Depuis vingt ans, l’actuel Master 1000 de Shanghai a en effet très souvent déménagé, au gré des fortunes nationales tennistiques ; tournoi historique disputé à Stockholm depuis le début de l’ère Open, il aura suffi que les champions suédois déclinent pour que celui-ci perde son statut d’épreuve privilégiée. Ce fut au bénéfice d’une Allemagne imposant sa puissance, sportive et financière, dans les années 1990 et dont le grand argentier fut Ion Tiriac. Et quand l’Allemagne s’essouffle, le moustachu sent bien le vent : direction l’Espagne, avant la promotion en terre battue qui permet à Shanghai, désormais dépourvu de Masters Cup, d’organiser depuis l’an dernier son « grand » rendez-vous de tennis. Retour sur l’histoire agitée de ce tournoi.
1969 – 1994, les années Varègues. Entrée dans l’ère Open, et de suite un rendez-vous suédois qui sera, bien avant l’avènement des pompeuses étiquettes « Super 9″, « Masters Series » ou encore « Masters 1000″, l’un des plus gros rendez-vous de la saison hors Grands chelems. Florilège du palmarès : Stan Smith (deux titres), Arthur Ashe (deux titres), Bjorn Borg (un titre), John McEnroe (quatre titres… et ceci), Mats Wilander (un titre), Ivan Lendl (un titre), Stefan Edberg (deux titres)… Avec la décennie 1990, les bombardiers se rendent maîtres de la moquette suédoise et Boris Becker se taille la part du lion, égalant bientôt le quadruplé de « Big Mac » : 1988, 1990, 1991 et 1994. Durant la période, mentionnons également les victoires de Goran Ivanisevic (1992) et de Michaël Stich (1993). Mais s’il fallait n’en retenir qu’une, ce serait l’édition 1994, durant laquelle Boum-Boum effectuera un exploit qui demeurera inédit quinze ans durant : battre les trois meilleurs mondiaux en succession. Becker n’est alors plus que 6e à l’ATP, mais que veut dire le classement chez ce type de champions… Il le démontrera en battant tour à tour Michael Stich (N°3), Pete Sampras (N°1) et Goran Ivanisevic (N°2), podium de l’ATP et podium des surfaces indoor… moins Boris !
1995 : Essen, l’année Muster. Becker et Stich chez les hommes, Graf et la petite Huber chez les femmes, l’Allemagne du tennis rayonne. Jamais très loin de Boris, Ion Tiriac, première fortune de Roumanie, met sur pied un grand tournoi allemand en indoor et prend la place de Stockholm au calendrier. Et pour que cette unique représentation dans la Ruhr reste inoubliable, elle consacrera un vainqueur inattendu, Thomas Muster, qui remportait là le second de ses quatre titres conquis sur une surface autre que la terre battue. 4 sur… 44 ! Battant MaliVai Washington en finale et avec également Arnaud Boetsch dans le dernier carré, l’édition 1995 ne restera pas dans les mémoires, malgré tout de même une superbe demi-finale Muster / Sampras. Dès l’année suivante, on met le cap sur une ville un peu plus « sexy » pour les sponsors, Stuttgart et sa vitrine resplendissante Porsche – 13 victoires aux 24H du Mans, 3 titres de champion du monde de F1.
1996-2001 : Stuttgart, les années folles. Cinq ans durant, l’épreuve allemande consacrera un palmarès assez bigarré, entre vieux chevaux de retour et jeunes espoirs fougueux :
. 1996 : Il était le roi de Stockholm, il inaugurera en grande pompe l’évènement de Stuttgart. Boris Becker remporte là son 48e titre ATP, battant en finale Pete Sampras au bout de cinq sets endiablés (3/6 6/3 3/6 6/3 6/4), prémices à leur épique duel – Martin, si tu nous lis – quelques semaines plus tard en finale du Masters. L’Allemand conclura sa faste saison (titré à Melbourne en début d’année) par une victoire en Coupe du Grand chelem. Sa carrière est quasiment achevée.
. 1997 : Le filiforme Petr Korda a faim. Très fragile et souvent blessé, le Tchèque au bras d’or sort d’un quart de finale à l’US Open (victoire sur Sampras au passage). Son succès allemand, victoires sur Rios, Rafter et Krajicek à la clé, le ramène dans le Top 10 pour la première fois depuis 1993. Trois mois plus tard, il soulèvera la Coupe d’Australie, six ans après sa finale de Roland-Garros perdue contre Jim Courier.
. 1998 : Après s’être contenté du plateau de finaliste l’année précédente, Richard Krajicek s’adjuge à l’unanimité le trophée. Norman, Agassi, Ivanisevic, Sampras et Kafelnikov seront tour à tour épinglés au mur, seul Sampras parvenant à lui chiper un set, au tie-break. Pour ceux qui en doutaient encore, oui, le Hollandais pouvait être énorme dès lors que son corps le laissait tranquille. Problème, comme disait Agassi : « Krajicek ? A chaque fois qu’il voit un court de tennis il se blesse ».
. 1999 : Thomas Enqvist au palmarès. Le grand frère de Tomas Berdych a toujours excellé en indoor, au point d’ailleurs de remporter les deux Masters Series de fin de saison : Bercy en 1996 et donc Stuttgart en 1999, où il effectue une démonstration de force à peine moins impressionnante que Krajicek la saison précédente, avec des victoires sur quatre membres du Top 10 : Andre Agassi (N°1), Gustavo Kuerten (N°5), Richard Krajicek justement (N°8), et Marcelo Rios (N°9). Malheureusement pour Enqvist, aucun Grand chelem ne s’est jamais joué en salle !
. 2000 : Wayne Ferreira. Lorsque débute le Masters Series de Stuttgart, le Poil-de-Carotte sud-africain n’a plus remporté le moindre tournoi depuis le Super 9 de Montréal en 1996. Autant dire que malgré des huitièmes de finale à Melbourne et Wimbledon personne n’imagine Ferreira capable de remporter le titre. Il écartera pourtant comme un grand le tenant Thomas Enqvist, Andrei Pavel, Sébastien Grosjean et en finale Lleyton Hewitt pour remporter le 14e tournoi de sa carrière. Il attendra encore trois ans pour qu’un quinzième (Los Angeles) vienne définitivement clôturer une carrière bien remplie.
. 2001 : Tommy Haas. Celui que l’Allemagne attend comme fer de lance de sa relève réalise une fin de saison de feu dont ce titre à la maison sera l’apogée. Tombeur notamment du bientôt N°1 mondial Lleyton Hewitt en demi-finale, Haas signe par cette victoire son entrée dans le Top 10. Mais la sensation provient de l’identité du finaliste, plus habitué aux trophées de double que de simple : le Biélorusse Max Mirnyi. Pour en arriver là, Max « The Beast » a sauvé pas moins de quatre balles de match lors de ce parcours : deux contre Kuerten, deux contre Ivanisevic. Fatigué par son périple (il gagne également le tournoi en double), il prendra trois fois deux en finale. Fin de l’histoire pour Stuttgart : le tournoi s’éteint complètement à l’ATP pour reprendre un créneau WTA.
2002-2008 : Madrid, les années royales. En sept ans, le Master 1000 de Madrid aura consacré sept vainqueurs différents, et quels vainqueurs : Agassi, Ferrero, Safin, Nadal, Federer, Nalbandian et Murray. Que du lourd, au point même que les cinq premières éditions consacrèrent cinq N°1 mondiaux. Le détail :
. 2002 : Un prestigieux vainqueur, Andre Agassi, qui grâce à ce troisième Master Series de l’année entretenait l’espoir de terminer l’année N°1 (il se contentera du 2e rang, derrière Hewitt et devant Safin), mais pas de finale. Blessé, Jiri Novak ne pouvait disputer sa première – et seule – finale dans un tournoi de cette importance. A noter que, après Monte-Carlo 1997 et Montréal 2001, Fabrice Santoro signait ici sa troisième et dernière demi-finale en Master Series.
. 2003 : A ce moment précis, Juan Carlos Ferrero semble avoir posé sa patte sur le circuit. Vainqueur à Roland-Garros, finaliste à l’US Open, l’Espagnol vient de s’emparer de la première place mondiale suite à sa victoire sur Agassi à New York. Dans la foulée, il remporte à domicile son quatrième Master Series. En chemin, il bat Roger Federer dans un bras-de-fer haletant (6/4 4/6 6/4) qui était quasiment un match pour la place de N°1. C’est aussi à Madrid que l’on découvre réellement un joueur qui fera parler la poudre quelques mois plus tard à Athènes : Nicolas Massu, qui se fraye un chemin jusqu’en finale grâce à son grand coup droit (bat Kuerten et Roddick).
. 2004 : Début de l’état de grâce safinien. Marat Safin entame à Madrid une marche en avant qui lui offrira titres à Madrid, Pékin, Bercy, demi-finale au Masters avec match énorme à la clé contre Federer, avant le sommet australien en début d’année suivante. L’autre homme fort de la semaine, c’est l’Argentin David Nalbandian, arrivé en finale sans perdre un seul set. Mais le match pour le titre tourne court : comme souvent à cette époque, Nalbandian est fébrile dans ses finales et il n’y aura pas réellement match : Safin s’impose 6/2 6/4 6/3 et débute le dernier grand run de sa carrière, le plus accompli aussi.
. 2005 : L’année où trois joueurs se partagèrent les neuf Masters 1000 : quatre à Federer, quatre à Nadal, un à Berdych (Bercy, où les deux premiers cités étaient absents). A Madrid, Rafael Nadal prouve dès 2005 qu’il est un terrien qui s’exporte. En finale, il bat l’homme chaud du moment, Ivan Ljubicic, qui restait sur 16 victoires consécutives (deux en Coupe Davis, avant des titres à Metz, Vienne puis le parcours madrilène). Le Croate remporte pourtant les deux premiers sets, mais Nadal, égal à lui-même, défend obstinément, s’accroche, pousse l’adversaire à la faute, inverse petit à petit la vapeur, jusqu’à remporter le match au tie-break du cinquième set. Un grand moment dans la jeune carrière de l’Ibérique… et une victoire à la Pyrrhus puisque, exténué, le pied meurtri, Nadal mettait dans la foulée un terme à sa saison, avant de louper l’Open d’Australie suivant.
. 2006 : Oubli réparé pour Roger Federer, qui remporte l’un des rares Master Series où il ne s’était jamais distingué. Il ne reste alors guère plus que Bercy sur cette liste peu envieuse… Cette année-là, le Suisse trace, au point d’exploser sa bête noire David Nalbandian en demies (6/4 6/0) puis le Chilien Gonzalez en finale (7/5 6/1 6/0). La semaine suivante, les deux hommes se retrouveront encore en finale à Bâle, avant leurs retrouvailles à venir en finale de l’Open d’Australie 2007, titre à la clé pour Federer sans perdre un set, tandis que le Chilien se consolera avec l’un des plus furieux parcours de ces dernières années en Grand chelem (Blake, Hewitt, Nadal, Haas).
. 2007 : David Nalbandian fait son Safin et s’adjuge le doublé indoor Madrid – Bercy. Mais lui ne parviendra pas à prolonger l’état de grâce jusqu’aux antipodes. Surtout, David contribue à remettre au goût du jour un exploit plus vu depuis treize ans et Becker à Stockholm : battre les trois meilleurs mondiaux sur un tournoi. Djokovic avait initié le mouvement à Montréal (bat Roddick, Nadal, Federer), Nalby le fera à un moment où le Serbe a pris la place de l’Américain sur le podium : après avoir épinglé Berdych (11e) et un tout jeune del Potro (53e) en guise d’amuse-bouche, David lamine Nadal (6/1 6/2), bat Djokovic (6/4 7/6) avant de retrouver la clé du coffre-fort suisse (1/6 6/3 6/3). A Bercy, il remettra ça aux dépends du Top 2, battant cette fois Federer en quarts (6/4 7/6) puis Nadal en finale, score à peine moins sec qu’à Madrid (6/4 6/0).
. 2008 : Un an après Djokovic, un autre petit jeune est venu frapper timidement à la porte du banquet des géants. Il se nomme Andy Murray, est Écossais et remporte à Madrid son deuxième Master 1000 de l’année. Tout nouveau 4e mondial, il a battu Cilic, Monfils et surtout Federer pour se hisser en finale. Le dernier obstacle avant le titre est Français et a explosé cette saison : Gilles Simon. Déjà trois fois vainqueur en tournois, demi-finaliste à Cincinnati, le Niçois s’est fait à Madrid une spécialité des matchs marathons : trois sets contre Andreev, trois sets contre Blake, trois sets contre Ginepri, trois sets contre Karlovic, et enfin trois sets contre le N°1 mondial Rafael Nadal, battu du fond du court, à la bagarre. Épuisé, le Français ne parviendra pas réellement à faire trembler Murray en finale. Le tournoi peut maintenant déménager en Orient.
2009 – 20?? : Shanghai, année zéro. Le géant chinois veut du tennis, le tennis veut le marché chinois. Le jeu des chaises musicales s’est enclenché : Hambourg, dernier fleuron du tennis allemand, perd son statut de Master 1000 ; Madrid récupère le créneau ; et Shanghai, qui vient de perdre le Masters, obtient son gros tournoi en guise de compensation. Mais quel tournoi ; après l’habituelle série de forfaits (pour le coup Federer et Murray), voici venir la litanie des abandons : Zverev et Acasuso au premier tour, Haas, Roddick et del Potro au second, Monfils et Wawrinka en huitièmes, Ljubicic en quarts et Lopez en demies… Vous avez bien compté : neuf abandons en une semaine pour des joueurs fatigués par les longues saisons, sans doute pas trop motivés par cette tournée à l’autre bout du monde et qui ne trouvent pas de réconfort dans des tribunes aux deux tiers vides. Pour un coup d’essai, vraiment pas un coup de maître. Dans ce grand vide, un homme à saluer car son parcours ne dut rien à personne : Nikolay Davydenko, vainqueur de son troisième Master 1000 en carrière en battant, sans abandon aucun, Gonzalez, Stepanek, Djokovic et Nadal. La succession du Russe est ouverte.
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Salut à tous,
avec le décalage horaire il est impossible pour moi de suivre d’ici , ce putain de Master Série de sa race maudite ,toutefois Internet me permet de voir les très bons matchs de mon Zizou adoré.
Je vois deux fois 6/1contre cette grosse enflure de wasa fibre et en moins d’une heure! voilà à quoi on s’expose quand on ouvre sa gueule ,quand aux deux autres nano-zgeugue ce sera le même tarif ils vont de faire démonter le fion.
Je sais, mon comm est inutile mais c’etait juste pour vous dire que j’aime Zizou tellement il claque, tellement il a du pognon,tellement il a n’a rien a foutre de la retraite,tellement j’ai raté ma vie mais pas lui!
A+.
@Julie tu kiff les bédouins?
« Federer: « Je n’ai rien à cacher »
Roger Federer a réagi pour la première fois aux allégations prononcées par un éditeur américain, Jim Agate, qui sous-entend que le Suisse serait mêlé à une affaire de paris sportifs truqués en lien avec IMG, société qui défend ses intérêts. « C’est décevant de voir que quelqu’un a cité mon nom. Je n’aurais jamais fait une chose pareille. Mes fans le savent, comme tous les gens qui me connaissent. Je n’ai rien à cacher. Je suis désolé pour ceux qui croient que j’ai un lien avec cette affaire. Il n’y en a pas », a déclaré le Suisse lors d’une conférence de presse tenue en marge du Masters 1000 de Pékin, propos relayés par le site Internet TMZ. »
Dieu m’est témoin que si je met la main sur ce Jim Agate,je fourre un baobab dans son fion!
Mon pauvre Fed. Ils t’ont mêlés à cette histoire trop facilement. LOL
Nan mais c’est clair qu’on sait que FED en lui-même n’a rien à faire la dedans.
Mais comme a dit Sylvie c’est incroyable de voir la tournure des événements sur le net et comment on essaie de l’inclure dans ce problème. A Davydenko de venir à sa rescousse.
Mon préféré :
« Federer le fraudeur! »
Ou la presse qui ne craint pas de se ridiculiser histoire d’attirer les lecteurs. Cette affaire ne vaut pas tripette, et ne mérite aucune attention. Chewi, garde tes forces pour des causes nobles
Date Krumm vient de remporter le second set au tie break face à Peer !
Dans l’autre demi, Tanasugarn (33 ans!) a battu Bartoli. Si la japonaise gagne, on tient sans doute le record de la finale à la moyenne d’âge la plus grande !
Date Krumm est une spécialiste des matchs en 3 sets, et bien souvent, elle perd le 1er : rien n’est joué pourtant Peer est très accrocheuse, et cela fait tout de même plus de 2h que le match a commencé 1/1 partout dans le 3ème
Elle l’a fait 3-6 7-6(5) 7-5 en trois heures de jeu
en battant Stosur en 2h30 hier
Bravo .
Trop bien! J’étais sûre qu’elle perdrait face à Peer. Ça me fait trop plaisir.
Mais je croyais que Tanasugarn était plus jeune. Elles assurent grave!!!
Vivement la finale.
Comme dit, la vraie saison c’est Mai – Septembre. Le reste c’est juste pour le jeu. Et c’est bien sympathique de voir des matchs du big 4 en hiver. Et la finale de la Coupe des vis devisse des vices.
Je pense sans rire que Graf pourrait rivaliser avec les meilleurs si elle revenait aujourd’hui.
You’re in love with Steffi Graf ?
http://www.youtube.com/watch?v=jBwbJWF8_-Q
Qu’il est bête, ce Lionel. Et puis il me pique mes jeux de mots pourris. Gobe-trotter en carton, va.
De mémoire un groupe allemand avait sorti une chanson intitulée « Je veux faire l’amour avec Steffi Graf », et elle s’en était effarouchée et avait fait un procès, si bien que le titre avait été retiré du commerce.
Ce serait une parodie de Hugh Laurie alors ?
En tout cas, il est très drôle :
And if I had another life i’d choose
To comme back as one of Steffi’s shoes…
http://www.tennisonline.fr/actualite-tennis-online/communaute/videos-tennis/parodie-federer-rodjey-federer/ Amusant !
Quelqu’un sait pourquoi Murray-Monaco n’a pas commencé ?
10h30
Dommage que Fed n’ait pas encore accepté de le rencontrer, mais ça viendra :)Je suis certaine cependant qu’il doit bien rigoler , car le mec est convaincant.
Des pronos pour le match qui va débuter ? allez, Murray en 2 sets
2 sets facile pour Murray.
Murray gagnera si les penalties ne sont pas pris en compte
Car il existe un contentieux entre ces deux-là, non ?
Murray en 2, je prends pas de risques là ! La seule fois où Monaco m’avait paru dangereux, c’était à l’USO l’année dernière face à Del Po, il lui avait pris un set. De là à en prendre 2 à Murray aujourd’hui…
Et je me corrige moi-meme, après vérification Monaco n’avait pas pris de set à Del Potro.
Je ne vais pas faire dans l’original, Monaco ne va pas faire un pli à mon avis.
Je suis privée d’avatars aujourd’hui (connexion pas terrible )
Murray domine tranquillement Monaco,mais demain que ça soit contre Rodg ou Nole il n’a aucune chance.
Tranquillement ? Il fait sous lui, oui !
6-4 dés qu’il a haussé le niveau.
Certes, il est au dessus, ce qui rend sa fébrilité encore moins pardonnable…
Amusant la disparité de contenu entre les confs de presse Federer http://www.shanghairolexmasters.com/English/news/50/455.html et Djokovic http://www.shanghairolexmasters.com/English/news/50/438.html
Ouais je sais en ce moment y a Murray contre l’autre Monaco là mais franchement c’est pas le même enjeu.
Contrairement à ce qu’on lit souvent, je trouve la plupart des interview de Roger, lucides et très fines dans l’analyse. S’il avait sorti la première phrase de l’interview du Serbe on l’aurait taxé d’arrogance.
Marrant : Monaco a débreaké. Effectivement il semblerait que la finale de ce tournoi se joue le samedi à 14h00.
Et Murray qui se fait débreaker sur une double faute : il aura passé autant de temps sur le 1er set qu’hier sur la match contre Tsonga. Son service est anémique (échange standard avec Djoko? ).
Quel point ! Après une double sur balle de break, le voilà qui renvoie 2 smashs pour finalement remporter le point.
Aller murray fait le boulot,et laisse nous voir le show.
Si quelqu’un veut le meilleur Highlights du Fed-Sod c’est par ici http://www.youtube.com/watch?v=umAtIqam7Xw
Le commentateur est excellent.
Murray est le nouveau CDMO. Ça ne devrait pas durer longtemps.
CDMO? J’ai loupé un épisode.
D’après ce que j’ai compris, il a battu celui qui a battu celui qui a battu le numero 1. Soit Murray > Monaco > Melzer > Nadal.
Bonjour,
Ulysse nous expliquait tout ça ici :
http://www.sportvox.fr/article.php3?id_article=24319
Je crois que ça aurait sa place dans les FAQ, de même que le TRWC. Ça fait partie des spécificités du site.
Ca démarre fort. Les deux jouent bien pour le moment. C’est autre chose qu’à NY. Pourvu que ca dure.
Ca sent bon le gros combat !
Beau début de match. ça ne rigole pas. Revers peut-être un peu trop fautif pour Federer.
Je vais avoir un arrêt cardiaque.
Chaud pour Federer.
Un revers somptueux mais dans l’ensemble il n’est pas serein du tout le Fed.
Et ça me semble bien jouer, c’est juste ce jeu très disputé ou ça a démarré à fond ? (Je viens d’arriver)
Quel match ! Pourvu que ça dure.
il est en jambes le papy !
Il va voir du pays demain, le Murray!
Le niveau de jeu est HALLUCINANT !!
N’exagèrons rien… Beaucoup de fautes directes. Fed semble un peu ailleurs, je ne suis pas très serein…
Il sert bien l’ami serbe !
Je n’ai vu aucun match de Murray mais à en juger par les rapports de match et le nom de ses adversaires jusque là, quel que soit le vainqueur ce ce Fed/Djok, le Scotch aura plus d’opposition demain !
Beau niveau de jeu pour le moment, avec un léger avantage à Djoko. Fed en panne de 1er service aussi, il va falloir qu’il remonte ses stats à ce niveau s’il veut bousculer Novak. Fed me semble un peu plus agacé que d’habitude également.
Le lien pour suivre en direct la demi du joueur suisse:
http://www.tv-rennes.com/
Bon ok, ca va, j’arrête.
Vieux Doudou en Chine contre Petit Dragon asthmatique. A la recherche de la VO²Max de l’Arche Perdu. On dirait les Connors/Lendl.
C’est une année à champignons.
Tes comms sont de plus en plus ésotériques, mon vieux poisson !
Et pendant ce temps-là, Fed lâche des coups hallucinants ponctués de fautes assez gratuites. Djoko est au-dessus mais n’en profite pas pour le moment.
http://www.ladepeche.fr/content/photo/biz/2009/10/11/200910111134_zoom.jpg
Ce sont des « bolets Thierry » ??
Cela fait trois jeux que Federer commence bien en retour pour s’écrouler derrière. Je pense que c’est mauvais signe. Quand il joue ainsi il finit souvent par perdre.
Expérience extrême: regarder fromsport en écoutant les commentaires de TV Rennes (« un léger mieux pour le Suisse au mois de septembre, avec un beau parcours à Saint Rémi de Provence en battant notamment Manarinno »)