. » Bref, si Greg le dit !

- David Ferr­er

Souvent placé, jamais vain­queur. On pour­rait ainsi résumer le par­cours de l’increv­able David Ferr­er, dont la postérité se souviendra sur­tout qu’il fût le méritoire par­tenaire de PlayS­ta­tion de Rafael Nadal. Il par­ticipe au tour­noi pour la troisiè­me fois et ne part pas vrai­ment avec la faveur des pro­nos­tics.

Son bilan face à ses ad­versaires di­rects n’est, il est vrai, pas très en­courageant, pour quel­qu’un qui af­fiche un ratio sur carrière de 33-62 face au Top 10. Sur dur, il n’a battu Djokovic qu’à une seule re­pr­ise, au Mast­ers 2007 où Nole était arrivé, tiens tiens, laminé par une saison épro­uvan­te. Il n’a jamais battu Mur­ray sur cette sur­face non plus et vient d’ail­leurs de le re­ncontr­er coup sur coup à Shanghai et Tokyo. Seul son match face à Tomas Be­rdych peut être en­visagé avec sérénité, uni­que par­ticipant du tour­noi qu’il domine au head to head (5-2). Pour­tant, celui qui réalise, de son pro­pre aveu, sa meil­leure saison jusqu’ici (deux tit­res, demi-finale en Australie, deux fin­ales en M1000), a montré de be­lles dis­posi­tions lors de la tournée as­iatique, par­ticuliè­re­ment à Shanghaï où il at­teint la fin­ale (défaite face à l’Ecos­sais donc), bat­tant suc­ces­sive­ment des spécialis­tes de la sur­face (Raonic, Rod­dick, Lopez). Favori des book­ies pour une défaite précoce, le petit David pour­rait bien tirer son épingle du jeu s’il par­vient à cueil­lir un Djokovic di­minué et con­firm­er son avan­tage sur Be­rdych. Son jeu de défense et de con­tre pour­rait bien ac­hev­er des or­ganis­mes déjà usés par une saison lon­gue. Une place en demie pour le « pou » n’est pas aussi im­prob­able qu’il n’y para­it. D’autant plus que per­son­ne ne l’at­tend.

- Tomas Be­rdych

A défaut de véritab­le­ment brill­er cette année, le grand Tomas s’est souvent montré réguli­er et a assuré sa présence à Londres grâce à son uni­que titre de la saison, re­mporté à Pékin. Sol­ide joueur d’in­door, sa pre­sta­tion face à Andy Mur­ray à Bercy est la par­faite démonstra­tion de son jeu à plat et dévas­tateur, à con­di­tion que ça re­ntre et qu’il ait le temps de préparer ses gran­des frap­pes. S’ap­puyant sur une sol­ide première balle, il peut, dans un bon jour, priv­er l’ad­versaire de temps et lui faire faire l’essuie-glace pen­dant deux heures. Mais Be­rdych a rare­ment aligné une série de plusieurs « bons jours » de suite, à for­tiori con­tre l’élite. S’ex­tirp­er de son groupe serait donc déjà un ex­ploit pour celui qui signe ici sa deuxième présence d’affilée.

Groupe B

- Rafael Nadal

Sept. Cette année, Rafa a perdu sept fois en fin­ale, dont six face au même ad­versaire, et deux fois en Grand chelem. La statis­tique est assez ex­cep­tion­nelle pour être soulignée, sur­tout dans le chef d’un joueur qui, just­e­ment, avait la réputa­tion de mait­ris­er ces im­por­tants rendez-vous. Il faut re­mont­er à 1984 pour trouv­er pareil­le décon­venue avec Lendl qui per­dait 7 fin­ales sur le cir­cuit (dont l’US Open et le Mast­ers) pour 3 vic­toires égale­ment (dont Roland-Garros). Face à Djoko, Rafa doute. Le Serbe lit son jeu à mer­veil­le et par­vient à le con­tr­er par­tout, même sur terre. Jamais il n’a re­ncontré pareil­le bête noire, jamais il n’avait échoué 6 fois de suite con­tre le même ad­versaire.

Comme l’an de­rni­er, il ar­rive à Londres sans avoir joué de­puis la tournée as­iatique. Porté par son Petit chelem, il avait at­teint la fin­ale, après un match d’anthologie face à Andy Mur­ray. Dif­ficile de prédire quel­le sera l’issue de son par­cours cette semaine. Défait en Asie, il s’est par la suite in­fligé de sol­ides séances d’entraine­ment chez lui, s’oc­casion­nant même une petite bles­sure à l’épaule.

Son pre­mi­er match face à Mardy Fish, con­tre lequel il a perdu pour la première fois à Cin­cinnati, sera un bon révélateur de son état de forme, et sur­tout de con­fian­ce. Le match suivant, face à Feder­er, sera assurément l’af­fiche de ce début de tour­noi, à con­di­tion bien sûr que les deux jouent à leur niveau. Habitué à mont­er pro­gres­sive­ment dans les tours, Rafa devra se montr­er très vigilant face au Suis­se mais bénéficiera d’une entrée en matière à priori en­vi­able. Comme pour Novak, ce pre­mi­er match ser­vira de baromètre pour mesur­er le niveau de jeu de l’Es­pagnol qui sera sans doute désireux de montr­er qu’il faud­ra com­pt­er sur lui.

- Roger Feder­er

Roger est en forme, merci pour lui. In­vain­cu de­puis 12 matchs, il vient de re­mport­er deux tour­nois in­door con­sécutifs, brisant sa mal­édic­tion à Paris au pas­sage. Le niveau de jeu af­fiché par le Suis­se a ras­suré, tutoyant à nouveau les som­mets dans son match con­tre Be­rdych notam­ment. Après un été américain moyen et une défaite douloureuse (pour ses fans sur­tout) à l’US Open, tous les voyants semblent de re­tour au vert et c’est déjà une bonne nouvel­le en soi, même si le désor­mais n°4 mon­di­al n’a pas vrai­ment été testé ces dernières semaines.

A contra­rio, pour la première fois de­puis longtemps (pour la première fois tout court ?), il ab­or­de ce de­rni­er rendez-vous avec un bilan lar­ge­ment défavor­able con­tre le Top 10. Si l’on com­pare à 2010, cela de­vient même effrayant. Il y avait en effet été le plus per­for­mant de tous, s’ad­jugeant 16 vic­toires con­tre 6 défaites (11 vic­toires avant le Mast­ers). Cette année, le ratio est re­tombé à seule­ment 5-9… Défaites par­fois cinglan­tes (Dubaï, Miami, Monte-Carlo, Cin­cinnati) ou plus dis­put­ées (Roland-Garros, Wimbledon, US Open), mais défaites quand même. S’il peut mathématique­ment en­core re­nvers­er la vapeur et ter­min­er sur un ratio favor­able, Roger a claire­ment manqué de ce petit plus face aux meil­leurs cette année et devra re­ndre une copie par­faite s’il veut de­venir le pre­mi­er joueur à en­quill­er 6 Mast­ers Cup.

C’est loin d’être utopique. Son groupe est cer­tes très relevé, mais il a une bonne carte à jouer et se présente en favori pour la première place. Aucun des aut­res mem­bres du groupe ne l’a en­core jamais battu en in­door et sur ses 9 par­ticipa­tions, il ne s’est arrêté qu’une seule fois en poule. Reste à voir com­ment il ab­or­dera son pre­mi­er match qu’il doit im­pérative­ment bien négoci­er pour se per­mettre un match plus « détendu » con­tre Rafa, qui l’a en­core battu à deux re­prises cette année.

- Jo-Wilfried Tson­ga

Au terme d’une saison en dents de scie, Jo ar­rive à Londres avec le meil­leur clas­se­ment de sa carrière et rêve de mar­qu­er les esprits. Vain­queur au moins une fois cette année de ses op­posants di­rects, il ne se présente plus en vic­time à moitié con­sen­tante comme en 2008 où le sim­ple fait d’être présent était déjà une vic­toire en soi.

Deux fois vain­queur de Feder­er, dont le mémor­able re­tour­ne­ment de situa­tion à Wimbledon, Tson­ga sait quel jeu il doit déploy­er s’il veut gêner la mécanique Suis­se. S’il venait à re­mport­er ce match, le boost de con­fian­ce pour­rait lui per­mettre d’avanc­er tran­quil­le­ment sur Mardy Fish avant l’ul­time re­ncontre face à un Rafa peut-être lui aussi déjà qualifié. Par con­tre si son ser­vice est branché sur co­urant al­ter­natif, comme à Paris, les jeux ris­quent de défiler rapide­ment…

En­core trop souvent blessé, Tson­ga mise désor­mais sur une nouvel­le prépara­tion physique qui de­vrait lui éviter de trop mal­men­er un corps fragile et ainsi enfin con­firm­er qu’il peut réguliè­re­ment jouer les troubles-fêtes parmi l’élite, et pas uni­que­ment ponctuel­le­ment.

- Mardy Fish

L’invité sur­pr­ise de cette édi­tion qui a su pro­fit­er, comme l’an de­rni­er, d’un été favor­able pour thésauris­er tran­quil­le­ment et se plac­er en posi­tion idéale pour ce rendez-vous très select. Auteur de be­lles per­for­mances, il n’a cepen­dant guère brillé en Grand chelem et doit sur­tout sa place parmi les 8 à ses résul­tats dans les tour­nois « secon­daires ». Top 10 à 29 ans, Fish a dépassé Rod­dick pour la première fois de sa carrière et semble porté par un souffle nouveau.

Il ar­rive au Mast­ers, comme Ferr­er, dans la peau de l’out­sid­er qui n’aura rien à per­dre et ten­tera de forc­er un peu le de­stin, même si la bles­sure à la cuis­se gauc­he contra­ctée à Bâle et réveillée à Bercy sera forcément préoc­cupan­te. Cet attaquant-né devra éco­urt­er les échan­ges, en ten­tant le tout pour le tout s’il veut per­turb­er le jeu de Rafa dans son match d’ouver­ture. Les matchs qui durent, très peu pour lui. Mail­lon faib­le du groupe, une sur­pr­ise n’est pas à écart­er, même si on n’y croit pas trop. La vraie sur­pr­ise fin­ale­ment, serait qu’il soit en­core là l’année pro­chaine.

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444 Responses to Ball wars, the Masters fight

  1. Pierre 21 novembre 2011 at 21:59

    Si Berdych, en 2012, fait un petit Chelem, inutile de vous dire que je me fais curé dans le Poitou.

    • NTifi 21 novembre 2011 at 22:02

      Oh le petit bras, si Berdych gagne juste un chelem, tu le fais

    • Jeanne 21 novembre 2011 at 22:03

      Ça n’arrivera pas. Ne te flagelle pas ainsi.

  2. May 21 novembre 2011 at 22:02

    Qu’il gagne déjà ce set Berdych pour voir, Djoko n’a pas l’intention de le laisser prendre le large.

  3. Jérôme 21 novembre 2011 at 22:06

    Quand je vous disais que Berdych était un gros con. Je peux bien l’écrire en toutes lettres vu comment il a vendangé un smash à 2 mètres du filet.

  4. Bapt 21 novembre 2011 at 22:18

    Bon ben le gros con il a pris le premier set !

    • Jeanne 21 novembre 2011 at 22:21

      Connement ?

  5. Jérôme 21 novembre 2011 at 22:20

    Ca c’est pas incompatible.

  6. MarieJo 21 novembre 2011 at 22:21

    Le point goatesque que même le doudou a pas fait !!
    t.co/REwpiHOl une spéciale twiner. :-)

  7. Jérôme 21 novembre 2011 at 22:33

    Sacré Djoko. Hurler sur une frappe boisée de l’adversaire, quel fair-play !

  8. Antoine 21 novembre 2011 at 22:37

    Dommage que Berdych ne soit pas foutu de passer une première balle; l’usurpateur aurait déjà rejoint le Murène au rang des Djokes..

  9. Antoine 21 novembre 2011 at 22:46

    ..C’est vrai qu’il ne faut pas oublier non plus que Berdych ne sait pas faire une volée..

    • Bapt 21 novembre 2011 at 22:53

      Attention Antoine tu vas vexer David qui est un grand fan (le seul ?) de la volée du riant tchèque…

  10. Antoine 21 novembre 2011 at 22:47

    ..Quel imbécile !

  11. Alexis 21 novembre 2011 at 22:54

    En revanche le droite gauche en avançant progressivement dans le terrain ça lui savoir faire. On dirait de la boxe.

  12. Jérôme 21 novembre 2011 at 22:55

    Alors là, super bien joué Djoko. Il l’a balladé avant de lui balancer une amortie imparable.

  13. Bapt 21 novembre 2011 at 22:56

    C’est moi qui rêve (je suis le match depuis peu), mais j’ai l’impression que Djoko n’est pas en confiance et défend beaucoup… 

    • Jérôme 21 novembre 2011 at 23:00

      Berdych frappe comme une mule. Et en coup droit il fait très mal.

  14. Jérôme 21 novembre 2011 at 22:59

    Encore une connerie de Berdych. Il monte en revers sur le coup droit de Djoko. Même pas le temps de se faire punir en passing vu qu’il n’avait pas la longueur de sécurité et la met dehors.

  15. William 21 novembre 2011 at 23:01

    Berdych est légèrement meilleur que la moyenne au filet, ce qui ne veut pas dire qu’il y est très bon, et il y va un peu plus souvent que les autres aussi. Associé à Stepanek c’est d’ailleurs un honnête joueur de double, surtout en CD.

    • Bapt 21 novembre 2011 at 23:06

      Sur ce set au filet Berdy c’est 2/5. S’il y va plus que la moyenne je n’ose pas imaginer cette dernière !
      Djoko c’est 0/0 par contre. Là ça doit quand même être en dessous de la moyenne… 

    • William 21 novembre 2011 at 23:08

      Peut-être pas sur ce match, mais disons qu’il fait partie de ceux qui osent terminer un point au filet. C’est souvent une volée simple. En revers par exemple il ne joue presque que dans le contrepied. Mais par les temps qui courent, c’est déjà ça !

  16. Alexis 21 novembre 2011 at 23:04

    Proprinets les deux derniers jeux!

  17. Antoine 21 novembre 2011 at 23:05

    Un set partout..

    Le Djoker n’a rien à voir avec celui que j’ai vu à Bâle ou à Bercy. il est au niveau..pas au top, mais au niveau suffisant pour gagner ce match et être un candidat crédible pour le tournoi..

    • Jérôme 21 novembre 2011 at 23:16

      Oui. Il lui a fallu une bonne moitié du 1er set pour se chauffer, et depuis son niveau est nettement meilleur. C’est un Djoko moyen.

  18. Sam 21 novembre 2011 at 23:08

    …Riant tchèque, toujours « riant tchèques ».

    Tout ça parce qu’i’ vannent Lendl.

    Bon, j’ai du boulot moi.

  19. William 21 novembre 2011 at 23:18

    D’ici 1 heure maximum, chaque Top 8 aura joué son premier match et celui qui mènera la danse sera : Ferrer!

  20. Jérôme 21 novembre 2011 at 23:19

    Oh ! Mais s’ils nous refont la finale de 2007, je signe tout de suite ! ;-)

  21. Antoine 21 novembre 2011 at 23:22

    Berdych est vraiment un très très gros bourrin qui ne sait vraiment rien faire à part taper quelque soit la balle qui lui arrive dessus…Un sorte de Jo sans subtilité quoi..

    Il a un meilleur revers et un meilleur retour que Jo, c’est déjà pas mal, mais pour le reste, Jo fait tout mieux que lui..

    On a l’impression que quelqu’un lui a greffé le cerveau de Monfils..

  22. Jérôme 21 novembre 2011 at 23:25

    Tape pas, Karim. Je vais dire ce que je pense : les énormes coups droits croisés de Berdych m’ont rappelé les running forehands de Sampras.

  23. Antoine 21 novembre 2011 at 23:27

    ..Sauf que ce ne sont pas des running forehands puisque Berdych est incapable de se déplacer correctement…

  24. Jérôme 21 novembre 2011 at 23:29

    C’est vrai. Mais en même temps ça se discute. Pour lui, rattraper une balle à mi distance entre le milieu de terrain et le couloir, c’est déjà courir.

    • Alexis 21 novembre 2011 at 23:32

      Des walking forehands alors?

    • Ulysse 22 novembre 2011 at 09:30

      Des standing-by-forehands ? Des just-hanging-out-forehands ?

  25. Jérôme 21 novembre 2011 at 23:30

    N’empêche que là, Requin est sur le point de bouffer le James Bond serbe.

  26. Le concombre masqué 21 novembre 2011 at 23:31

    Je suis rentré dans le match depuis 10 minutes..les retour de service de Berdych sont vraiment CE QUE doivent être des retours sur deuxième pas assez appuyée!! quelle puissance, quel engagement!

  27. Robin 21 novembre 2011 at 23:31

    Mine de rien, Berdych quand ça rentre c’est très propre.

  28. Alexis 21 novembre 2011 at 23:31

    Costaud pour breaker le Berdych, avec du winner en veux-tu en voilà!

  29. Jérôme 21 novembre 2011 at 23:31

    Rien à dire : il a pris le jeu à son compte et tiré des missiles tous azimuts. S’il en a un tant soit peu dans le futal, c’est bon pour le tchèque.

    • Alexis 21 novembre 2011 at 23:34

      Sauf ton respect je pense que pour Berdych la présence de matière dans la boîte crânienne est plus sujette à caution que dans le futal.

  30. Le concombre masqué 21 novembre 2011 at 23:31

    et le dernier Tonio, il était pas running? le coup de grisou, vindieu!

  31. Antoine 21 novembre 2011 at 23:32

    Ah là, je dois avouer qu’il a joué trois points fumants le bourrin !! Je n’ai pas cru que le dernier serait dedans..

    • Le concombre masqué 21 novembre 2011 at 23:33

      claro :)

  32. Jérôme 21 novembre 2011 at 23:34

    J’en étais certain qu’il allait faire une double faute.

  33. Le concombre masqué 21 novembre 2011 at 23:35

    deux doubles dans le jeu, c’est poas le cerveau de Monfils c’est celui d’un boeuf de Kobe, saoulé à la bière, les oreilles pleines de musique classique…

    • Alexis 21 novembre 2011 at 23:36

      Fin prêt pour l’abattoir donc.

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