La quête du Graal

By  | 16 novembre 2012 | Filed under: Actualité

Nous y voilà, une nouvelle année de tennis est sur le point de prendre fin. Pour beaucoup d’entre nous, le Masters clôt la saison 2012. Certainement que certains dresseront le bilan avec son lot de surprises, bonnes ou mauvaises… enfin je suppose !

Mais ce n’est pas tout à fait juste. En fait, comme de coutume, les toutes dernières joutes qui se jouent sur un court de tennis auront pour objectif d’arracher le dernier gros lot disponible. C’est-à-dire la Coupe Davis.

Deux nations restent en piste pour mettre le grappin sur ce trophée tant convoité. A la fois pour le poids historique que représente cette compétition, mais aussi pour une fois avoir la possibilité de s’appuyer sur des alliés et gagner pour sa patrie. Après s’être battu toute une année pour soi, il est temps de se la jouer à l’unisson. Quelle sera l’équipe la plus acérée, la plus motivée, la plus opportuniste ?

Que peut espérer la République Tchèque ?

D’abord ses atouts : elle reçoit l’équipe d’Espagne, donc ne jouera pas en terre hostile. Les Tchèques auront effectivement le choix de la surface, et être « à la maison », quoi qu’on en dise, démultiplie les forces. Car de forces ils en auront besoin… A défaut d’être nombreux, ils auront ce minuscule petit truc en plus, qui parfois peut faire un tout, le public.

Rappelons s’il en est besoin que l’équipe de la République Tchèque est composée de deux joueurs, les autres ne faisant office que de faire-valoir. Leur adversaire au contraire est l’une des plus grandes nations de ces dernières années, dressée tel un mur infranchissable pour les empêcher d’atteindre la Coupe. Pour preuve, se présente à eux cette équipe ibérique qui a trustée la Coupe Davis à cinq reprises depuis le début du XXIe siècle (2000, 2004, 2008, 2009 et 2011). Pendant cette période de quasi cannibalisme, seule la Russie a réussi à soulever la Coupe par deux fois. Pour les autres années, cinq nations différentes ont ramené la Coupe à la maison (France, Australie, Croatie, USA, Serbie).

A la fois hospitaliers et outsiders, les joueurs de la République Tchèque sont on le disait avant tout une paire de joueurs. L’ainé, Radek Stepanek, une espèce en voie de disparition de par son tennis flamboyant et ses mimiques non moins spectaculaires, et son cadet Tomas Berdych qui, à défaut de rassembler la foule lorsqu’il joue en solo, prend de l’ampleur lors de cette compétition. Le reste de l’équipe reste anecdotique puisque les Rosol, Hajek et autres Dlouhy sont déjà bien contents quand on leur offre une cape par le biais d’un « dead rubber ».

« L’Armada » espagnole est de son côté privée de sa star, pour des raisons plus ou moins obscures selon que l’on se trouve d’un côté ou de l’autre du filet… Peu importe. Les Ferrer, Almagro, Lopez (Feli et Marc), Granollers et Ferrero, tous crédités de matchs à enjeux victorieux cette année, sont bien capables – ils l’ont démontré ces dernières années – de remporter ce trophée comme des grands.

Pour certains, quelle que soit leur identité, cette finale sera aussi le moyen de remporter un titre important à défaut de pouvoir en gagner un en simple (mentions à Radek Stepanek qui ne fait plus le ver que pour ça, et à F-Lopez, aka l’homme qui a gagné plus de Coupes Davis que de titres ATP).

Pour ma part, je supporterai le duo tchèque, pour l’ensemble du devoir accompli à la nation. Remporter la Coupe à la maison serait pour eux un immense exploit. Rien que pour s’être farcis et avoir dominé l’une des plus grandes nations dans cette compétition devant leur public chauffé à blanc. Peut-être même qu’un certain Ivan rentrerait au pays qui sait.

Ce serait un véritable accomplissement pour ces deux joueurs qui, depuis plusieurs années, portent à eux deux et à bout de bras cette équipe tchèque, avec déjà de très bons résultats : finalistes de l’épreuve en 2009 – battus par l’Espagne à Barcelone -, encore demi-finalistes en 2010. Lorsque l’on compare à certains contingents (Espagne, USA, Serbie, même France), l’exploit est déjà de taille.

Qui a dit dès lors qu’une équipe composée uniquement de deux têtes d’affiche ne pouvait pas briller dans cette compétition ? Remember aussi Ancic / Ljubicic en 2005… Contrairement à ce que l’on dit, la paire suisse aurait pu faire beaucoup mieux ces dernières années… Enfin, revenons à nos moutons. D’abord Tomas Berdych et Radek Stepanek forment un super binôme, le bouillonnant Don Juan uni à son glacial compatriote, cela ne pouvait faire qu’un mélange explosif, l’un étant le parfait corollaire de l’autre.

La rencontre est-elle si déséquilibrée de par la composition de l’équipe ? Que nenni : le grand Tomas et le tombeur de ces dames Radek sont tout à fait capables d’amener les trois points nécessaires pour terrasser l’ennemi du week-end. Ils ont déjà atteint la finale à eux deux, ne reste plus qu’une dernière marche à gravir. Le match décisif sera de facto le double.

C’est l’année ou jamais pour eux, notre mérou adoré n’est plus tout jeune et a connu ces derniers temps quelques soucis physiques. Vainqueur de l’Open d’Australie en double en janvier, il a participé au Masters avec l’Indien Leander Paes, tandis que le moins souriant des deux y était quant à lui engagé parmi les 8 qualifiés en simple. A l’heure où j’écris ces lignes, ils peuvent d’ores et déjà se reposer avant de se préparer en vue d’être fins prêts pour le grand jour. Oups ! Ferrer aussi.

J’imagine assez aisément que des ingénieurs experts en granulométrie sont en train de mettre au point la surface, qui devrait être plus proche d’une patinoire que d’une arène. Il faut bien se donner tous les moyens existants, à défaut de pouvoir faire jouer Ferrer avec une main attachée dans le dos.

Côté espagnol, il ne faudra pas s’attendre à un quelconque complexe de supériorité. Ils seront fidèles à ce qu’ils nous ont habitué, prendront cette rencontre très au sérieux, ne sachant pas sous-estimer l’adversaire, quel qu’il soit. Ils donneront tout ce qu’ils peuvent sur le court. Ils aiment jouer pour leur pays, les joueurs sont proches les uns les autres et le leitmotiv  « Un pour tous, tous pour un », leur va comme un gant. Et ce même si l’effectif a pas mal changé par rapport aux campagnes précédentes : exit Albert Costa sur le banc, remplacé par Alex Corretja. Et des choix forts de la part du nouveau capitaine : exit Verdasco, le héros de Mar del Plata. Bienvenue Almagro, choyé par le vainqueur du Masters 1998, et récompensé en retour par les victoires du Murcian sur Golubev, Melzer et Isner cette année. Exit aussi Feliciano Lopez des titulaires, bienvenue à Granollers – Marc Lopez en double. L’air de rien, une page s’est tournée dans cette équipe aussi.

La balle est maintenant dans le camp de la République tchèque.

La République tchèque comme l’Argentine ?

En 2008, on se souvient que l’Argentine recevait déjà cette équipe espagnole. Que leur numéro un était déjà en convalescence. Que del Potro venait de participer pour la première fois au Masters. Que David Nalbandian fasait de ce tournoi SON objectif annuel, peut-être trop d’ailleurs, mais ce n’est pas le sujet. Que l’Argentine bénéficiait de très bons joueurs comme Monaco, que Schwank est un bon joueur de double.  Qu’ils étaient à domicile, qu’ils avaient choisi la surface et pourtant… Oui, ce jour de finale devait couronner enfin cette grande nation du tennis qui a toujours été privée de Coupe Davis, mais la victoire s’est encore refusée à eux.

Ont-ils pêché par orgueil ? Peut-être. On se souvient que del Potro ne s’est pas ménagé lors du Masters… suivi d’un contentieux avec Nalbandian à Mar del Plata.

Ont-ils sous-estimé l’équipe d’Espagne car privée de son leader, car la surface n’était pas faite pour les avantager? Probable.

Ou est-ce tout simplement cette équipe ibérique et des Lopez – Verdasco métamorphosés en héros le temps d’un week-end qui, arrivés tels des conquistadores en terre hostile, ont privé encore une fois l’Argentine de ce trophée tant convoité ?

Si la République Tchèque devait l’emporter, ce serait vraiment une victoire épique comme je les aime, en espérant qu’elle ne sera pas matée comme l’a été l’Argentine en 2008.

 En route vers la finale : Parcours des deux finalistes en 2012

1er tour :             Espagne / Kazakhstan : 5/0                               République Tchèque / Italie : 4/1

les quarts :         Espagne / Autriche : 4/1                                     République Tchèque / Serbie : 4/1

 les demies :       Espagne / USA : 3/1                                            République Tchèque / Argentine : 3/2

Finale (pronostic) : République Tchèque / Espagne : 3/2

Il faut noter qu’il s’agit déjà d’un mini-exploit des Tchèques que d’avoir sorti la Serbie. Sans Djokovic il est vrai, mais cela reste une belle performance, surtout qu’Italie et Argentine alignent également des effectifs plus fournis que la Tchéquie.

Vont-ils réussir le doublé ?

Kvitova, Safarova, Hradecka, Hlavackova. Une grande joueuse de simple, une seconde qui se transcende le jour J, et une paire de double qualité. Comme en 2011, la République Tchèque a remporté il y a quelques jours la Fed Cup, grâce notamment à une grande Lucie Safarova, l’ancienne fiancée de Tomas Berdych apportant le point décisif face à Jankovic. De quoi inspirer les garçons pour un sensationnel doublé Fed Cup – Coupe Davis ?

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436 Responses to La quête du Graal

  1. Sylvie 18 novembre 2012 at 11:06

    Je rage de ne pas pouvoir voir le simple entre Ferrer et Berdych car je pense qu’il y aura une grande tension sur ce match et que cela peut donner quelque chose d’intéressant. D’ailleurs leurs jeux doivent bien se marier. Ferrer mène 5/3 dans leurs confrontations, cela ne m’étonne pas et il faudra un exploit de Berdych pour s’imposer.

  2. Antoine 18 novembre 2012 at 11:48

    bwin a modifié ses cotes depuis hier soir et donne désormais les mêmes pour les deux simples:

    1,5 pour Ferrer et Almagro, 2,3 pour Berdych et Stepanek, soit une probabilité de victoire de 60,5% pour chacun des Espagnols.

    Ils cotent également à nouveau la rencontre, et là, cela donne 1,53 pour la Tchéquie et 2,35 pour l’Espagne, soit une probabilité de victoire de la Tchéquie pratiquement égale à 60%….

    On peut en déduire que si les Tchèques avaient perdu le double au cours d’un match dont le résulat aurait été inversé, la probabilité de victoire de la Tchéquie ne serait que de 15,6%, soit un peu moins d’une chance sur six, au lieu de 60%.

    Gagner le double était vraiment crucial pour les Tchèques: cela a multiplié leur chance de victoire par presque quatre….

    Cela étant, ils ne seraient pas les premiers à perdre la rencontre après avoir mené 2-1..La bonne nouvelle pour eux est que l’Espagne n’a pas gagné une rencontre après avoir été mené 2-1 depuis 2005 et c’était contre l’Italie…

    • Sylvie 18 novembre 2012 at 11:55

      Ce n’est pas contradictoire ? Si Ferrer et Almagro ont tous les deux 60% de chances de l’emporter comment la République Tchèque peut devenir favorite des pronos ?

      • Antoine 18 novembre 2012 at 11:59

        ..parce qu’ils mènent 2-1 Sylvie…

        Les Espagnols ont 60,5% de chances de gagner chaque match, la probabilité de gagner les deux est donc de 0,605 x 0,605= 0,366, soit 36,6%…Il y a un léger écart avec la probabilité qui découle des cotes de la victoire de l’Equipe, mais c’est du à leur politique commerciale.

        Si Berdych perd, les Espagnols redeviennent favoris: la probabilité de victoire de leur équipe devient égale à celle qu’Almagro gagne son match, soit un peu plus de 60%…

  3. Antoine 18 novembre 2012 at 12:23

    …Ce que je trouve regrettable pour les Tchèques, c’est d’avoir décidé de jouer si tôt: ils pouvaient parfaitement démarrer les rencontres d’aujourd’hui plus tard que 13h. Cela découle certainement des contrats avec les TV mais sachant il y a longtemps qu’ils feraient jouer Berdych et Stepanek tant en simple qu’en double, ils auraient pu imposer d’autres horaires, quitte à perdre un peu d’argent….Deux heures de récupération en plus ne pouvait pas faire de mal à Berdych, ni au Mérou…

  4. Colin 18 novembre 2012 at 12:30

    @Guillaume : tu as tout à fait raison, BERDYCH (can) MAKE HISTORY
    S’il remporte son simple face à Ferrer tout à l’heure, le riant Tomas égalera le record de Borg datant de 1975, avec 8 points apportés à son équipe (6 victoires en simple, 4 victoires en double) tout en restant invaincu en simple décisif. S’il perd contre Ferrer mais que Stepanek apporte le point décisif à la Tchèquie, Berdych sera alors, avec 7 points apportés, 2ème ex-aequo parmi tous ceux qui ont gagné la CD en perdant 1 seul simple décisif, loin derrière Ljubicic 2005 (9 points!) mais à égalité avec des gens bien tels que Stan Smith 72, McEnroe 81 et Safin 2002.

    « Ferrer quant à lui n’a plus perdu en DC depuis Clermont-Ferrand en 2010, contre Gaël Monfils. Et avant ça c’est Nalbandian à Mar del Plata. Chaud devant ! » As-tu remarqué le fait troublant suivant : ces deux défaites sont intervenues alors que Nadal était absent. Au contraire, quand Nadal est là, Ferrer gagne en CD (exemple marquant: sa victoire face à Djokovic, en 3 sets secs, au 1er tour 2009). La nouveauté en 2012, c’est que Ferrer se met dorénavant à gagner même quand Nadal n’est pas là. D’ailleurs comme par hasard Ferrer a fait un deuxième semestre 2012 qui est tout simplement le meilleur de sa carrière, comme si (enfin!) il assumait d’être le leader espagnol. C’est l’une des raisons pour lesquelles je le place favori cet après-midi face à Berdych. L’autre raison est que je l’ai vu jouer face à Del Potro à Londres et je vois mal Berdych faire bcp mieux que la Tour de Tandil. Dernière chose : si Ferrer gagne contre Berdych puis que Almagro en fait de même face à Stepanek, alors Ferrer finira la campagne 2012 avec 6 pts et 0 défaite en simple décisif, ce qui le placera au 9ème rang (ex-aequo avec Roddick 2007 et Becker 1988), et 1er espagnol.

    @Antoine : c’est vrai que ce n’étaient pas les 3 matches les + difficiles à pronostiquer, m’enfin d’aucuns ici pensaient que Stepanek allait gêner Ferrer et que les récents vainqueurs du Masters de Londres en double étaient favoris face à Berdych/Stepanek… En fait, la logique a été respectée (comme lors du dernier Masters (en simple) où 14 des 15 matches joués ont été remportés par le mieux classé des deux joueurs).

    • Antoine 18 novembre 2012 at 12:39

      BERDYCH = BORG ??

      Je trouve qu’il y a un problème avec cette comptabilisation qui ne dépend pas seulement du joueur mais aussi des défaillances de son équipier ou des perfs des joueurs d’en face…

      Supposons qu’une équipe gagne ses quatre rencontres par 3-0. Le joueur qui a disputé et gagné tous ses simples et tous ses doubles ne peut marquer que 6 points. Pour qu’il en marque plus, il faut qu’il rejoue le dimanche et donc que son équipier ait perdu le vendredi. Au mieux, si cela se passe à chaque fois, il peut gagner 8 simples et 4 doubles, soit 10 points dans ta comptabilisation ou tu prends un match de double pour un demi point…

      Ce qui me parait compter n’est pas le nombre de points, mais le nombre de défaites: 0, 1, 2 etc…

      Berdych n’a pour l’instant pas perdu un match, c’est cela qui importe…

      Autre chose: c’est beaucoup plus facile à un numéro un de gagner des points qu’au numéro deux puisque le numéro un joue le vendredi contre le numéro deux d’en face tandis que le numéro deux doit affronter le joueur le plus fort de l’équipe adverse…C’est pourquoi il ne serait pas illlogique de faire deux classements différents: pour les numéro un et pour les numéro deux…

      • Antoine 18 novembre 2012 at 13:01

        Quand à Ferrer, Colin, il a toujours bien joué en Coupe Davis et je ne pense pas que le fait que Nadal ne soit pas là ait changé quoi que ce soit pour lui, sinon le fait qu’il ait plus de pression en tant que numéro un. Soit. Mais en tant que numéro un, la plupart des victoires de Ferrer ont été acquises le vendredi et elles sont plus faciles à engranger qu’en tant que nuémro deux…

        Cette année, la rencontre était acquise dès le samedi contre les kazakhs qui sont loin d’être des terreurs. Ferrer a du gagner le dimanche contre Melzer, mais un Melzer bien entamé par son simple du vendredi et le double du samedi. Le vendredi, la rencontre était quasi-pliée car cela faisait 2-0 pour les Espagnols. Enfin, il a battu Isner le dimanche, mais Isner était très largement cuit suite à son match de vendredi qu’il avait perdu au finish…. Il a fait le boulôt, mais ce n’est pas non plus l’exploit du siècle. Là, sa chance est encore d’avoir affaire à un Berdych qui doit sans doute gagner vite ou perdre….

        Je ne veux pas déprécier ses résultats mais je ne vois pas de différence entre le Ferrer des autres années et celui là en CD..Il est toujours très difficile à battre.

    • Colin 18 novembre 2012 at 12:54

      Antoine, il s’agit d’un classement qui, par définition, place à sa tête les joueurs n°1 des équipes les plus déséquilibrées (d’ailleurs la première fois que j’ai présenté ce classement c’était dans un article qui s’appelait « Les plus belles chevauchées solitaires de la Coupe Davis »). Les équipes équilibrées, celles où le n°2 prend toute sa place, font automatiquement baisser le score du n°1. Et n’apparaissent dans ce classement que ceux qui n’ont perdu aucun simple décisif. Je tiens à jour un autre classement pour ceux qui ont perdu un seul simple décisif (c’est Ljubicic qui est de très loin le premier sur ce classement).

      Le meilleur n°2 de l’histoire du Groupe Mondial de la Coupe Davis est français : c’était Nicolas Escudé en 2001, il a apporté à la France bcp plus de points (5) que les deux joueurs qui se sont succédé au poste de n°1, à savoir Arnaud Clément (3 pts) et Sébastien Grosjean (1 pt).

      • Antoine 18 novembre 2012 at 13:04

        OK…C’est faramineux ce qu’a fait Escudé en 2001..Il faut lui ériger une statue..Après lui, il y a qui ?

        Concernant Ferrer, je trouve plus intéressant de remarquer que les 3 matchs qu’il a perdus en CD étaient tous en indoor sur dur ou moquette pour l’un d’entre eux (Voltchkov en 2006). Je ne compte pas la quatrième qui comptait pour du beurre (en 2007 contre Chuidinelli). Il faut dire que sur terre, c’est bien simple, il n’a jamais perdu un match, une sorte de Nadal de la CD…

      • Colin 18 novembre 2012 at 14:46

        Le deuxième des n°2, c’était Sundstrom en 1984 avec 4 pts.

        Il y a aussi un cas un peu bâtard, c’est celui d’Agassi en 1992 (5 pts), dont on ne sait pas trop s’il était le n°1 ou le n°2 américain… En tous cas il est le seul joueur US à avoir toujours été sélectionné en simple cette année là, les deux premières rencontres aux côtés de Sampras, les deux dernières aux côtés de Courier.

        Autre chose : la règle selon laquelle les n°1 rencontrent les n°2 le vendredi est (relativement) récente, elle n’existait pas encore par exemple en 1982, où Noah et BigMac s’étaient rencontrés le vendredi.

        • Antoine 18 novembre 2012 at 14:51

          Oui et jusqu’à il y a peu, c’est le capitaine qui décidait qui était n°1 et pas le classement ATP, un changement très regrettable à mon avis….

  5. Antoine 18 novembre 2012 at 13:31

    …Il a des cernes pas possible Berdych..On dirait qu’il n’a pas dormi de la nuit…3-1 David..Il faut absolument que Berdych tape pas mal de revers long de ligne, quitte à rater, car sinon David va se décaler en permanence et l’étirer sur le revers en le fatiguant en peu plus à chque fois…

    • Damien 18 novembre 2012 at 13:49

      En tout cas, Ferrer s’adapte à merveille à cette surface jugée défavorable à son jeu. Il a mis notamment un revers long de ligne qui a totalement surpris Berdych, que n’aurait pas renié Djoko.

  6. Antoine 18 novembre 2012 at 13:47

    Ferrer sauve trois balles de debreak, la deuxième sur un superbe revers long de ligne…On voit bien néanmoins que le seul moyen pour Berdych de le déstabiliser est de frapper long de ligne en revers, surtout si Ferrer était de ce côté là au coup d’avant et qu’il est pris à contre pied..Il faut vraiment que Berdych insiste là dessus. Il a l’air de comprendre : il en a fait deux dans ce jeu…

  7. MarieJo 18 novembre 2012 at 14:02

    bon ben ferrer est en mode « je ne rate rien » ! premier set pour l’espagne logique !

    berdych a tout intérêt a servir bcp mieux et trouver un moyen de finir rapidement les points, la filière longue de ferrer c’est du suicide pour lui !

    • Antoine 18 novembre 2012 at 14:04

      ..mais si il rate: 11 fautes directes dans ce premier set contre 9 pour Berdych…ce n’est pas à cause de ses fautes directes que Berdych perd..C’est qu’il ne fait pas assez de points gagnants: 7 contre 16..

  8. Antoine 18 novembre 2012 at 14:02

    Et rebreak et set 6-2 Ferrer….Berdych qui tape comme une brute dans un court vide et qui sort la balle pour lui filer une deuxième balle de set…

    Berdych n’est pas meilleur que contre Almagro et Ferrer lui, sans être super bon, est très solide. Tandis que Ferrer gagne 80% des points sur sa première balle, Berdych lui n’est que juste au dessu de 50%, au même ratio qu’en secondes d’ailleurs, au même ratio que david en secondes aussi, ce qui est normal…Il faut donc qu’il change sa façon de servir en première…

    Il faut aussi qu’il joue beaucoup plus sur le coup droit de David avec son revers. Bref, pas mal de choses à changer…

    • Bapt 18 novembre 2012 at 14:15

      « changer » ? Pour Berdych ? Je n’ai jamais vu un joueur aussi peu souple et tactique… 

      • Antoine 18 novembre 2012 at 14:48

        C’est bien cela le problème. C’est la limite du personnage. Il est incapable de changer quoi que ce soit….

  9. Antoine 18 novembre 2012 at 14:09

    Très bien joué David dans ce début de deuxième parce que Berdych fait lui même plus de points gagnants maintenant: 2-0 David..

    • Antoine 18 novembre 2012 at 14:11

      3-0 sur un jeu blanc. Cela fait 5 jeux de suite pour David. Il est temps que Berdych se réveille sinon, cela va défiler vite…Là, David ne fait plus une faute directe depuis le début de ce deuxième set.

  10. Bapt 18 novembre 2012 at 14:21

    Qu’est-ce qu’il joue mal Berdych… Menant 0/30 sur le service de Ferrer, il a tranquillement laissé Ferrer revenir et valider son jeu sans forcer… 

  11. MacArthur 18 novembre 2012 at 14:22

    J’aime bien Ferrer mais je n’aime pas la tournure que prennent les évènements.

  12. MacArthur 18 novembre 2012 at 14:29

    Je n’avais jamais vu Tomas aussi désemparé sur un court. Même quand il est surclassé par Novak.

  13. Antoine 18 novembre 2012 at 14:46

    6-2 6-3…

    Cela se présente mal pour Berdych…Il a beau avoir passé 73% de premières dans ce set, cela a à peine mieux marché qu’au premier. Il faut dire que Ferrer joue de mieux en mieux, seulement 6 fautes directes dans ce set (contre 11). Là ou il s’est bien amélioré ces derniers temps, c’est au service et à la volée. Il a d’ailleurs marqué un ace de plus que Berdych jusque là (7 à 6). Et au filet, il est à 10 sur 11..

    Quand à Berdych, je veux bien comprendre qu’il soit fatigué, mais il n’a visiblement aucun plan de jeu et c’est Ferrer qui impose son shéma de jeu sans problème: toiurner autour de son revers. Berdych n’essaie pas de le sortir du court côté coup droit, ni en servant extérieur côté égalité, ni dans le jeu. Il essaie de taper fort dans l’axe la plupart du temps et se fait rapidemment enfermer dans la diagonale coup droit Ferrer vs revers berdych. Evidemment, cela ne marche pas très bien…

  14. Antoine 18 novembre 2012 at 14:55

    ..Et pour une fois que Berdych essaie de le sortir du court en servant sur son coup droit, il se prend un retour gagnant et cela fait break ! Ferrer s’y attendait visiblement…

  15. MarieJo 18 novembre 2012 at 14:56

    berdych est soulé de coups par ferrer : 33 coups gagnants dont 20 en coup droit…

  16. MacArthur 18 novembre 2012 at 15:00

    Mon commentateur vient d’apprécier à sa juste valeur le son de la balle de Berdych. C’est déjà ça. Mais pas suffisant pour battre Ferrer.

  17. Antoine 18 novembre 2012 at 15:07

    c’est quand même dingue de voir que Ferrer fait tout le jeu. Lui a compris que sur surface rapide, il faut quand même essayer de faire les points plutot que de ne pas faire de fautes. D’ailleurs il a fait plus de fautes directes que Berdych (23-21 à 3-2 dans ce troisème set), mais beaucoup plus de points gagnants: 34 contre 22…et provoque beaucoup plus de fautes adverses: 13 seulement pour lui contre 24 pour Berdych…Ce dernier ne fait donc à peu près rien et subit le jeu…

  18. MarieJo 18 novembre 2012 at 15:19

    BP pour berdych ça faisait longtemps ! un sursis pour le tchèque qui revient à 4-4 !

  19. Antoine 18 novembre 2012 at 15:20

    ..Un debreak chanceux mais qui ne va rien changer.

  20. Antoine 18 novembre 2012 at 15:24

    Bon Ferrer avait besoin de souffler un peu et a fait plus de fautes dans ce troisème set: 13 à 8…Un répit pour Berdych. Il peut même gagner ce set. cela ne changera rien. Il est fatigué et frappe la balle avec un temps de retard sur chaque frappe et n’arrive presque jamais à déborder Ferrer sans prendre un gros risque…

  21. Bapt 18 novembre 2012 at 15:32

    C’est quasiment fini. Quel joueur inintéressant que ce Berdych. Le pire c’est qu’il a une grande gueule et la ramène de manière très méprisante sur d’autres… 

    • MacArthur 18 novembre 2012 at 15:41

      C’est Alamgro qui devrait être en train de rigoler à l’heure actuelle. Il doit être en train de se dire qu’ »il manque à Berdych ce petit quelque chose qui font les grands joueurs ».

      • Antoine 18 novembre 2012 at 15:43

        Ce qui manque à Berdych, c’est un cerveau pour commencer…

        • MacArthur 18 novembre 2012 at 15:48

          Je ne te le fais pas dire. On nous apprend à l’école de tennis à toujours jouer son jeu certes. Mais le tennis se joue surtout à deux. Et il faut pouvoir changer de tactique quand celle mise en place face à un adversaire n’a pas fait ses preuves au bout d’un set.

        • Quentin 18 novembre 2012 at 15:50

          Je vois que nous nous rejoignons MacArthur. Cela dit il n’y a pas de honte à perdre contre ce Ferrer là. C’est plus la manière qui pose problème.

          • MacArthur 18 novembre 2012 at 15:58

            En effet Quentin, c’est la manière que Berdych devrait avoir du mal à digérer pendant longtemps.

      • Quentin 18 novembre 2012 at 15:48

        C’est un peu pour ça que je considère Berdych comme une brute: une technique très propre, très fluide et très esthétique, mais une incapacité à faire évoluer son plan de jeu selon son adversaire ou selon le déroulement du match, et une nullité affligeante au filet.

        • MacArthur 18 novembre 2012 at 16:03

          Tu sais, je suis encore indulgent avec lui concernant ses limites au filet: sa carcasse et patati patata. Mais son incapacité à changer de tactique est vraiment problématique. Est-ce un peu de l’arrogance aussi? Genre, je suis capable de te détruire avec mon jeu et tu le verras d’ici la fin du match? Je me pose la question.

  22. Antoine 18 novembre 2012 at 15:34

    ..ET voilà, rebreak de Ferrer qui va servir pour le match…grace en particulier à cette demie volée de rêve que Berdych a mis dans le filet sans se baisser le moins du monde pour la prendre…Il est à 8/20 au filet…

  23. Antoine 18 novembre 2012 at 15:39

    6-3 6-2 7-5 soit 10 jeux, un de moins que le Mérou vendredi…

    J’ai eu tort de faire confiance à Berdych hier soir. J’aurais mieux fait de suivre mes penchants naturels. Il n’est pas capable d’être à la hauteur. Ferrer a été impeccable, lui, et mérite dix fois de gagner ce match: il a fait le jeu, fait peu de fautes et a été très bon tout le temps.

  24. MarieJo 18 novembre 2012 at 15:40

    et voilà la défaite la plus amère jamais infligée à berdych…

    on ne sait pas encore si radek va jouer mais aucun autre tchèque ne sera en mesure de battre almagro sauf si celui ci oublie sa tête et son tennis !

    • Antoine 18 novembre 2012 at 15:42

      Si, il y a Rosol s’il refait une Rosol…

      • MacArthur 18 novembre 2012 at 15:51

        Malheureusement, il y a très peu de chances de faire deux rosols dans une même année…

    • MacArthur 18 novembre 2012 at 15:44

      Je peux te dire que cette défaite va lui faire très mal. Plus que la défaite en elle-même, c’est la manière dont Ferrer l’a surclassé qui est impressionnante. Il a pris le jeu à son compte l’Espagnol.

    • MarieJo 18 novembre 2012 at 16:04

      les tchèques auraient du envoyer rosol au casse pipe vendredi pour que radek soit frais encore aujourd’hui… mais ils vont s’en mordre les doigts…

      pour ce qui est de berdych, il avait peu de jus et il a été surclassé dans tous les compartiments du jeu : service, retour, couverture de terrain, et même volée, par un ferrer atomique !

  25. Quentin 18 novembre 2012 at 15:42

    Bravo David!
    Avec ses deux succès cette semaine, David Ferrer devient le joueur qui a remporté le plus de matchs sur le circuit cette saison: 76 victoires pour 15 défaite en 2012, dépassant Novak Djokovic et ses 75 victoires pour 12 défaites.
    Et tout cela à 30 ans!
    2-2 entre l’Espagne et la République Tchèque désormais dans cette finale, Almagro favori face à Stepanek, l’espagnol peut d’ailleurs profiter de l’occasion pour rentrer dans le top 10 du classement ATP en offrant une sixième Coupe Davis à l’Espagne, et ainsi dépassr Richie.

  26. Antoine 18 novembre 2012 at 15:50

    On va vite voir si le Mérou est aussi à plat que Berdych ou s’il parvient à jouer correctement et à embrouiller Almagro, à faire du match un truc anormal…

    Celui qui a le plus de pression maintenant est Almagro puisqu’il est favori. 5ème match, tout est possible, y compris le pire pour lui…Maintenant s’il joue comme vendredi, il gagnera sans problème…

    S’il gagne, cela montrera aussi que c’est quand même très difficile de gagner la Coupe davis avec seulement deux joueurs. Almagro avait bien prépéré le terrain vendredi pour Ferrer aujourd’hui…et les deux compères ont aussi laissé des forces hier…

    • MacArthur 18 novembre 2012 at 15:56

      Almagro avec son mental en carton est capable du meilleur comme du pire en effet. Si les Espagnols arrivent à montrer qu’il peut s’avérer difficile de gagner la CD avec seulement deux joueurs, on retiendra que les Tchèques ont prouvé qu’il est possible de parvenir en finale avec seulement deux joueurs, non? A ce stade de la compétition, la victoire peut aller dans un camp comme dans un autre. la preuve, beaucoup disaient que les deux matchs d’aujourd’hui étaient les plus indécis.

  27. Bapt 18 novembre 2012 at 15:58

    En tous cas, les Tchèques pourront cogiter sur la vitesse de leur surface. Plutôt que d’opter pour une surface moyennement rapide (un peu plus que celle de Bercy mais pas tant que ça), il fallait choisir une surface très rapide. Dans ce cas, le vieux Mérou aurait eu ses chances contre Almagro.

    • MacArthur 18 novembre 2012 at 16:07

      Bapt, il faut choisir une surface qui vous avantage le plus et non celle qui dessert le plus l’adversaire. Ce genre de surface avantage plus Berdych qui a aussi un peu plus de temps pour armer son coup droit. Ils n’allaient quand même pas choisir une surface sur laquelle le leader de l’équipe ne peut pas exprimer son plein potentiel…

      • Bapt 18 novembre 2012 at 16:18

        C’est une objection à laquelle j’avais pensé. Je ne pense pas que face à Ferrer, Berdych ait été si avantagé par la surface choisie. Ferrer a montré qu’il pouvait tout à fait bien jouer sur une surface moyennement rapide. Résultat : il a collé 3 sets 0 à Berdych.
        Quant à Almagro, son sort était quasiment réglé face à Berdych dans tous les cas.
        Le seul qui aurait pu devenir très dangereux en adoptant une certaine surface, c’est le Mérou. Dernier Mohican serveur volleyeur avec Llodra… 

    • Antoine 18 novembre 2012 at 16:07

      Oui, surtout parce qu’il aurait passé moins de temps sur le court avant aujourd’hui….Mais à Shangaï, sur un dur relativement lent, il a été très bon…

  28. Antoine 18 novembre 2012 at 16:06

    Le Mérou est le joueur idéal pour ce cinquième match, le plus à même de faire pêter les plombs à Almagro. Reste à savoir s’il a assez de jus: 3h vendredi, 3h20 hier…

  29. Antoine 18 novembre 2012 at 16:15

    Voilà ce que j’écrivais avant le début de la rencontre:

    « Si cinquième match il y a, ce sera donc le Mérou contre soit Almagro, soit Granollers.

    Très franchement, j’aimerais mieux être à la place du Mérou que dans celle des Espagnols, tous les deux mieux classés que lui, tous les deux plus jeunes et plus frais puisqu’ils auront joué un match de moins que lui et qui n’auront donc pas beaucoup d’excuses s’ils perdent…Du moins sur le papier…

    Parce que dans ces circonstances là, il n’est pas mauvais du tout le vieux Mérou: certes il a perdu en 2010 contre Tispsy en 1/2 le troisième jour permettant à la Serbie de se qualifier pour la finale, mais c’était à Belgrade, sur la surface qui convenait le mieux aux Serbes et Tipsy avait été le héros de la rencontre. Mais l’année précédente, le Mérou avait apporté le point décisif contre Monaco en 1/4 et, lors de la rencontre précédente, contre Gilou. En 2007, il avait fait pareil contre Stan, précipitant la déroute de la Suisse..et avant il faut remonter à 2004 pour le voir perdre le troisème jour, mais c’était contre Nadal en Espagne et en 2003 contre Davy a qui il avait résisté jusqu’au cinquième set où il s’était alors effondré (une bulle)…

    Bref, ce n’est pas un client facile un cinquième jour. Il a beaucoup d’expérience et, à moins qu’il ne soit épuisé par son simple et son double aujourd’hui et demain, je le donnerais favori contre Granollers qui est bien sympathique mais qui n’a jamais joué un match de simple qui comptait pour autre chose que du beurre (un seul match en tout et pour tout, contre Golubev alors que la rencontre était déjà gagnée par l’Espagne)…Alors un cinquième match dans une finale de Coupe Davis, je ne le sens pas bien pour lui….

    ..quand à Almagro, il n’a jamais joué un match décisif le troisième jour non plus et ses petits nerfs sont réputés pour leur fragilité. Il a beau être bien mieux classé que le Mérou, compte tenu du fait qu’une surface très rapide nivelle les différences, et de son inexpérience de la chose, je le vois bien tomber lui aussi dans le traquenard que le Mérou prépare depuis plus de deux mois maintenant… »

    Depuis, la surface s’est révélée être nettement plus lente et le Mérou moins bon que ce à quoi je m’attendais, du moins vendredi….et Almagro meilleur que prévu…

  30. Skvorecky 18 novembre 2012 at 16:18

    Quelqu’un pense que Stepanek va battre Almagro? L’espagnol a parlé à la télé et avait l’air calme et confiant. Je me demande même si le Tchèque va gagner un set.

    • Bapt 18 novembre 2012 at 16:28

      Il a quand même fait deux double fautes lors de son premier jeu de service, Almagro. ll ne doit pas être si serein… 

    • Skvorecky 18 novembre 2012 at 16:33

      C’est vrai, mais jouer avec coaching va lui faire du bien.

      Pour l’instant, les trois premiers jeux sont serrés.

      • Bapt 18 novembre 2012 at 16:41

        C’est effectivement typiquement le type de joueur qui profite beaucoup du coaching…

  31. Alexis 18 novembre 2012 at 16:18

    Hello tout le monde!
    Merci pour l’article May,
    tu te faisais bien trop rare
    mais tu reviens en fanfare!

    Je me réjouis de ce match :
    - jeux tous les deux très agréables
    - enjeu
    - possibilité en cas de victoire tchèque de voir une worm-dance
    Seul reste un problème d’ordre purement visuel :
    - la dégaine de Radek
    - et franchement vous avez pas l’impression que le flocage « espana » de Almagro est un pauvre autocollant trouvé dans T’choupi?

  32. MarieJo 18 novembre 2012 at 16:24

    je suis morte de rire, roger qui parle brésilien ! LOL

    • Quentin 18 novembre 2012 at 16:35

      Excellent :lol: !

    • MacArthur 18 novembre 2012 at 16:55

      Trop drôle!

  33. MarieJo 18 novembre 2012 at 16:30

    je crois que j’ai oublié de remercier may pour cette présentation de finale historique !

    2-2 et radek/almagro pour le titre, ça valait son pesant de cacahuètes comme prono au début de cette camapagne !

    si radek embrouille nico, je doute qu’il puisse le faire sur la durée d’un 5 sets…
    que le meilleur gagne !

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