Dans la série « Ensemble, pour le meilleur et pour le pire », ces couples ont disputé plusieurs finales de Grand chelem. Retour sur les joutes de ces inséparables du dernier dimanche !
- Bjorn Borg – John McEnroe : 4 finales (1-3)
Le typique couple mi-ange mi-démon. Dans le coin droit nous avons IceBorg, le maître du zen et métronome du fond du court. Dans l’autre coin se dresse SuperBrat, l’enfant gâté colérique à la volée géniale. Bref, Borg-McEnroe c’est le yin et le yang ! Ils s’affronteront 14 fois en tout pour un bilan d’une parfaite parité, 7 victoires chacun. En revanche dans leurs confrontations en finales de Majeurs c’est McEnroe qui a nettement l’avantage : 3 victoires à 1, dont deux en finale de l’US Open, brisant par là-même définitivement les rêves de gloire américains de Borg.
Le détail de leurs finales :
- Wimbledon 1980 : Borg 1/6, 7/5, 6/3, 6/7, 8/6
- US Open 1980 : McEnroe 7/6, 6/1, 6/7, 5/7, 6/4
- Wimbledon 1981 : McEnroe 4/6, 7/6, 7/6, 6/4
- US Open 1981 : McEnroe 4/6, 6/2, 6/4, 6/3
Le match : Un cran au-dessus de l’excellente finale de l’US Open 1980, c’est sans surprise qu’on parlera de leur mythique finale de Wimbledon 1980, match qui attribuait aussi la 1ère place mondiale. Après un premier set aux abonnés absents, Borg se retrouve à un point du KO technique à 4-4 dans le deuxième. McEnroe obtient 3 balles de break mais Borg s’en sort grâce à d’excellentes premières balles. L’état de grâce change de camp et le Suédois réussit à l’emporter 7/5. La machine implacable est en route et Borg prend tranquillement le contrôle du match : il remporte le troisième set 6/3 et breake l’Américain à 4-4 au quatrième set pour servir pour le titre. A 40/15 personne ne doute que le match est fini : l’Américain a bien lutté mais Borg est décidément trop fort. Et pourtant… McEnroe s’accroche et sauve les deux balles de match de façon magistrale (un superbe passing de revers le long de la ligne pour la première et volée gagnante pour la deuxième). Le destin du set se joue lors d’un tie-break de 21 minutes et 34 points qui restera gravé dans les mémoires : Borg obtient en vain cinq balles de match (dont une sauvée par McEnroe grâce à la bande du filet, la balle venant mourir du côté de Borg), mais c’est McEnroe qui s’impose au bout du suspense à sa septième balle de set ! Plus personne ne doute dès lors de la victoire de l’Américain, tant il est improbable que Borg ne soit pas abattu par ses 7 balles de championnat ratées ! Et le début du cinquième semble le confirmer : Borg est mené 0-30 sur son service et semble au fond du gouffre. Mais on ne le surnomme pas Iceborg pour rien ! Imperturbable, il ne perdra plus qu’un point sur son service de toute la cinquième manche ! Après 7 balles de break dans différents jeux, il finit par l’emporter 8-6 face à un McEnroe au bout du rouleau. Il peut enfin s’agenouiller et fêter son cinquième titre (consécutif) londonien. Ce qu’il ne sait pas, c’est que ce sera son dernier…
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- Novak Djokovic – Rafael Nadal : 4 finales (3-1)
Inutile de présenter feu Nakunpoumon et le taureau de Manacor, tant ils font l’actualité. Vainqueur de leur première finale en Grand chelem, l’avenir semblait sourire à l’Espagnol qui venait de réaliser à la fois un Petit chelem et son Career slam. Mais la diète no-gluten a apparemment métamorphosé le Serbe dont l’endurance n’a plus rien à envier à celle de l’Espagnol. Résultat : 7 victoires de rang de Djokocop sur toutes les surfaces, dont 3 finales du Grand chelem consécutives.
Le détail de leurs finales :
- US Open 2010 : Nadal 6/4, 5/7, 6/4, 6/2
- Wimbledon 2011 : Djokovic 6/4, 6/1, 1/6, 6/3
- US Open 2011 : Djokovic 6/2, 6/4, 6/7, 6/1
- Australian Open 2012 : Djokovic 5/7, 6/4, 6/2, 6/7, 7/5
Le match : Leur finale record de l’Open d’Australie 2012 sur laquelle il est inutile que je revienne tant elle a récemment été objet de débat sur le site.
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- Ivan Lendl – Mats Wilander : 5 finales (2-3)
Les Lendl – Wilander à Roland-Garros, ou le souvenir atroce de longues finales chiantes à mourir ! Pour être honnête, celle de 1985 fut très correcte avec un Wilander qui proposa un jeu étonnement (et relativement) offensif. Dans mon imaginaire de l’époque, Lendl était la brute, la sorte de croisement Terminator/Ivan Drago au coup droit robotique dévastateur tandis que Wilander était le blondin, un lapin duracell sans grand coup mais avec un intelligence tactique hors norme. Bourreau de Lendl lors de leurs premières finales du Grand chelem, Mats ne put rien lors de l’apogée du Tchèque en 1986-87, avec deux défaites en finales de Grand chelem et une au Masters. Dominateur en 1988, il rencontra une dernière fois Lendl en finale majeure à l’US Open, lors d’un match décisif pour la 1° place mondiale.
Le détail de leurs finales :
- Australian Open 1983 : Wilander 6/1, 6/4, 6/4
- Roland-Garros 1985 : Wilander 3/6, 6/4, 6/2, 6/2
- Roland-Garros 1987 : Lendl 7/5, 6/2, 3/6, 7/6
- US Open 1987 : Lendl 6/7, 6/0, 7/6, 6/4
- US Open 1988 : Wilander 6/4, 4/6, 6/3, 5/7, 6/4
Le match : Avant le Djokovic – Nadal de l’Australie 2012, le record de la finale la plus longue était le leur. 4h54 minutes de bataille à New York en 1988 pour la revanche de la finale 1987 (elle aussi d’une longueur inouïe : 4h47 !). Triple tenant du titre, n°1 depuis 159 semaines et vainqueur lors de leurs 6 dernières confrontations, Lendl est le favori logique face à Wilander, vainqueur toutefois de deux Majeurs en 1988. Le Suédois prend le meilleur départ en empochant une première manche soporifique 6/4 (avec plusieurs échanges dépassant les 30 coups) et menant 4-1 dans la deuxième. Lendl se rebelle pour remporter le set 6/4 mais l’éclaircie ne dure pas longtemps. Wilander reprend l’avantage en remportant le troisième set et menant 4-3 service à suivre au quatrième, mais Lendl refait à nouveau son retard pour égaliser à deux sets partout. Mené 0-2 au cinquième, il réussit à nouveau à recoller au score et mener 3-2 mais Wilander est trop solide et multiplie les attaques au filet. Mats réalise le break décisif au 7e jeu et ne le lâche plus pour conclure 6/4 et atteindre enfin la place de n°1 tant convoitée. Sa carrière venait de se conclure en fanfare…
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- Andre Agassi – Pete Sampras : 5 finales (1-4)
Dédé la moumoute contre Pete the King of Swing, le roi de la prise de balle précoce et du jeu en cadence contre l’un des derniers serveurs-volleyeurs à avoir gagné un Grand chelem. Malgré de nombreuses belles empoignades, Sampras mène largement aussi bien dans leur tête-à-tête (20-14) que dans leurs finales majeures (4-1). Pour approfondir leur rivalité, rien de mieux que de relire l’excellent opus de Karim où tout est dit, et très bien dit.
Le détail de leurs finales :
- US Open 1990 : Sampras 6/4, 6/3, 6/2
- Australian Open 1995 : Agassi 4/6, 6/1, 7/6, 6/4
- US Open 1995 : Sampras 6/4, 6/3, 4/6, 7/5
- Wimbledon 1999 : Sampras 6/3, 6/4, 7/5
- US Open 2002 : Sampras 6/3, 6/4, 5/7, 6/4
Le match : Aussi bizarre que cela puisse paraître, s’ils ont joué d’excellents quarts et demi-finales en tournois du Grand chelem, aucune de leurs cinq finales n’a atteint des sommets de tennis. On pourrait citer la finale de l’US Open 1995, mais à part le fameux point de 32 coups sur balle de set, le match en soi était assez décevant avec un Sampras nettement supérieur. Idem pour leur dernière finale, en 2002. Je pencherai plutôt vers la finale de l’Open d’Australie 1995, match assez disputé qu’André a remporté en quatre manches (sa seule victoire en finale face à Pete).
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- Roger Federer – Rafael Nadal : 8 finales (2-6)
A tout seigneur, tout honneur, le duo Fedal s’adjuge haut la main la palme du plus grand nombre de finales disputées durant l’ère Open, huit au total (4 Roland-Garros, 3 Wimbledon et 1 Open d’Australie) ! Jamais durant l’ère Open deux joueurs n’ont autant monopolisé les finales sur autant de surfaces. Après quatre premières finales équilibrées où chacun avait son royaume de prédilection (Roland-Garros pour Nadal, Wimbledon pour Federer), l’Espagnol a nettement pris l’avantage après 2008, avec 4 victoires de rang à Paris, Londres et New York.
Le détail de leurs finales :
- Roland-Garros 2006 : Nadal 1/6, 6/1, 6/4, 7/6
- Wimbledon 2006 : Federer 6/0, 7/6, 6/7, 6/3
- Roland-Garros 2007 : Nadal 6/3, 4/6, 6/3, 6/4
- Wimbledon 2007 : Federer 7/6, 4/6, 7/6, 2/6, 6/2
- Roland-Garros 2008 : Nadal 6/1, 6/3, 6/0
- Wimbledon 2008 : Nadal 6/4, 6/4, 6/7, 6/7, 9/7
- Australian Open 2009 : Nadal 7/5, 3/6, 7/6, 3/6, 6/2
- Roland-Garros 2011 : Nadal 7/5, 7/6, 5/7, 6/1
Le match : Un mois après la déculottée prise à Roland-Garros en 2008, Federer espère remettre les pendules à l’heure dans son royaume londonien et dépasser Borg dans la légende en remportant un sixième titre consécutif à Wimbledon. Mais Nadal ne l’entend pas de cette oreille et breake le Suisse dès le troisième jeu du match. Malgré 3 balles de break obtenues (dont 2 à 5-4 Nadal), Federer ne parvient à refaire son retard et laisse Nadal empocher la manche 6/4. Les choses semblent se remettre sur les bons rails en début de deuxième set : Federer fait le break et mène 4-1, mais un mauvais jeu de service permet à Nadal de recoller. Federer a deux autres occasions de breaker à 4-3 et à 4-5 mais rien à faire, Nadal est trop solide dans le money time et s’impose à nouveau 6/4. Malgré la perte de la troisième manche au tie-break, Nadal semble avoir le match en main quand il obtient deux balles de match au tie-break du quatrième, mais Federer les sauve pour recoller à 2 sets partout. A 4-3 en sa faveur, le Suisse obtient une balle de break qui lui permettrait de servir pour le titre mais n’arrive pas à la concrétiser. A 5-5 c’est au tour de Nadal d’obtenir deux balles de break mais Roger repousse l’échéance. Le break décisif de l’Espagnol arrive à 7-7. Malgré une troisième balle de match sauvée magistralement par Federer, Rafa est trop fort et finit par s’imposer 9-7 au bout de la nuit pour remporter son premier trophée majeur hors de sa surface ocre de prédilection.
C’est du très grand n’importe quoi Dolgo ! Premier set Del Po 6-3. ce dernier n’est pas bien bon mais Dolgo fait les points et les fautes et surtout les fautes, grossières, comme cette amortie qui ne parvient même pas à atteindre le filet, même après le rebond. Il sert comme un sagouin aussi et puis, de temps en temps, il fait deux points gagnants très difficile de suite…
Le Phasme retrouve son copain Berlocq à Acapulco dans un remake de sa tannée de la semaine dernière. Partir courir le cachet sur la tournée sud-américaine pourquoi pas, mais gagner c’est mieux…
Ce serait une honte qu’il paume à nouveau contre lui.
Il a quand même beaucoup plus de pôt au tirage que son copain Llodra qui se prend direct Del Po à Rotterdam, puis Federer à Dubaï..
Antooooooine….
Tu veux pas éclairer ma lumière sur les « deux points » ?..
Alleeeez
Me dis pas que c’est juste la flemme du 3e ?
C’est juste que j’ai oublié de mettre un troisème point…
Le problème du passage à l’âge adulte, c’est quand les grand mythes s’effondrent.
Rien à voir avec la flemme. Antoine est un bourreau de travail tout le monde le sait.
C’est juste pour préserver la bande passante. Dans « … » il y a un « . » surnuméraire qui est là pour assurer une redondance permettant de clarifier la lecture, surement utile au moyen age mais qui n’a plus d’intérêt à l’heure du tout numérique.
Si tous les gars du monde voulaient bien mettre « .. » au lieu de « … », on ne perdrait strictement rien en sémantique et on gagnerait des Megaoctets trimballés sur le serveur 15-Love qui est, je le rappelle M’sieurs-dames, en permanence au bord de l’explosion.
Sinon, je regarde le match en pointillés, mais franchement ça fait du bien une surface où les joueurs peuvent être pris par la vitesse de la balle, et donc faire des winners, mais, et donc aussi, rater.
Moins gratifiant que des échanges à bloc de 30 coups de raquette (ce que cherche l’ATP -je veux dire la gratification immédiate, et donc la venue de néophytes attirés par le « playstation syndrôme »-). Moins gratifiant donc, mais plus humain.
Et, pour en revenir au match (avant que Nath ne débarque, normalement dans 1′), Dolgo a vraiment les armes pour emmerder Delpo (son slice notamment), mais alors qu’est-ce qu’il arrose… On dirait parfois le petit frère de Gulbis (mais je préfère).
A ce propos, vous vous souveniez que Gulbis avait fait quarts à RG en 2008 (en ne perdant que 7/5 7/6 7/5 contre Djoko) ?
Drôle, non ?
Ca pour arroser, il arrose: et encore deux amorties foireuses pour perdre son service et probablement le match derrière…
Gulbis est maintenant 78ème. Il vient de gagner son troisème match de l’année contre Falla. Normalement, il doit perdre le suivant: il ne gagne jamais deux matchs de suite, sauf une semaine par an ou il gagne un tournoi…
Je me rappelle surtout de la coiffure de Gulbis à RG 2008, une horreur genre fils de chroniqueur mondain au Figaro Madame. Impossible de faire du sport à haut niveau avec un engin pareil sur la tête. On aurait cru qu’il voulait ressembler à Villepin.
Je crois d’ailleurs qu’il a réalisé la vérité et n’a plus trop rien fait depuis.
Tu est injuste: Gulibis dépense tout son argent avec des putes. Il n’a pas le temps de s’entrainer; c’est normal que ses résulats en souffrent..
Il essaye de choper la mononucléose pour être enfin tranquille et qu’on arrête de le faire chier.
Ou bien il recrute son cheptel. Gulbis, bras armé de la mafia russe en Létonie, Gulbis porte-flingue de Safin. Gulbis président.
Bon, cette fois-ci je me tire pour de bon, j’entends Nath qui arrive.
Le phasme, comme le qualifie William, a l’air bien parti pour rééditer sa performance de la semaine dernière contre Berlocq-la-terreur: il est déjà mené 3-1…
Ne riez pas: Gilou, qui vient de perdre une place cette semaine, est bel et bien 13ème à l’ATP..Comme quoi ce calssement est bon à foutre à la poubelle…
Mais aussi, qu’est-ce qu’il est allé foutre là-bas ?!
Me dites pas qu’il lui ont filé une garantie quand même !
Je comprends pas, il reste encore de la bande passante ?
J’adore ce tweet de Sophie Dorgan « De mieux en mieux 3-1 après 42 minutes entre Simon et Berlocq. A ce rythme, 6-3, 6-3 en 3 heures ! »
Le phasmissime Gillou a remporté Hambourg l’année dernière, 500 de pacotille qui doit peser lourd dans son total de points.
Gilou a 2005 points, un chiffre énorme ! Là dedans, les 500 de Hambourg. Sans eux, il serait 20ème. Mais le seul endroit ou Gilou a réussi à marquer plus de 180 points est ce tournoi là. Cet été, le phasme va morfler…
Delpo servait pour le match, et débreak Dolgo. 5/5.. (ça va là Ulysse si j’en mets 2, ah oui mais merde si j’écris derrière je perds tout le bénéfice du point gagné, fuck, pas grave, la bande passante ne passera pas par moi)
Dolgo s’est contenté de ne plus faire la faute (ce qui est déjà beaucoup vu ce qu’il donnait), et de travailler Delpo en slice, ce qui le gêne (le gêne d’autant plus que, vu ses deux dernières semaines il doit en avoir plein les pattes). C’est moche, mais ça marche. Dolgilbert, en avant !
Le slice long de ligne de Dolgo est hallucinant! J’adore ce mec.
Tant qu’on parle de Gillou, dans le genre blaireau il y en a un qui est bon en ce moment, Troicki : il vient de perdre le premier set contre Darcis…
Bon, j’ai bien cru que Del Potro allait se faire empapaouter par Dologo mais ce dernier finit par faire une ultime faute et donc victoire de Del Po en deux sets…
Le jour ou Dolgo fera moins de cinquante fautes par match il sera vraiment dangereux, mais il n’a pas l’air de se calmer..
Je vois sur le site de l’ATP que Gilou en est à 3-5 après 1h07 de match, le temps qu’il a fallu à Roger pour battre Llodra. Il a du partir en Amérique du Sud pour tester son nouveau jeu qu’il veut gareder secret sans qu’on le voit trop. Cela doit consister à crapoter un maximum. C’est pas nouveau, c’est très chiant à voir, et à pratiquer mais Gilou doit espérer ecoeurer tous ses adversaires successifs sur terre cette année une fois qu’il sera au point..Il a décidé de renoncer définitivement à tenter de faire un point gagnant. C’est inutile quand on ne fait plus une seule faute…
Et au bout de 1h20, Gilou sauve deux balles de set et égalise à 5 partout dans ce premier set sur une double faute de Berlocq. Trois break de part et d’autre sur cinq jeux de service; rien à dire, c’est du tennis propre, c’est net, cela vient de sortir, et cela se joue sur le circuit WTA en Amérique du Sud…loin, très loin d’ici. J’espère que Gilou va y passer toute la saison: il peut écumer les circuits Chalenger et Futures, il y a plein de tournois très bien à disputer contre des morts de faim prêts à jouer pendant six heurs de suite; il a ses chances…
Berlocq est la terreur de la terre battue, tout le monde le sait… Il va revenir et lui coller la bulle qu’il mérite dans le deuxième set…
Ils accélèrent là: déjà 6-6 huit minutes plus tard..Ils ont pratiquement les mêmes stats..
Que vois-je ?
Je quitte l’ordi, Simon a 2 balles de sets contre lui, je reviens, il a finalement réussi à perdre la première manche 7/6 (5) en… 1h40.
C’est une blague .
Quelqu’un voit ? Genre le retour de Vilas / Borg, ou tentative de battre un record ?
(un peu comme Santoro et son record de participation en GC : 71, pour 30 défaites au 1er tour, 24 en 32e, 13 en 16e, 3 1/8e et un quart… Grand)
..Et au bout d’1h40, Gilou paume donc ce tie break 7-5..Pas grave, il va se refaire sur les deux suivants. Au cours de ce premier set, il a réussi à marquer deux fois plus de jeux qu’au cours de son match de la semaine dernière. Cela va payer…C’est juste une question de temps…
100′ x 3 = 300′
C’est implacable, tu as raison.
Et on ne peut pas perdre en 300′, c’est mathématique.
110 points joués en 100 minutes, c’est bien !! 55 chacun: pas de disputes !
Ce qui fait du 54, 5 sec par point…
En enlevant, disons, 24,5 sec à chaque fois, ça fait des points à 30 secondes de jeu effectif en moyenne.
Enorme.
Ce qu’il y a de bien avec ce match, c’est qu’il n’y a même pas besoin de le voir pour avoir l’impression de le voir.
C’est la technique Rocky Balboa.
Simon cherche l’abandon adverse.
Un Berlocq qui va lui dire « Ok, t’as gagné » après avoir remporté les deux premières manches.
C’est mûri de longue date tout ça.
Cela procède, de la part de Gilou, d’une longue analyse des forces et faiblesses de Berlocq: après avoir pris 6-2 6-1 la semaine dernière, il a beaucoup réfléchi au problème. Il est en passe de trouver la clé: c’est la faiblesse physique de Berlocq. Gilou s’est dit qu’il ne pourrait pas tenir cinq heures, lui si..
Faut prévenir Karim: il rate quelque chose là, lui qui adore Gilou..
Simon nous avait prévenu : « J’adore l’endroit »
Quoi de plus logique en ce cas que d’y rester le plus longtemps possible.
Acapulco, c’est sympa effectivement mais il ne va pas beaucoup profiter des plages, ou alors en nocturne..
C’est comme Llodra à Dubaï: Gilles Simon est à Acapulco surtout pour jouer le double.
Gillou en spécialiste du double. Tu fais dans l’humour trash Colin !
j’avoue que je n’ai pas eu le courage de m’accrocher à un stream pour regarder un peu de tennis…
donc fed en 5è sur 20mn puis retrograde en 4è le reste du match un classique du père de famille sur la route des vacances
et ce soir, lendl affronte moya en finale du sénior tour : 16ans d’écart, autant qu’un schuettler tomic
antoine je te trouve un stream pour ce soir ?
sinon les trentenaires trouvent un 2è souffle, et Roger n’est pas si seul qu’on peut le penser !
http://espn.go.com/tennis/story/_/id/7624253/tennis-roger-federer-not-only-30-year-old-aging-grace
Et c’est reparti.
Selon mon scoreboard, on est toujours à 7/6, 30/40, et ça fait maintenant 1h54 de jeu…
14′ pour 5 points ou medical time out ?
Quelqu’un sait s’il y a un TB au 3e à Acapulco ?
Si la réponse est non, Isner et Mahut peuvent trembler…
Incredible ! Je reviens et je constate : Oluive s’est multiplié comme une colonie de levure de riz rouge, Oluive est partout, là où passe Oluive, jamais la bande passante ne repousse.
Oluive qui es-tu, qu’es-tu ?
Match exceptionnel de Simon ? Je fonce voir ça ! C’est l’assurance de passer une nuit merveilleuse à s’abîmer dans les volutes du néant.
Non, Jeanne.
Je ne suis pas une levure, une fourmi, une bactérie, une mycose.
Je suis un homme Jeanne, tout simplement.
Je regarde le soleil se coucher sur la plaine, je mâche une Marlboro.
Mon troupeau paît, mes yeux se plissent comme ça, pour rien. Histoire de.
Et puis, le froid. Les doigts gourds. Et dans mon holster, le clavier.
C’est peut-être un détail pour toi Jeanne, mais pour moi ça veut dire si peu.
Tu vois Jeanne, c’est si simple : je ne suis qu’une petite Oluive, un i lOve u en désordre.
(il crache sa Marlboro, et s’éloigne, lentement ; sans se retourner)
Oluive, je voulais te dire : I love U (depuis la lecture de ce très beau message). Mes yeux roulent de lourdes larmes, à force de chatoyer d’émotions versicolores
2 jeux en moins de 20 min ? Il se passe quoi ?
Rien
Bravo à Robert pour la suite de cette story des grands face à face. J’ai un faible pour les Borg/Mac Enroe et surtout cette finale que tu racontes si bien. Moins pour les Fed/Nadal
Le rythme s’accélère Break Berlocq qui va servir pour le match. Le suspense est à son comble
Gilles Simon devrait être interdit.
La photo de Borg! Collector!
Totalement! Antoine aussi a flashé dessus.
Elmar, pour ta culture, le jeune blaireau poupin à côté de Borg est un certain John Mc Enroe.
Highlights du matchs entre Llodra et Fed. Vraiment sympa : http://www.youtube.com/watch?v=20uyWHmFf1Y&feature=youtu.be
Un titre très discutable pour cette dépêche de « l’Equipe »: « Simon, déjà fini »..
Certes c’était un premier tour, mais Il a mis deux heures et demie pour perdre en deux sets contre Berlocq hier: une heure quarante pour le premier set ou nous l’avions laissé hier soir mais seulement quarante minutes pour perdre le second..Quand on se fait battre deux fois de suite par un type moins fort que soi cela prouve que l’on n’a pas su diagnostiquer et régler le problème, ou alors qu’il est en réalité plus fort que soi. Berlocq, bientôt dans le top 10 ? Vu son âge et sa carrière, il y a a peu près autant de chances que cela se produise que de voire Ferrer gagner un GC..Maître Gilou, grand tacticien, s’est donc fait refaire à nouveau par un terrien besogneux. heureusement que ce n’était pas retransmis, cela ne devait pas être joli à voir..Les organisateurs vont peut être rembourser les gens qui ont payé leur place ?
Je me range à la proposition de Karim: il faut interdire Gilou de compétition.
Antoine, ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit. j’ai jamais dit qu’il fallait l’interdire de compétition. J’ai dit qu’il fallait l’interdire. Gilles Simon devrait être interdit de tout, tout le temps et pour toujours. Je suis même favorable à une grande amnésie collective et qu’on efface toute trace de lui. Ses parents? pour compenser on leur donne un carnets de coupons de réductions chez LIDL.
Dans la série « Alizé Cornet a été 11ème mondiale » je demande Gilles Simon.
Gilles Simon a été 6ème mondial.
Gilles Simon EST 13ème mondial.
Gilles Simon a été 1/2 finaliste au Masters.
Gilles Simon a battu Rafael Nadal… A Madrid !!
Gilles Simon mène 2 victoires à 1 face à Roger Federer !!!!!!!!
Et pourtant, même un enfant de 3 ans qui n’y connait rien à la vie saurait d’instinct en regardant un match de Gilles Simon que c’est MAL.
Mais rassurez-vous, le pire n’est pas atteint; après tout, Greg Rusedski a un meilleur palmarès que Gilles Simon…
2 partout Arno (1 abandon certes, mais qui compte dans le H2H)
Ah oui, je l’avais zappé… Enfin, 2 partout, c’est déjà en dehors de toute logique…
L’humour et un peu de dérision, c’est sympa, mais il ne faut peut-être pas trop taper en continuité sur un type de jeu (et donc de joueur)qui est moins spectaculaire mais parfois bien efficace.
Simon joue avec ses armes, il est léger et endurant. S’il était plus bodybuildé, à la Tsonga, il jouerait sans doute autrement !
Quand à ta remarque, Antoine, sur le fait qu’il se fait battre par Berlocq et qu’il est donc plus faible que lui (ou inversement), c’est une remarque que l’on doit pouvoir faire souvent. En effet, pour chaque joueur, il y a ceux contre qui la victoire est au rendez-vous alors qu’ils sont plus forts et ceux contre qui c’est la défaite assurée alors qu’ils sont moins bien classés !
Je pense qu’il est inutile de donner des exemples présents ou passés tellement c’est trivial !
Je ne dis pas cela, je dis même le contraire…
C’est vrai que ma phrase peut présenter une certaine ambiguïté.
Je la reformule donc :
au lieu de » quand à ta remarque, Antoine, sur le fait qu’il se fait battre par Berlocq et qu’il est donc plus faible que lui (ou inversement), il faut lire :
« Quand à ta remarque Antoine, que Simon est plus faible que Berlocq puisqu’il se fait battre 2 fois de suite par ce joueur (ou inversement que Berlocq est donc plus fort que Simon)…
Est-ce plus clair ainsi réécrit ?
Botterais-tu en touche ?
je dis: « quand on se fait battre deux fois de suite par un type moins fort que soi cela prouve que l’on n’a pas su diagnostiquer et régler le problème, ou alors qu’il est en réalité plus fort que soi »…Le reste est là pour montrer l’inanité de cette deuxième branche de l’alternative..et comme Gilou a paumé ce deuxième match alors qu’il est plus fort que Berlocq, c’est bien qu’il n’a pas su régler le problème…
Un paquet de coupons de chez Lidl ! Là, je suis explosé !
Une bien belle tournée en Amérique du Sud que celle de Gilou: trois tournois, quatre matchs: une vitoire contre Machado, trois défaites, une contre Nalbide (3 et 2) et deux contre Berlocq (2 et 1, puis hier 6 et 3)…Le type le mieux classé qu’il ait battu depuis le début de l’année est 55ème…
Isner devient vraiment le grand spécialiste des rallonges insensées. Il gagne son match contre Levine en remportant le tie break du second set sur le score de 17-15, sauvant au passage cinq balles de set…Il en est à 9 tie breaks remportés sur 10 depuis le début de l’année..Coriace la bestiole..
Je compte beaucoup sur lui pour perpétrer un massacre à Wimby cette année. L’année dernière, il avait perdu deux tie breaks sur trois contre Almagro et avait perdu en quatre sets au deuxième tour. Cela ne se reproduira pas…Il doit pouvoir aller au moins en demies…
Fini de rire avec Isner en le comparant avec un vulgaire Karlovic ! Il arrive tranquillement à son top etca va barder ! Depuis le début de sa carrière, il a gagné 63% de ses tie breaks, sur les 52 dernières semaines il est à 64% et depuis le début de l’année à 90%. Un Isner qui a appris à retourner et qui gagne 90% de ses tie breaks, il n’y a pas besoin d’être un génie pour comprendre qu’il y en a qui vont dérouiller grave ! Au 31 décembre, il était 18ème. Je l’ai pris en Performeur. Cette semaine il est 11ème. Bientôt il sera Top 10 ou il y a deux intrus à virer de toute façon: Tipsy et Fish. Cela doit être la plus forte progression en points depuis le début de l’année…
Tipsa est dans le top 10? Nous vivons une bien triste époque…
Tipsa va être remplacé par Isner.
Et Fish par Raonic.
Les deux plus grosses montées en haut du classement, deux gros services, deux qui vont faire mal sur gazon, dans une année où le gazon offre un beau tournoi supplémentaire.
Et deux performers pour mézigues.
Non, mon souci perso c’est plus le duo Davy / Querrey… Pourtant j’aimerais y croire.
Et j’aimerais que Davy se fasse un petit baroud d’honneur avant la sortie, il le mérite (à son top, un des jeux les plus spectaculaires que j’aie vus en live).
Je sais pas pourquoi, je sens poindre l’odeur d’un article G&D…
C’est Soderling qui doit réintégrer le Top 10 dès qu’il sera rétabli…
Bizarre quand même cette mono. Je sais bien que c’est arrivé à Ancic aussi mais visblement il y en a qui supportent mieux les mono que d’autres: outre Federer, Connors en avait fait eu au printemps 77, sans grand domage non plus…
Je suis peut être un peu parano, mais est ce que par hasard, ce ne serait pas des monos diplomatiques, genre vous êtes pris la main dans le sac par la patrouille anti-dopage, chargé comme une mule, et on vous demande de bien vouloir dégager pendant six mois ou plus selon la gravité des faits ?
Je me suis fait la même réflextion. ou plutôt je me suis demandé si un des effets secondaires d’un certan type de dopage, pour un produit précis, ce serait pas la mono.
Pourquoi pas en effet ?…Bizarrement, il semble y avoir plus de monos chez les sportifs que dans la population en général. Pourtant, ils sont jeunes et en bonne forme normalement…
Tu veux dire c’est comme la bizarrerie statistique constituée par les 70% d’asthmatiques dans le peloton du TDF ?
« …je me suis demandé si un des effets secondaires d’un certan type de dopage, pour un produit précis, ce serait pas la mono. »
C’est peu probable. Par contre, un traitement de la mono pourrait produire les même effets réactifs qu’une molécule interdite (c’est ce mécanisme qui correspond à ce qu’on appelle des « produits masquants »).
La mononucléose infectieuse est un des risques majeurs de la transfusion sanguine.
Or depuis 2000, cette technique de dopage sportif a évincé la prise d’EPO qui est détectée maintenant par des tests antidopage
Intéressant, mais j’ai compris qu’ils se transfusaient leur propre sang ?
Les 2 techniques existent : l’autotransfusion ou l’hétérotransfusion (dite aussi homotransfusion) avec un donneur du même groupe sanguin
Mais on ne peut pas détecter une mono dans l’échantillon avant une transfusion ?
Il me semble que celle qui est le moins détectable c’est l’auto-transfusion. L’hétéro-transfusion peut se détecter assez facilement il me semble.
Il me semble avoir lu que la mono était loin d’être rare et parfois à peine détectable ( symptomes de fatigue qui ne nécessitent pas forcément une recherche des causes et ne durent pas). Elle se ressent forcément plus chez un sportif de haut niveau mais il est vrai qu’elle est souvent citée dans les effets secondaires possibles des transfusions sanguines.
Sur la mono, quelques petites précisions : il faut savoir que 90% des gens sont porteurs du virus de la mononucléose.
La différence se fait sur la façon dont elle se manifeste. A ma connaissance il y en a 2 (mais c’est peut-être plus gradué que ça) : la petite et la grosse mono, pour schématiser. La petite c’est ce qu’aurait eu Federer, la grosse ce qu’aurait eu Ancic et Söd actuellement.
Je connais quelqu’un qui en a eu une grosse (on rigole pas là dans le fond !!) et il a effectivement été K.O. pendant des mois et des mois.
» Gilles Simon devrait être interdit. »
Je propose ce commentaire, soit comme nouveau bandeau du site, soit comme post de l’année.
Je lis que Lendl parle de Murray en disant qu’il n’a cette fois pas fait de dépression post AO, et qu’il croit dur comme fer qu’il peut gagner un GC.
Je sais bien que ce sont les journalistes qui poussent à ce genre de réponse, mais je crois que Lendl / Murray font fausse route à chaque fois à y répondre comme ça.
A dire systémtiquement « je peux gagner un GC » lors de chaque itw, l’écossais s’ajoute une pression supplémentaire à la pression déjà monstrueuse de sa possible victoire un jour dans un GC, n’importe lequel.
C’est déjà difficile de remporter une finale, encore plus quand on est sujet à la pression. Alors là, avec sa méthode coué… Vous imaginez le poids sur ses épaules la prochaine fois (si prochaine fois il y a) que Murray se retrouve en fnale ?! Un truc de fou.
Moi je le dis, Murray va finir par faire un burn out.
Tout ça vaut aussi pour Nadal, qui nous livre maintenant du « je peux battre Djoko » à tout bout de champ.
Avant une rencontre je veux bien, mais à tout propos là aussi c’est se foutre la pression pour rien (même s’il la supporte mieux que le scotish). Et c’est oublier qu’avant Djoko, il y en a pas mal d’autres à battre.
On a vu le résultat sur Fed, lorsqu’il ne parlait plus que de Nadal…
Dans « l’Equipe » de ce matin, il y a un article sur Dubaï titré « vos paupières sont lourdes » ou l’on apprend que Jo, Del Po, Mahut et Llodra qui jouaient tous à marseille dimanche ont pris le même avion et sont arrivés lundi soir à minuit à Dubaï. Certains s’en sont tirés correctement, Jo et Del Po (qui dit avoir vu 3h du mat avant de s’endormir), d’autres moins, comme Llodra qui en a un peu marre des décalages horaires et des avions puisqu’il s’était pris Del Po à Rotterdam en arrivant de Vancouver. Mahut n’aurait pas vraiment démérité contre Lopez.
D’autres n’ont pas besoin de cela: Richard par exemple abandonne au bout d’un set après, dit il, une fièvre à 38.5°C la nuit précédente, un truc insurmontable. Intoxication alimentaire pour Murray qui ne faisait effectivement pas le fier contre Berrer hier, mais qui s’en sort quand même..
BOZO TIME
« Monfils s’essaye au foot à Evian »
Retiré momentanément du circuit, Gaël Monfils est en Haute-Savoie pour parfaire sa condition physique. Après une séance de ski de fond à Chamonix, le Français, 14e mondial, a participé à une séance d’entraînement de football avec les joueurs d’Evian-Thonon-Gaillard.
« J’ai passé un super moment. En tant que sportif, ce sont de moments forts. Mais c’était dur, le niveau était très élevé ».
Le 14e mondial souffrait d’une inflammation de son genou droit avant son souhait de se retirer de toute compétition jusqu’au Masters 1000 d’Indian Wells auquel il devrait participer.
Faire du ski, puis jouer au foot avec des pros quand on a un problème au genou, y’en a qu’un qui peut faire ça…
Le ski de fond, il n’y a apparemment pas de contre-indication dans son cas, car la jambe doit rester droite, mais le foot, ça c’est dément…Gaël passe au parachutisme demain avec des paras…
C’est beau ce que fait Tipsarévic: il sert pour le set contre Cipolla à 6-5, perd son service en terminant sur une double, perd ensuite cinq points de suite dans le tie break et finit par le perdre 7-2…Propre..
C’est vrai ce que dit Karim: nous vivons une bien triste époque avec Tipsy dans le Top 10..Incroyable ! Le gars commence l’année à son classement normal, 49ème et grimpe toute l’année pour terminer 9ème ou il est toujours. Une progression énorme pour un joueur qui ne paie pas de mine et n’a aucun coup un tant soir peu tranchant. Enfin, tout le monde a misé sur une dégringolade en 2012 et il y a de bonnes chances que cela se produise…
Victoire de la Murène (3 et 4) contre Chuidinelli..Un peu meilleur qu’hier, mais pas tellement plus. Les choses sérieuses vont commencer demain contre Berdych, sauf improbable victoire de Lacko contre ce dernier…
En fait si, quand on regarde les stats, on voit qu’il a été nettement meilleur au service et qu’il n’a d’ailleurs eu aucune balle de break à sauver. Cela dit, sur les quelques derniers jeux que j’ai vu, Chuidinelli était bien nul..