Un top/flop un peu ramassé qui se concentre sur les quelques grands acteurs de cette première partie de saison sur terre.
Des chiffres et deux lettres
RN. 17 Masters 1000 (dont 12 sur terre battue), 147 victoires pour 5 défaites sur terre (depuis 2005), 6 Monte-Carlo d’affilée, 5 Rome, 3 jeux perdus par match en moyenne à Monte-Carlo, signant au passage la plus large victoire en finale d’un Master 1000 ou équivalent dans l’ère Open. L’ocre coule dans les veines de l’Espagnol et personne, à l’heure actuelle, ne semble vraiment en mesure de lui contester la victoire finale à Paris. Impérial lors de ses deux tournois de rentrée, Nadal n’a pas trahi les pronostics et a enfin pu mordre de nouveaux trophées. Tout semble rentré dans l’ordre donc. Et pourtant… S’il a signé sur le Rocher l’une de ses victoires les plus faciles et ensuite enchaîné avec Rome, il flotte une légère impression de trop peu sur le n°3 mondial. Bien sûr, après ces longs mois de disette, personne ne s’attendait à retrouver l’ogre de 2008, le rouleau-compresseur qui écrase la concurrence dès les vestiaires. Mais quand même. Dix mois sans titre, c’est long. Dix mois sans victoire sur un Top 10, très long. Les défaites, alors, s’acceptent difficilement. La confiance, doucement, s’érode. La peur, lentement, s’installe. Ses regards ne trompent pas et trahissent une certaine nervosité, un semblant de crainte. Le jeu devient attentiste dans les moments cruciaux, le coup que jadis on osait reste dans la raquette et la conviction de sa puissance se mue en l’espoir d’une faute adverse.
Heureusement, la terre salvatrice s’annonce enfin et avec elle, le retour au sommet, la gloire retrouvée, la défaite oubliée. Des adversaires réduits au rang de faire-valoir et un coup de fouet toujours aussi destructeur. Un juste retour des choses, en somme, mais une impression insidieuse que l’édifice peut s’écrouler de nouveau, que les genoux meurtris par tant d’années de surrégime refuseront de jouer les prolongations. A Rome, lors d’une demi-finale qu’il aurait pu perdre mille fois, Rafa s’est, pour la première fois sur terre, vraiment arraché. Face à la pluie de coups gagnants, il a répondu par la couverture de terrain et l’intelligence du jeu. Il a su saisir les seules opportunités qui se présentaient et vaincre l’impétueux qui osait lui tenir tête. Le match déclic ? A la veille du tournoi de Madrid, Nadal temporise : « J’espère faire aussi bien à Madrid (qu’à Rome et Monte-Carlo) qui est sans doute un tournoi plus délicat en raison de l’altitude, la balle va plus vite, à moi de m’adapter à la situation. Je ne me fixe pas d’objectifs précis. Je ne suis pas obnubilé par le fait d’être numéro un, deux, ou trois mondial, je veux juste être heureux. » Heureux. Pour un champion de sa trempe, cela passe forcément par une réussite sur le terrain et à l’heure actuelle, malgré ce léger soupçon, difficile de prédire qui pourra venir troubler la fête.
La Nouvelle star ?
Avec sa coupe à la Stéphane Bern et sa façon de jongler avec les balles avant de servir, Ernests Gulbis relève plus du chien fou que du maître tacticien. Adepte d’un jeu en mode Jésus (multiplication des pains), Neness n’a peur de rien, un talent fou mais un gros poil dans la main. Comme tous les talentueux, l’âpre besogne, très peu pour lui. Il préfère largement tâter de la pouliche que bouffer du cardio-training. Pourtant, à la veille du tournoi de Rome, il confiait s’être entraîné « comme un fou » sous l’impulsion de son nouvel entraîneur, Hernan Gumy (ex-coach de Marat Safin). « Je sais que je dois travailler plus pour avoir de meilleurs résultats, mais c’est contre ma nature. » Ses résultats en tout cas plaident pour son coach dont le programme d’entraînement chargé aura permis au Letton de marquer les esprits en sortant Federer d’entrée et en bousculant sévèrement Nadal en demies. Avec une première balle supersonique, un revers à deux mains presque aussi beau que celui de Murray et un coup droit dévastateur, Ernests à les armes pour battre tout le monde. Cela fait longtemps qu’on le sait, mais cette année semble enfin être celle de la confirmation des attentes, avec un premier titre ATP et une demie en Master 1000. Reste à espérer que le fougueux n’explose pas en vol, lui qui n’a peur de personne : « Lorsque je joue bien, je suis un problème pour n’importe qui. J’ai un bon service, je joue des coups forts et je sais que c’est difficile de jouer contre moi. J’espère être en forme pour Roland-Garros et Wimbledon. » Actuellement 34e au classement, Gulbis n’est pas assuré de passer tête de série à Paris et pourrait donc créer la sensation dès les premiers tours en sortant un cador du circuit.
Fear Factor
L’un et l’autre partagent l’insigne honneur d’être à la fois les bons potes de Rafael Nadal et ses souffres-douleurs favoris. Mais si Fernando Verdasco ne s’est jamais imposé contre Rafa, David Ferrer peut se targuer d’être l’un des seuls joueurs du circuit à l’avoir battu sur terre (en 2004, une autre époque). Outre ces privilèges, les deux Espagnols partagent surtout, avec l’autre intouchable, la tête d’affiche de ce début de saison terrien avec des résultats plus que probants, signant tous les deux leur plus beaux parcours sur ces tournois. « C’est le meilleur début de saison de ma carrière. Je n’avais jamais eu autant de points. En général, je suis très content de la tournure des évènements. » Il faut dire qu’en prenant l’ascenseur émotionnel en moins d’une semaine, Fernando a prouvé qu’il pouvait rebondir. Après une mémorable rouste en finale de Monte-Carlo, le chéri de ces dames, le chouchou des coiffeurs et l’égérie d’une marque de sous-vêtements qui en a sous le capot vient enfin de décrocher une victoire probante à Barcelone. Défait en demi-finale du « Godo », Ferrer signait la semaine suivante à Rome sa première finale en Master 1000 où il résista pendant le premier set à la puissance nadalienne, avant de logiquement s’effondrer. Leur côte ne sera assurément pas la plus basse pour le rendez-vous parisien, mais les deux Ibères seront à surveiller : ils pourraient bien réserver quelques surprises…
La roue de l’infortune
Pendant que les Espagnols trustent les places d’honneurs, le reste du monde – ou presque – fait la queue devant l’infirmerie. Juan Martin del Potro, en délicatesse avec son poignet, n’en finit plus d’envoyer des lettres d’excuses aux organisateurs de tournois. Après une kyrielle de diagnostics, tous aussi pessimistes les uns que les autres, le grand brun s’est finalement résolu au saut vers l’inconnu en acceptant une délicate opération. Écarté des courts depuis janvier, il ne fait plus de doute que le reste de sa saison s’annonce compromise. L’US Open arrivera sans doute trop tôt dans son calendrier, un retour lors de la saison indoor est dès lors plus probable. L’autre grande animation de la fin de saison 2009, Nikolay Davydenko, souffre lui aussi d’un poignet (le gauche) et, après son forfait à Estoril, ses chances de participer au French s’amenuisent également. Éternel éclopé, Gilles Simon a le moral en compote et le genou aux fraises, avec le spectre de l’opération qui plane au-dessus de lui. Mardy Fish est tout cassé et Gaël Monfils, même s’il kiffe à donf la Suisse (sic), a eu le mal des montagnes et l’estomac en bouillie, ce qui l’a amené à ne jouer ses premiers matchs sur terre qu’à Madrid. S’ajoute à cela une cohorte de souffreteux tels Tommy Haas (hanche), James Blake (genou), Mischa Zverev (côtes), Steve Darcis (tout), Ivan Ljubicic, Novak Djokovic (apparemment, il tiendrait un rôle-titre dans la prochaine saison de « Dr. House »)… A trois semaines du rendez-vous parisien, le tableau ne s’annonce pas très fringant.
Questions sur un Champion
En préambule de la saison, Roger Federer annonçait vouloir remporter plus de tournois cette année, « même les petits », et entendait donc mettre les bouchées doubles en vue de réussir cet objectif. Quatre mois après son titre à l’Open d’Australie, faute de nouvelle victoire, son discours évolue déjà : « Mon objectif n’est pas de gagner douze tournois cette année, mais de briller dans les principaux événements que sont les Grands chelems, les Masters 1000, et de conserver ma première place mondiale. » Voilà donc son but, briller là où ça compte. Le hic c’est qu’après le premier Slam de l’année, remporté avec panache et brio, la machine s’est grippée et les déconvenues accumulées. En manque de rythme depuis son retour à la compétition, Federer se cherche, à l’image d’un Top 10 qui, Nadal et Roddick exceptés, navigue dans l’inconnu. Burn out, séquelles de son infection pulmonaire, contrecoup logique après plus de dix ans sur le circuit, dont sept au top ? Lorsqu’on a tout gagné, tout prouvé, tout réussi au-delà de ses espérances les plus folles, l’envie de passer à autre chose semble légitime chez la plupart des personnes. Mais Federer a déjà démontré qu’il n’était pas n’importe qui et crie haut et fort qu’il a toujours faim. Soit.
Malgré la défaite, le match de Rome contre Gulbis donnait quelques raisons d’espérer un retour vers un meilleur niveau. Sa tournée au Challenger ATP 250 d’Estoril devait ensuite permettre une progressive montée en puissance pour arriver à Madrid, puis Roland-Garros, en pleine possession de ses moyens. Lourd sur ses appuis, imprécis, visiblement agacé, Roger s’est fait cueillir par le premier terrien venu et présente un bilan peu rassurant, avec deux victoires sur terre pour autant de défaites (et seulement sept rencontres en tout depuis l’Open d’Australie). Confiant en l’avenir, Fed répète à l’envie, peut-être pour se convaincre lui-même, « qu’il n’est pas inquiet », mais ces désillusions répétées démontrent, s’il le fallait encore, le double visage que propose le Suisse sur les formats courts et longs. Alors qu’il entame son parcours du combattant, avec 5000 points à défendre en six semaines, Roger va-t-il confirmer l’adage et nous rappeler que rien ne sert de courir mais qu’il faut partir à temps ?
Le maillon faible
En ces temps de crise, beaucoup de joueurs pourraient postuler pour ce titre peu glorieux (et un peu sévère), mais Novak Djokovic se détache nettement du peloton. Numéro deux mondial un peu par accident, Nole a pu profiter du coup de mou de ses concurrents directs pour gravir l’avant-dernier échelon de la hiérarchie. Mais s’il y a toujours un barreau supplémentaire sur l’échelle de ses ambitions, Novak a quelque peu dégringolé ces derniers temps. Comme d’autres, il s’alignait sur terre avec de légitimes ambitions et le souvenir de sa bonne saison 2009. Las, il tombe deux fois contre Verdasco et propose un tennis en dents de scie, où les creux sont plus fréquents que les hauts. La collaboration avec Todd Martin a fait « pschiiit », laissant au passage une crise de confiance plutôt profonde et un manque de puissance assez flagrant. Malgré tout, il atteint le dernier carré à Monte-Carlo et les quarts à Rome, sans convaincre, certes, mais à l’inverse d’un certain Suisse, au moins il enchaîne les matchs. Et puis vient Belgrade, son tournoi, géré par Papa, pensé par Maman. Une rencontre contre un jeune Serbe, inconnu au bataillon. Victoire facile, sourire de circonstance ? C’était sans compter sur le nouveau mal qui désormais le ronge : les allergies. Alors que les années précédentes, il semblait s’en accommoder, cette saison, il n’y arrive pas et abandonne en court de partie pour la première fois depuis l’Open d’Australie 2009. Forfait à Madrid, Novak est presque certain de perdre sa place de dauphin et arrivera à Roland-Garros avec plus de questions dans ses bagages que de certitudes sur son état.
Le big deal ?
« Toi tu prends les shorts taillés dans une nappe de pique-nique et le T-shirt moulant de l’équipe de foot d’Italie, moi je prends l’équipement sobre et classe, qui met en valeur mon côté chevalier blanc. » En substance, la conversation entre Roger et Rafa en visite chez leur équipementier à l’entame de la tournée sur terre. En échange, Rafa avait le droit de remporter les tournois du championnat espagnol.
Brèves de comptoir
Cela faisait presque vingt ans, depuis la mythique finale de Roland-Garros qui opposait Dedé à Jim, que deux Américains ne s’étaient plus affrontés pour un titre sur terre battue européenne. A ce petit jeu, c’est le moins grand des deux géants qui s’est imposé puisque Sam Querrey a finalement pris la mesure de John Isner au tournoi de Belgrade. Sauvant au passage une balle de match, Querrey s’impose une fois de plus cette saison contre son partenaire de double (après Memphis) et démontre toute son aptitude à développer son jeu sur terre.
Ils se faisaient discrets depuis quelques semaines, mais c’était pour mieux préparer leur retour. Mikhaïl Youzhny et Marin Cilic se sont eux retrouvés en finale du tournoi de Munich où le Russe s’est enfin offert le titre après deux finales perdues. Cilic, qui s’était débarrassé d’Almagro et de Baghdatis en chemin, a connu quelques ratés au service mais peaufine ainsi sa préparation sur terre, qui n’est pas sa meilleure surface.
Elles reviennent ! A même pas 30 ans, Martina Hingis et Anna Kournikova s’associent à nouveau en double et s’aligneront au tournoi des Légendes lors du prochain Wimbledon. Si la première citée mérite le titre, on est en droit de se demander ce que la seconde a vraiment apporté au tennis, si ce n’est une plastique avantageuse et un sens plutôt aigu des affaires…
Dans la catégorie « on a que ça à faire », deux acharnés ont décidé de battre le record du monde de la plus longue partie de tennis (non officielle). Après avoir disputé 68 sets et 517 jeux, David Watkins et Eric Perkins ont finalement dépassé le précédent record qui était de 36 heures et 36 minutes. Pour la petite histoire, Watkins s’est incliné sur le score sévère de 65 sets à 3.
Ferrer va servir pour le match, quand je pense que Marcos avait balle de match il y a 5 minutes : je vous le dis, mes zamis, pas de mental le chypriote, un magnifique tennis, mais qui ne suffit pas pour emporter un tel match.
6 espagnols sur 8 en 1/8, belle performance
Oui, après Isner, Nadal pourrait taper Garcia-Lopez, Verdasco-Almagro et Ferrer-Lopez en finale
Pas de sa faute, mais les Dieux seraient avec lui : toujours pas de top 10 en vue
Mais si, Verdasco est 9.
Pas de sa faute, mais les Dieux seraient aveclui : toujours pas de top8 en vue
En tout cas,faute de top 8 ou 10 au classement global,Nadoléon aura quand même vaincu plusieurs top 8 ou 10 de la terre battue cette saison : Ferrer,Verdasco,Ferrero,Gulbis,Federer (en finale,prono)…. en jouant presque d’une main..
Dommage pour Baggy qui était dominant.
tennistiquement mais pas mentalement. Il a donc perdu.
Plus sérieusement, je ne pense pas que ne pas battre de top 8 pour Nadal soit significatif (sur terre) : c’est le roi, avec ou sans suiveur sérieux.
Oui, surtout que jusqu’à présent, ce sont surtout un 40° et un jesaipacombientienne 200 qui l’ont bousculé.
Les suivants immédiats sont au fraises, surtout ses compatriotes, même Hanescu semble plus y croire qu’eux.
Où va le monde, franck, peux-tu me le dire ?
Ne t’en fais pas, Diana, Federer et Murray semblent avoir repris les choses en main
« Où va le monde »
Réponse le 22/12/12…………..quand Roger aura pris sa retraite auréolé d’un dix-huitième Grand-chelem,d’une coupe Davis et des JO de Londres…
Certain(e)s diraient: « plutôt mourir que de voir ça! »
Nawak. La fin du monde c’est avant ça. Le réchauffement climatique, les tsunamis, les tremblements de terre, al qaeda, la montée des eaux et la disparition des Maldives, les pandémies, la vache folle, le poulet à la dioxyne, les gaz à effet de serre, l’arme nucléaire bientôt aux mains des talibans Afghans, la nouvelle coiffure de Ronaldo (le vrai, le gros), les élections en Côte d’Ivoire.
Désolé de te décevoir mais on n’arrivera pas en 2012 Alex. Si tu reluquais secrètement ta voisine du dessus en pensant à ses dessous, il est temps de lui passer dessus même par en dessous!! Bientôt tout sera sens dessus dessous et tu seras déçu de plus avoir de sous. Tout va pêter.
A l’aiiiiiiiiiiiiiide
ps: demain c’est férié, donc là y’a double ration de punch. ça va chez vous sinon?
Ma voisine du dessus me fait -à l’instar d’Aravane Rezai- cambrer la banane
Cette kriek cerise est une escroquerie, y’en a 3 versions, la bécasse, la foudroyante et la mort subite, pas le même titrage en plus, t’es au courant de ça, Cochran?
Je préfère encore me finir à la bière du démon, 12° sans faux col.
la Kriek, c’est comme la Geuze, une bière pour ceux « qui n’aiment pas la bière ». Rien ne vaut une bonne Chimay Bleue, une Orval tempérée, une Chouffe ou alors Westmalle. La meilleure bière du monde, la Westvleteren, se vend uniquement dans l’Abbaye qui porte le même nom et il faut réserver sa commande 3 mois à l’avance, au minimum.
Oui et je crois même que c’est délivré en quantité limitée par client pour éviter la spéculation sur eBay
Oui, uniquement 3 fois 6 bouteilles par commande si ma mémoire est bonne. Devant l’Abbaye, il y a souvent une file super longue et ce, tous les jours. En fait les moines refusent une escalade commerciale et ne produisent uniquement que la quantité nécessaire à assurer leur subsistance et leurs oeuvres.
Ce qui accentue évidemment la rareté et donc l’envie d’en acheter. Je n’ai eu l’occasion que d’en boire une seule fois, et c’est vrai que cette bière est délicieuse.
A l’époque où j’étais étudiant en Belgique je ne buvais pas une goutte d’alcool. je n’avais rien compris à la vie et ne savais pas ce que je ratais. Si c’était à refaire, avec mes capacités actuelles, la bière ne s’en serait pas tiré comme ça.
ça peut toujours se rattraper !
Moi je serai a priori plutot biere tcheque, plzen urquell ou Budwar…. c’est plus leger et on peut en boire plus!!!!
Mais bon…. c’est bien aussi en belgique!
Buvez cette bière (http://www.guidedesbieres.com/biere3664/prinzregent-luitpold.html) à Bonn, avec quelques ml de Sekt, vous m’en direz des nouvelles.
Sinon, Cochran, j’abonde en ton sens.
C’est pas mal ça aussi :http://www.les3brasseurs.ca/fre/our_famous_beers.php brrrrrroug je vais me coucher.
Francky tu dors?
Sûr que la victoire de Ferrer donne envie d’une bonne bière,l’Erdinger Weissbier allemande donc.
Karim en Belgique sans boire une goutte d’alcool. Elles devaient être longue les soirées d’hiver.
Un peu de sérieux, Aravane joue à 18H environ et Ferrer, Federer pardon vers pfff 21-22 h, minuit pour moi. Jusqu’ou ira mon amour?
Salut à tous !
May a remis à jour le tableau avec un peu plus de 100 joueurs et environ 20 semaines de points qui constitue la donnée névralgique de l’Odyssée.
Ça fait deux jours que j’aurais dû mettre à jour sur le site mais je n’ai pas eu le temps. rendez-vous compte : je n’ai pas vu un seul match de Madrid.
Je fais ça ce soir sauf gros mal de tête.
C’est un peu curieux de faire jouer Federer en dernier alors qu’il avait été le premier qualifié pour ces 1/8mes. C’est quoi l’idée des organisateurs ? de le faire jouer en premier demain à midi s’il passe Wawrinka ? S’il arrive en demies, je suis à peu près sur qu’ils feront jouer l’autre demie en premier, comme l’année dernière..
Dans la catégorie de ceux qui devraient aller en quarts sans trop de soucis, ou du moins de façon qui me parait à peu près certaine, je mettrais bien Rafa, Almagro, Verdasco, Murray et Federer. S’agissant de ce dernier, et comme pour Murray, je ne me base que sur son premier match, ce qui est un peu fragile au vu de ses résultats des dernières semaines mais jusqu’à preuve du contraire, je lui fait confiance. S’il devait perdre contre Stan, il serait vraiment mal barré pour Roland Garros..
J’y mettrai bien Monfils aussi mais c’est seulement son deuxième match depuis deux mois mais j’espère qu’il passera Garcia Lopez, s’en prendra une contre Rafa au tour suivant et que cela sera une excellente raison pour que Rasheed le mette de force au turbin d’ici Roland..
J’y mettrai bien Cilic aussi mais il a Ferrer en face. Il sera néanmoins plus frais et pourra peut être en profiter. Je dirai Cilic donc..
Lopez ou Gulbis ? C’est un vrai test pour Gulbis parce que vu les scores de ses deux derniers matchs (pas vu les matchs), Lopez doit très bien jouer en ce moment. Si Gulbis passe, ce sera une preuve de constance et il aura l’opportunité de se battre pour une deuxième place en demie après Rome contre Federer, ce qui sera l’affiche alléchante des quarts…
Au final, je verrai donc les quarts suivants:
Rafa-Monfils
Almagro-Verdasco
Cilic-Murray
Gulbis-Fed
Avec les sorties de route de Sod et Jo, le tableau côté Rafa s’est bien dégagé..Jusqu’à la finale, il n’a à rencontrer que des types qui ne l’ont jamais battu..Nettement plus ouvert de l’autre côté..
Salut Antoine,
Pour Lopez/Gulbis, ce sera Gulbis sans hésitation. Youzhny était d’une toute autre pointure que Lopez, et ayant vu leur dernière confrontation, y’a pas photo.
Oui mais Gulbis n’était pas flamboyant : Youzhny était clairement diminué, et pourtant le letton a eu pas mal de mal à sortir le russe. Lopez évolue en plus devant son public ( dont on a vu par ailleurs le fair play…), ce sera sans doute plus dur pour Gulbis qu’à Rome…
Qu’est-ce que tu racontes, David? Tonton Toni le trouve parfait ce public, le plus connaisseur du monde
Tout n’est qu’une question de point de vue après tout^^
Mais je crois que ce tournoi se pose en sérieux concurrent de Bercy. En tous les cas, sur cette édition, il a deux des aspects qui font la spécificité du tournoi parisien : des abandons en cascade et un public chauvin digne des matchs du parcours de Tsonga en 2008.
A propos, Séréna a déclaré après sa défaite contre Petrova que personne n’aimait ce tournoi. Mauvaise joueuse? Peut-être mais en tous les cas ceux qui s’inquiétaient du statut de Roland Garros peuvent apparemment dormir sur leurs deux oreilles. C’est pas demain la veille que Madrid deviendra un GC…
T’as toujours pas digéré la mauvaise foi du tonton l’an dernier on dirait
Rassure-toi, moi non plus je n’ai pas apprécié l’huile sur le feu
Ah moi, je n’ai rien à digérer, je n’assistais pas au match dans les tribunes.
Non, la vraie question, c’est: est-ce que le public aura digéré, lui.. on va voir ça dans moins de 10 jours..
Le retour de bâtons,en effet, il y a risque pour le clan Nadal. Car déclarer que le public de RG – ou les Français sont stupides- est stupide (ou quelque chose de ce goût là) était loin d’être très diplomate :oops:, sauf si le tonton avait la conviction que son élève ne reviendrait plus
Si le public n’est pas stupide c’est tonton qui se fera siffler!
Ben oui, mais comme il est stupide (c’est tonton qui l’a dit), c’est donc Nadal qui va déguster
je mettrais bien Rafa
J’y mettrai bien Monfils
J’y mettrai bien Cilic aussi
Ohhhhh ohhhh ce serait le bonheuuuuur!!!!
alors celle-là les moins de 35 ans n’ont aucune chance de la comprendre…
OK, c’est pas drôle, mais j’ai pas pu résister
et moi, mes frères et mes soeurs
Ce serait un beau sujet d’enquête, comprendre le pourquoi du comment de la programmation lors des tournois ATP. En tout cas, Fed doit l’avoir mauvaise, il a intérêt à plier ça rapidement pour ne pas handicaper sa journée de vendredi s’il passe. Je vois bien une revanche de son match contre Gulbis également, programmé très tôt dans l’après-midi.
J’ai lu que la nouvelle règle c’est, en alternance à 20h, un match ATP, un match WTA pour raisons de parité. Mais je trouve aussi qu’ils auraient pu le faire jouer en fin d’après-midi. Ceci dit, il fallait bien que quelqu’un s’y colle et il n’a pas joué hier. S’il a une bonne programmation demain (pas à midi), ça sera correct. Sinon, je pense qu’il sera en droit de se plaindre.
et tiriac n’en aura rien à faire ce qui l’intéresse lui c’est le fric si faire jouer fed en dernier remplit le stade et bien il le fera jouer en dernier…
Je crois qu’il y avait eu des plaintes l’an dernier, les matchs ATP avaient eu la faveur des meilleurs créneaux horaires.Sans doute un souci d’équité ont-ils mis un match féminin à 20h, pour s’assurer de la présence de spectateurs e vue du match suivant.
Il pleut à Madrid, ça commence bien. Federer va jouer à minuit à ce rythme là.
Ben à quoi sert le toit? Il fonctionne au moins?
Peut-être qu’ils ne sont pas très chaud pour faire jouer Nadal contre Isner en conditions indoor…. rien de telle qu’une bonne vieille TB bien humide et bien lente
Il est rouillé faut croire.
Federer ?
Ah, il parait qu’il faut quinze minutes pour le mettre en fonction.
Encore Federer ?
Tu me cherches, man ?
Federer c’est un set minimum pour le dérouiller en ce moment et souvent le match ne suffit pas.
C’est lent ou je rêve ?
Les prévisions ne sont pas bonnes : pluie toute l’après-midi et toute la soirée, il va falloir qu’ils se résignent à couvrir les 2 courts.
Les organisateurs, ou plutôt l’organisateur, n’a aucune obligation et fait ce qu’il veut. S’il déraille, il peut avoir un pb avec l’ATP mais c’est tout..
Là bas, c’est Tiriac qui décide de tout et pour ceux que cela intéresse, je vous conseille de lire le portrait que Peter Bodo lui a consacré voici quelques jours sur son site. En autres choses intéressantes, on apprend par exemple que Tiriac n’en a rien à faire du fait que le stade soit vide de spectateurs la plupart du temps, comme hier soir par exemple. Il explique en effet que toutes les box premium, très nombreux à Madrid, ont été venues depuis longtemps et qu’il a été obligé de refuser des offres. Or ce sont ces places là qui rapportent, les autres c’est des clopinettes. Après que les boites qui ont acheté ces package n’envoient finalement personne, il s’en tape ! A un degré bien moindre heureusement, il y a le même pb à Roland Garros. Beaucoup de places, trop de places sont vendues dans des package à prix d’or aux boites qui viennent faire des relations publiques; les types viennent bouffer, passent une demie heure sur le central et se cassent laissant un très grand nombre de places vides..On pourrait imaginer un marché secondaire mais on n’en est pas encore là..
Pour en revenir à Madrid, je ne sais pas combien de spectateurs ils vont comptabiliser sur la semaine mais cela risque de ne pas être mieux qu’à Shangaï. Or, nous sommes en Espagne, première nation en tennis, avec de surcroît une super star nationale et mondiale, un pays qui représente davantage que la Chine sur le plan tennistique. C’est donc un pur scandale ! On verra bien mais la règle est qu’un M 1000 doit avoir au moins 100 000 spectateurs, avec risque de relégation sinon..
Autre chose: ce truc qu’est la caja magica a été conçu par un architecte demeuré. Aux heures ou on joue habituellement, c’est à dire l’après midi au printemps, compte tenu de du positionnement du stade, la structure du batiment abouti à ce que quand il y a un soleil, il y a aussi une zone d’ombre contrastant très fortement qui fait que le court est découpé en deux et que selon les heures et les zones, les joueurs et leurs adversaires passent de l’ombre à la lumière plusieurs fois au cours d’un point. par exemple. On peut difficilement faire pire…
La seule bonne nouvelle, c’est que devant les récriminations, celles de Rafa en premier lieu, Tiriac a renoncé (provisoirement) à ce que la terre battue soit bleue..
L’architecte demeuré (Dominique Perrault) est français :mrgreen:, m’étonnerai pas que ce Numérobis ait agi en connaissance de cause pour donner du temps à la FFF et ses altermoiements quant à RG.
Si en plus, Madrid devait être relégué pour cause de public insuffisant, c’est dire si Tiriac aurait tout loisir pour imposer sa TB bleue
Tant mieux d’un côté. Si le tournoi n’est pas à la hauteur, RG risque de rester en France. Enfin, RG, le tournoi du GC.
Aucun risque, ce débat sert juste à alimenter les rumeurs et à presser les choses..
Le label « Grand Chelem » appartient aux fédérations respectives Aussie, Française, Britannique et Américaine, de plus rien à voir avec l’ATP.
La menace Madrid GC, c’est une légende urbaine.
Tant mieux. je trouve que, pour l’instant, ce tournoi n’a pas d’âme
Ce 3ème MS1000 sur TB était-il indispensable?
Il serait plus judicieux de le remplacer par un MS sur gazon le Queen’s ?!
On est d’accord.
Moi aussi je suis d’accord mais ça a plutôt pris le chemin inverse parce que les types de l’ATP ne m’écoutent pas. Halle et le Queen’s était des « ATP400″ encore en 2008 mais plus que des ATP250 en 2009. Il y a de moins en moins de points ATP distribués sur herbe. La surface et sa saison agonisent.
Très intéressant tout ça Antoine, je n’avais jamais remarqué pour le soleil sur le court, c’est certain que c’est un handicap majeur. C’est d’ailleurs un gros problème à gérer dans l’élaboration de court couvert de grande envergure. Il y a, dans une moindre mesure, le même problème sur la Rod Laver Arena. Pour moi, le plus beau stade de tennis du monde, mais ce léger souci avait justement perturbé, selon ses dires, Fed dans son match contre Davy. Je serais tenté de le croire, vu la manière dont il avait déroulé par la suite, une fois l’ombre parcourant tout le terrain.
Je ne suis pas certain, mais sur le Center Court de Wimbly, ce problème me parait moins important.
On voit peut-être moins souvent du soleil à Wimbly!
Ok je sors.
A Wimby, c’est le même pb, en (beaucoup ) moins grave sur un côté du court, du côté ou est replié leur saloperie en plastique..là, à Madrid, quand il fait beau, les contrastes sont particulièrement violents..
Vous avez vu en tout cas à quel point toute la partie basse des gradins, c’est à dire les box premium entre les rangées de tôle alu sont vides, alors qu’au dessus, c’est plein ? C’est frappant là, pendant que je regarde Verdasco vs Melzer ?
Les nantis dédaignent le spectacle et ne viennent pas et les gueux, en haut, s’entassent comme des sardines dans leur boite. A leur place, je ferai une descente..!
C’est le problème, scandaleux, je trouve, de beaucoup de tournois. C’est vrai que, filmé d’une certaine manière, on dirait que le stade est vide.
c’est vrai que la partie haute est bien remplie
alors que moi j’avais l’impression qu’il n’y avait personne… c’est dommage, tiriac n’en a rien à faire des joueurs comme des spectateurs
Belle réaction de Melzer qui vient de breaker !
c’est melzer qui joue bien, verdasco qui joue mal?
ou un mixte?
Les deux jouent bien, je trouve. Melzer a breaké dés le départ puis s’est fait débreaké. ensuite ça s’est inversé. Verdasco à breaké à son tour . Puis débreak de Melzer qui a sauvé quatre balles de sets à 5/4 avant de breaker blanc. Verdasco a fait un peu trop de fautes et de doubles fautes surtout en fin de set mais Melzer joue bien le coup.
Verdasco appelle le kiné ceci dit.
merci
Je sens que cela va être une brillante journée pour mes pronos..Verdasco vient de trouver le moyen de foirer trois ou quatre balles de set et étant incapable de remettre des secondes et perd neuf des dix derniers points du set. Brillant, Fernando !
Incroyable oui Antoine cette din de set pour Jurgen. Nando fait le du coup du médecin. On dire qu’il pourrait y a un style autrichien,Muster, Schwaezy, Skoff, Melzer. Du brutal.
Ça c’est du codé…
Melzer plus brutal que Vesdasco! ah bon…
Tiens, peut-être des chaussures spécial sur mesure, pour Verdasco aussi…
Incroyable on a retrouvé Joakim Nystrom, candidat au titre de joueur le plus chiant depuis 1877.
L’info du jour L’Equipe, http://www.lequipe.fr/Tennis/breves2010/20100513_145253_federer-continuera-apres-2012.html
Federer pense que ses meilleures perf sont devant lui, qu’il jouera après 2020. Merde ça me rappelle Lendl en 91 qui pensait super jouer en 93 94.
oui, en même temps, on annonce la fin du monde pour 2012…à voir
Pas bête ta réflexion. Le monde sera-t-il encore, après le retrait de Roger? On peut en douter. Je sais pas les céréales chokapic il a pris ce matin Jurgen, mais je veux les mêmes!
Superbe ce coup droit qui lui donnait le break et faisait donc 4-2 qu’il met dans le filet trois mètres devant lui en tapant alors qu’il suffisait de la pousser tranquillement de l’autre côté puisque Fernando était à 10 mètres…
T’abuse, Melzer est loin d’être une buche sur ce genre de surface, relâché et pas sifflé sur ses jeux de service, il peut-être très dangereux, je suis même près à parier sur les chocapics qu’à RG, il sera une plait pour ceux qui le joueront, attention à lui.
Le comportement de Verdasco sur ce match, est navrant
quoi qu’il a fait Nando, pour être navrant ? Je viens de rentrer,n’ai vu que le début du match
Non, rien de spécial, le mot est un peu fort, disons que j’ai l’impression sur ce match, qu’il avait un petit complexe de supériorité, pas toujours très fairplay dirons-nous, tout comme le public, mais ça, c’est pas nouveau.
J’aimais bien Nando, mais depuis quelques semaines, je trouve qu’il s’est pris le melon.
Ça ce pourrait bien…
Super Fernando, vraiment super ! Il parvient à debreaker et revient à 3-3 et perd ensuite trois jeux de suite, dont deux fois sur son service. Il n’a pas eu de pôt sur la balle de match, c’est sûr mais je crois reconnaître en Fernando une bonne partie du génie d’Henri Leconte..
Même capacité à frapper comme un sourd en faisant trois bâches de suite, même obstination à taper encore plus fort quand il est débordé, même mental de moineau..
Très bon match de Melzer cela étant…
ah quand même…:)
Verdasco commence à accuser le coup. J’ai dit qu’il serait décevant à RG car prêt trop tôt. Il va avoir une semaine de repos. On verra bien mais je ne crois pas qu’il puisse faire mieux qu’un quart.
Et si il rencontre Gasquet en quart, il ira pas en demie peut-être? Gasquet en quart de finale de RG, mrd.
c’est déjà pas mal un 1/4
une question ferrero il n’est pas là
où il a été éliminé?
Forfait
merci rien de grave j’espère…
Nadal et Isner s’apprêtent à rentrer dans les vestiaires. Sur dur, le géant américain peut poser des problèmes à l’Espagnol. Sur TB en revanche, ça devrait être une boucherie.
Le public m’énerve déjà. Tout compte fait, je crois que je ne vais pas regarder le match.
Nervous break down ?
Idem
Affligeante la réaction du public sur la balle de match qui touche le filet entre Versanscerveau et Melzer. Melzer est resté très sobre, ça ne l’a pas empêché de se faire siffler au moment de saluer le public pour sa victoire, obligé de s’excuser au lieu de lever les bras.
Le public de Bercy me serait presque plus sympathique que Madrid mais bon comme disait l’autre, la société est divisée en 2 catégories: mes cons à moi et ceux des autres que je ne supporte pas.
Très bon.
Qui a vu le match soderling-almagro?
Les spectateurs se sont bien comportés?
Ça allait, il faut dire que Almagro la petite frappe gagnait et jouait particulièrement bien (les jeux qu’il aligne pour refaire son break de retard dans le deuxième, il était on fire) et Soderling a fait un match passable, mauvais en revers, le public n’a pas vraiment joué de rôle.
Ok merci
On se croirait à un concert de Tokyo Hôtel
Tokyo quoi? (Aussi has been qu’Hervé Villard…)
Après la surprise Melzer, Nadal perd contre Isner? C’est vrai qu’elle est pas sexe cette salle de Madrid.
non, on dirait des blocs de béton style HLM vu de loin les gradins.
Ça joue en indoor, du coup??
Et c’est parti, les applaudissements sur les fautes directes adverses…
Nadal perd un rallye de fond de court, débordé, par une faute direct.
Waouh
Le second service d’Isner est vraiment monstrueux
Genre celui d’Edberg à côté il faisait tapette. Bizarre que Nadal arrive pas à le renvoyer quand même. Je le sens bien capable de garder son service John.
Autant un gars comme Isner est relou sur dur à voir, autant là le duel attaque-défense est agréable.
Très sympa de voir les nouveaux, 3 ans de moins que Rafa seulement arrivént qui jouent leur tennis. Dolpo hier, Isner là. Ca fait que 3 jeux, mais pareil, il y a match, ie l’il peut tenir son service et peut-être l’inquiéter.
en fait isner est plus âgé que rafa, il a percé tard…
J’ai l’air con alors.
L’air con, pas seulement ,t’es con.
Isner a sa chance bien sûr s’il joue bien; c’est assez rapide comme condition de jeu et rafa aura du mal à lui prendre son service..Et s’il y a tie break, c’est loterie…
en général il n’est pas top au tie break isner ce qui est surprenant d’ailleurs…
Quelqu’un peut me dire s’il se passe quelque chose entre Rochus et Gasquet? Ils n’arrêtent pas de se rencontrer. A se demander s’ils le font exprès.
ils s’aiment tout simplement
C’est bien ce que je pensais.:D
Au moins tout le monde est au courant.
Incroyable cette impuissance sur seconde balle surtout. Grosse attaque sur balle haute derrière, volée amortie, ça semble simple est imparable. Etrange l’impression comme hier que Nadal fait vieux à côté. 5/4 Johnny. Et le masseur vient pour John.
Bon break Nadal. Isner aura fait illusion presque un set.
il ne faut pas être trop dur avec isner, il s’améliore vraiment, il n’est parmi les tops que depuis un an réellement
j’ai remarqué qu’il avait souvent du mal à terminer ses sets