Le tennis dans la tête

By  | 9 janvier 2013 | Filed under: Bord de court

Une première contribution au goût de madeleine…

Toni Nadal et son neveu n’ont pas tort de se plaindre de la longueur des saisons. Je me souviens que, quand j’avais quatorze ans et que Travolta dansait sur Staying alive, l’année tennistique ne durait que cinq semaines. Non, non, pas plus !

La saison ne débutait qu’à … Nice, quelque part en avril si j’en crois ma mémoire et si j’en juge par le fait que les retransmissions télévisées étaient souvent annulées pour cause de rideaux de pluie. A la maison, le noir et blanc trônait encore au salon. Un jour, le voisin du premier nous avait invités à admirer la couleur ocre sur laquelle la balle blanche, lointain ancêtre disparu de la balle jaune, ressortait mieux que sur mon pauvre écran, lequel m’obligeait à ajuster constamment contraste et lumière pour avoir des chances de deviner les trajectoires. Le voisin était moitié handicapé, moitié fier de sa télé couleur. Je me souviens que c’était un match de Noah, jeune espoir et régional de l’étape, cheveux bien courts, polo bien blanc. A cette époque, les lignes de couloir n’étaient pas droites mais bel et bien incurvées en leurs extrémités : l’écran plat n’avait pas encore été inventé pour conférer un peu de rectitude à ce sport étrange où l’on comptait 15 par 15 avant d’ajouter 10 puis de faire du surplace.

Après Nice, c’était la montée en puissance sur le Rocher de Monte-Carlo. C’était Borg et ses polos FILA, ses shorts moulants et sa raquette Donnay tendue à 35 kilos ; Nastase et l’utilisation d’un invraisemblable double cordage sur une raquette dite spaghetti. Les plus vieux ont dû garder en mémoire quelques images de ces temps héroïques où le champ des possibles restait ouvert…

Puis venait le point culminant de la saison : Roland-Garros. Deux semaines de tennis à la télé. L’année scolaire devait déjà être bien entamée car je rentrais à la maison, jetais mon cartable sans remords et regardais le tournoi avec mon père et ma mère tout en contribuant au rituel familial, l’écossage de paniers entiers de petits pois fraîchement cueillis au jardin cheminot, en bordure de voie ferrée.

A cette époque, on suivait les tournois en parfaite innocence. La notion de tableau n’existant pas, on prenait vraiment les matchs les uns après les autres, comme on dit dans le xylolecte des sportifs, en ignorant qu’une main invisible avait déjà prévu que les destins de Fibak et de Dibbs se croiseraient trois tours plus tard. Tout était possible dans le bonheur tranquille de l’ignorance.

Avec Roland-Garros, la saison de tennis touchait à son terme. Wimbledon était en ce temps-là un tournoi très court, se jouant à deux joueurs et sur un seul match, la finale.

Alors arrivait le plein été, la chaleur et l’ennui. Je tapais la balle au club des cheminots avec une Head Arthur Ashe achetée d’occasion : un engin magnifique avec lequel j’avais toutes les peines de taper un revers à une main ; faut dire qu’elle pesait un âne mort et que je faisais trente kilos tout mouillé. L’après-midi, j’attendais le début des retransmissions du Tour de France, pour voir suer Van Impe, Hinault, Zoetemelk. Puis venait, fin juillet, l’événement tennistique, le summum de l’été télévisé… j’ai nommé : la Coupe de Galéa, à Vichy ! Antenne 2 avait un créneau de sport tous les après-midi, fait d’aviron et de tir à l’arc : Sports été, ça s’appelait. Et pour meubler les heures de programme, heureusement, il y avait cette compétition par équipe, sorte de Coupe Davis des moins de 18 ans… J’y ai vu s’affronter les espoirs de l’époque, les mousquetaires français Noah, Gilles Moretton, Pascal Portes. Et le jeune Lendl au physique en lame de couteau, puis le très stylé José Luis Clerc… Les commentateurs s’appelaient Christian Quidet (je détestais son côté parisien pontifiant suffisant), Daniel Cazal (j’aimais son côté méridional blagueur), Hervé Duthu aussi je crois. La France, emmenée par Noah, triomphait des Tchécoslovaques, espèce européenne aujourd’hui dissoute. J’étais fier.

La saison se terminait sur ces exploits pleins de promesse d’avenir.

Ainsi, j’ai longtemps vécu à une époque où le tennis, c’était cinq semaines par an. Les semaines de télé. Le reste du temps, on n’y pensait plus, on faisait autre chose. Dans mon entourage, personne ne savait comment fonctionnait le classement des joueurs, on n’avait pas de site pour trouver in extenso le règlement et ses subtilités de casuiste, ni pour fournir en un clic la liste des vainqueurs depuis 1896 ; rien non plus concernant le pourcentage des points gagnés sur deuxième balle adverse par des gauchers contrariants et Midi Libre ne donnait pas le classement des joueurs chaque semaine. L’Équipe, à la maison, c’était les rares fois où mon père ramenait du boulot un exemplaire oublié dans un wagon. Mais comme il n’était pas fana de sport en général… Après juillet donc, c’était la trêve. L’Australie n’existait pas, dévorée par le décalage horaire, les USA et … la terre battue de Forest Hills non plus, vu que les programmes télé s’arrêtaient à 23 heures. Et l’on voyait réapparaître les joueurs au mois d’avril, toujours à Nice, sans doute sortis de quelque placard et sentant la naphtaline. Je n’imaginais pas un seul instant qu’il existât des tournois toute l’année. Aujourd’hui, je sais… Pas pour rien si Connors a plus de 100 tournois dans la besace.

J’ai décroché en même temps que Borg. J’avoue : j’étais plus Borg que Mac. Je sais, c’est mal. Mais on ne m’enlèvera pas de l’idée que pareille précision avec un petit tamis en bois tendu comme une porte de vestiaire supposait une technique que ne possèdent pas les remiseurs d’aujourd’hui à la gestuelle approximative. Borg parti, pas mal des cinq semaines perdaient de leur intérêt. Et la Coupe de Galéa n’était plus diffusée…

J’ai quand même vibré, mais épisodiquement, pour quelques Edberg – Becker. D’un œil, j’ai regardé Sampras, heureux de le voir terrasser Agassi, insupportable incarnation du mythe américain honni : short en jeans et chevelure ô combien improbable. J’ai assisté à la naissance du tennis de bourrin avec Courier, pour lequel je n’avais alors aucune sympathie (sur lui, intelligent interviewer, et sur Mac, génie fulgurant du toucher gynécologique, mes jugements ont changé ; je ne leur en veux plus). J’ai apprécié, mais de loin, que le beau Marat rompe l’ère glaciaire du tennis espagnol sur terre battue, laquelle me fit entrer dans une véritable h(ibère)nation…

Pendant les années 1990, les saisons se réduisirent donc à quelques matchs de Roland-Garros (tout de même…) et à un ou deux weeks-ends piolinesques de Coupe Davis sur France 3.  Au début des années 2000, j’ignorais même volontairement que Hewitt, que j’avais vu trimer une fois ou deux, était numéro un. Ma passion pour le tennis était toujours là, intacte, mais je préférais la vivre sur les courts.

En 2005, j’entendis parler de Federer : on rapportait qu’il jouait vraiment bien. J’étais tellement déconnecté que j’ignorais qu’il avait déjà quelques tournois du Grand chelem en poche. Mea culpa.

Intrigué, je me suis dit que je ratais peut-être quelque chose. Mais je vivais alors au Mali, Bamako, Torokorobougou, « le village du vieux figuier »… Il y avait bien Canal Horizon, mais n’étant pas abonné au bouquet satellite idoine, je ne pus me faire une idée. Et le Roland-Garros de France 2 n’était pas le lieu propice à ses exploits. A vrai dire, le Suisse ne m’était pas totalement inconnu : je l’avais vu en Coupe Davis éliminer la France à lui tout seul. Internet m’apprend que c’était en 2003 : dont acte. C’était la première fois que je le voyais jouer. Un très bon joueur, mais un peu énervant car il ne ratait rien. Je ne savais pas que ce serait la dernière fois que je souhaiterais sa défaite… Maxima culpa ! Nationalisme, quand tu nous tiens !

J’ai été rattrapé par le virus lors d’une finale de Masters : Federer – Blake, 2006. Le tennis, ça pouvait être ça ? Ce fut comme une apparition. Les flaubertiens apprécieront.

Et puis, ma vie a basculé. J’étais désormais à Madagascar, j’avais le bon bouquet satellite cette fois, et je pouvais suivre les matches avec le décalage horaire. Bien pour l’Australie et Dubaï, mais c’est tout… Ça fait drôle de regarder Roland-Garros depuis Tananarive : à six heures, il fait déjà nuit et pour apporter un peu de chaleur en ce début d’hiver austral, quelques bûches d’eucalyptus flambent dans la cheminée… C’est à Madagascar que j’ai découvert ce que j’appellerai le « tennis annuel hebdomadaire ». Semaine après semaine, un tournoi. Les tournois avec RF, et les tournois sans. Le stress des scoreboards sur l’Équipe et Eurosport. Les sites spécialisés. Les forums. Maître Yoda. Et puis l’attente des tirages de tableau, que j’imprime pour les mémoriser, le vendredi précédant le tournoi. Quelques tournois m’échappaient encore car je n’avais pas de streaming, et je pense même que j’ignorais alors l’existence de cette technique. De toute manière, au sud du Sahara, Internet est ravitaillé par les corbeaux. Et à prix d’or, mais avec le débit d’une source de garrigue en juillet : pas de quoi dépasser la succession d »images fixes.

2008, c’est le retour en France. Évidemment, je commence par racheter tout ce que j’avais laissé à Madagascar et qui était vital. Une télé et un abonnement, donc. Je comprends vite que je suis obligé d’avoir à la fois Canal et Canal Sat si je ne veux rien rater. En 2011, je découvre que je me suis fait avoir et qu’il faudrait migrer sur Orange. Heureusement, il y a le streaming. Au début, c’est au petit bonheur la chance. Puis on suit les bons conseils des anciens sur Sportvox et 15love, qui aident à se dépatouiller dans la jungle incertaine des images : ATDHE, Livescorehunter sont là. Plus moyen de rater un tournoi. Ni un match. On se prend à suivre même un improbable Chela – Garcia-Lopez, parce que le vainqueur rencontrera le maître… peut-être… dans deux tours !

Les années civiles se déclinent désormais en semaines de tournoi. J’ai tout le calendrier dans la tête. L’ordre de tous les tournois de l’année n’a plus de secret pour moi. Il y a deux catégories : ceux où RF joue et ceux où les autres ont des chances de s’entretuer.

Cette tyrannie du calendrier, que je me suis imposée, est née d’une rencontre : d’un côté, ma conception du tennis comme jeu (plus que comme sport) avec un corollaire, la recherche de l’émotion esthétique que ce jeu, bien joué (et  n’est pas un hasard si ce mot fait également sens en musique ou au théâtre), peut procurer. Et le fait que cette recherche de petits moments de bonheur, que je sais éphémères, fragiles, incarnés par … peu de joueurs en activité, peut trouver à être satisfaite par un nombre toujours croissant de dealers d’émotion : direct télé, streaming, scores en direct, et, après coup, Youtube. Et là où ce sport est redoutable, c’est que chaque semaine, la pièce peut être rejouée dans son intégralité, mais avec une issue différente de la fois précédente. On a beau avoir été déçu du dernier cinquième acte, rien ne dit que ce coup-ci l’issue sera la même. Chaque semaine on relance les dés, on refait tout le match, on repart de zéro, on se reprend à rêver. Rien de comparable avec une saison de foot ou de rugby, où le dénouement ne survient qu’une fois par an. D’un côté, un coït par semaine (certes parfois interrompu), de l’autre de longues semaines de préliminaires avec une vieille maîtresse pour un résultat souvent décevant.

Voilà. Au passage, en préparant cet article, j’ai découvert que la Coupe de Galéa existait toujours. C’est à la Rochelle, à présent…

Et j’ai retrouvé le commentaire du capitaine de Coupe Davis de 2003, déjà Guy Forget, sur le jeune Roger Federer ! Un extrait « C’est de la trempe de joueurs comme Sampras, Agassi, Becker à une époque ou Edberg. Il ne l’a pas encore prouvé en Grand Chelem sur une quinzaine entière, mais il a mis la barre très haut. S’il continue à jouer comme ça, à n’en pas douter, il va en gagner des Grand Chelem !  ». Première d’une longue série de déclarations d’amour télévisées. Allez, pour l’intégralité, c’est ici et c’est cadeau.

Mais Nadal a raison : les saisons de tennis sont plus longues qu’avant.

About 

Classé 15/4, je joue au tennis depuis 40 ans... Appris à jouer avec une prise marteau, des années à m'en débarrasser.

Tags:

232 Responses to Le tennis dans la tête

  1. Jérôme 11 janvier 2013 at 08:48

    Salut Homais. Bienvenue. :-)

    Bon. Ou plutôt mince ! Je viens de voir le tirage de l’OA et c’est pire ce qu’on pensait.

    Certes, malgré le tirage au sort on était quasi certain que Djoko tirerait Ferrer pour la demi, mais là, il a non pas une autoroute mais carrément la rampe de lancement de Kourou devant lui. Il part avec un tableau aussi facile que celui que Nadal a finalement eu à l’USO 2010. Ce n’est sûrement pas le vieux PHM qui va lui poser problème. Ni même Berdych qui ne lui a en réalité jamais posé (Wimby 2010 est une anomalie statistique où Djoko n’avait pas de service).

    Federer et plus encore Murray ont un tableau très coton mais Murray est plus jeune. Donc entre eux ce sera kif kif. Ils vont s’entretuer en demi avant de se faire cueillir par le Djoker en finale.

  2. Noel 11 janvier 2013 at 09:32

    Chouette texte d’Homais pour lancer la séquence OA. Ayant commencé à suivre le tennis au milieu des années 1990, j’ai toujours connu ça en couleur mais par contre je me reconnais bien dans ton texte: la saison de tennis qui commence à Monte Carlos, l’ocre synonyme de fin d’année et de vacances prochaines, l’arbitraire de la programmation télé qui faisait qu’on prenait les matchs les un après les autres, comme diraient les footeux…

    Pour le tableau de l’OA j’avoue ne pas partager les premières réactions horrifiées ci-dessus. Tableau dense ou pas, le Djoker est de toute façon au-dessus de la mêlée, on pourrait dire d’à peu près n’importe quel tableau qu’il est en carton pour lui. Tomber sur Berdych sur cette surface, je ne pense quand même pas que ce soit un cadeau. Bien sûr les stats parlent pour Djokovic mais de toute façon, la liste des joueurs l’ayant battu sur dur lent dans des grands tournois depuis deux ans tient sur les doigts de la main de Django Reinhardt… Alors si on suit les stats, autant commencer le tournoi en demi-finale pour ce qui concerne Djokovic.
    Le deuxième quart avec est sans doute le moins dense mais je mettrais bien une pièce sur Almagro pour dégager le pou (petite la pièce, ça reste quand même Almagro).
    Le quart de Murray est le plus prévisible, je ne vois guère qui viendra perturber son duel avec Del Potro en quart.
    Quant à la partie de tableau de Federer, j’applaudis des deux mains! Elle est difficile mais d’autant plus excitante. Je conçois bien qu’on souhaite un titre supplémentaire pour le divin suisse, mais moi je préfère largement qu’il nous offre du beau tennis. Franchement, qui ça intéresse de voir les quatre fantastiques (enfin les trois en l’occurrence) écraser des no name d’une pichenette pendant dix jours avant de commencer le tournoi en quart ou en demi? Là se profilent des matchs de Fed avec Paire au premier tour, Davydenko au deuxième, Tomic au troisième, Kohlschreiber ou Raonic au 4e et Tsonga Haas ou Gasquet en quart. Bref, du beau tennis en perspective.

  3. William 11 janvier 2013 at 10:00

    La vraie difficulté du tableau de Federer est surtout la présence de Murray. Le reste permet de rêver à des beaux matchs : Tomic, Paire, Kohly… Murray était la grande inconnue, celui qui l’évitait prenait une très sérieuse option pour le titre, je fais donc du Djoker mon favori.
    Pas cool pour Harrison qui tombe encore sur un top 3 au deuxième tour… Je vois aussi un premier tour Verdasco-Goffin. L’année dernière ça n’avait pas trop réussi à Nando de tomber sur un petit jeune d’entrée de tournoi…

  4. Patricia 11 janvier 2013 at 11:06

    A part les cris d’horreur sur le tableau de l’AO, une nouvelle plus qu’intéressante côté jeunes : après Dimitrov en finale, c’est Tomic qui s’y colle. Ca m’incite à réitérer ma prédiction : dans l’escouade de la relève, ces deux-là joueront les premiers rôles dans 4-5 ans.

  5. Remy - Karim d'Or RYSC RG-UO 11 janvier 2013 at 11:07

    Vous pouvez commencer à réfléchir sur la première grande étape du RYSC.
    Voici la liste des 16 têtes de séries du tirage au sort de la nuit.
    Djokovic
    Federer
    Murray
    Ferrer
    Berdych
    Del Potro
    Tsonga
    Tipsarevic
    Gasquet
    Almagro
    Monaco
    Cilic
    Raonic
    Simon
    Wawrinka
    Nishikori

    et le tableau complet ici : http://www.australianopen.com/en_AU/scores/draws/ms/index.html

  6. antsiran23 11 janvier 2013 at 11:11

    De toute façon, Federer n’est pas un Melbourne addict. Je vois Murray/Djokovic largement favoris pour la finale avec un avantage pour Murray pour le titre. A moins que Delpo tienne le rang qui lui revient…

    • Homais 11 janvier 2013 at 12:31

      Non pas d’addiction à Melbourne pour lui. L’addiction ça commence à 5 titres…

  7. Guillaume 11 janvier 2013 at 12:41

    @ Homais : pour les avatars, c’est par là http://www.15-lovetennis.com/?page_id=58

    @ Nath : sens-tu ce vent de pertinence souffler sur ton prochain article ? Dans le boulot, j’adore cette sensation de l’article humé avant même que les embruns de l’actualité ne viennent vous siffloter « Tu avais raison ! ». La percée de Lisicki en 2011, la résurrection de Haas en 2012 et la flambée de Janowicz à Bercy sont ainsi quelques-unes de mes plus belles anticipations ;)

    A part Jérôme qui déprime à l’avance devant le résultat final, je vois qu’on est finalement assez nombreux à être contents du tirage. Moi ça me fait un peu ch… pour Paire ou Harrison de les voir d’entrée se coltiner des matchs injouables, mais en même temps ça m’excite beaucoup plus que des sempiternels Federer-Murray, Djokovic-Ferrer, Murray-Simon, Federer-Tsonga ou Ferrer-Tipsarevic. Les matchs de Tomic, Dimitrov, Harrison, Paire, Goffin (s’il passe la Verdasque, il retrouve Malisse… miam), Ebden (vs Youzhny) Rufin (contre Berdych peut-être), pourquoi pas un Almagro – Janowicz aussi, ça ce sont des matchs que j’ai envie de suivre autrement qu’en scoreboard. Un petit Monfils – Dolgopolov, également. Tant pis si on doit encore endurer le décomplexé du slip à la fin du tournoi, mais d’ici là il faut que ça bouge les 10 premiers jours : plus les 20-21 ans attendent pour percer, plus la durée de vie de Djokovic au sommet s’allonge.

    • Nath 11 janvier 2013 at 13:44

      C’est plutôt agréable en effet :)

    • Homais 11 janvier 2013 at 14:19

      Merci Guillaume pour le lien. mais plus je contemple mon avatar, plus il me plait, la guitare, le petit côté stupide et satisfait qui convient à mon pseudo et surtout, le caractère cyclopéen prononcé qui nous ramène à Homère (cf. mon échange avec Concombre)… Bref, je garde.
      Le jour où vous n’en pouvez plus de le voir, vous me le dites. Doit bien y avoir sur le net un gros plan de Lendl s’arrachant un cil.

  8. Patricia 11 janvier 2013 at 13:21

    Eh oui, Slipman a de beaux jours devant lui, au moins dans ce tournoi.
    Mais pourquoi se récrier ? En 1/4, Berdych, Tsonga, del Potro, Tipsa… C’est peut être Berdych le plus pénible dans ce tournoi, même si on se dit qu’il devrait être serein pour tous.

    Il n’a pas tiré les outsiders hors TS les plus prestigieux ? PHM, Harrison, Lopez ou Baker ne font pas le poids, mais je doute que Davy, Paire, Davydenko, ou Tomic lui aient posé d’ultimes problèmes, et tant mieux pour eux et pour nous, ces derniers mangeront éventuellement du Doudou au lieu du slip !

    Pour Fedou, Tsonga vaut bien mieux que Berdych ou del Po ; c’est surtout Murray et Djoko qui peuvent rencontrer du coriace en 1/4.

    Ca se trouve, Djoko n’aura ni Ferrer, ni Tipsa en 1/2 (Almagro, Baghdatis, Nishikori,Dimitrov en feu…) – et tout le monde dira qu’il a un bol incroyable ! Et Fed pourrait hériter de Haas, Rao, ou Gasquet en 1/4, et del Po refaire le coup des JO en sortant Murray… des 1/2 Djoko/Baghda et Fed/del Po ça nous changerait, tiens !

    • Remy - Karim d'Or RYSC RG-UO 11 janvier 2013 at 13:55

      Plus je regarde le tableau plus je pense que Nishikori ou Dimitrov peuvent s’incruster en 1/2.
      Pour le japonais, seul Ferrer peut lui barrer la route.
      Un poil plus compliqué pour le bulgare avec Tipsa et Almaagro, mais ca reste la partie de tableau la plus jouable.

  9. Skvorecky 11 janvier 2013 at 17:43

    Un peu de littérature dans ce monde de cogneurs, ça ne fait pas de mal! Merci Homais. Contrairement à ce que ton pseudonyme pourrait faire croire, tu n’as pas l’air d’un philistin!

    Les autres, on dirait que n’avez pas chômé pendant les fêtes. Le boxing day marche aussi sur 15-love? Ça fait bien des lectures en retard…

  10. Colin 11 janvier 2013 at 20:23

    Hé ben voici un article qui a des tas de points positifs:
    1/ Il nous permet de découvrir un nouvel auteur fort doué, et qui en plus a du répondant
    2/ Il me rappelle, ainsi qu’à tous ceux de ma génération, bien des souvenirs d’enfance (ah, la tévé en noir et blanc, ah, Daniel Cazal et ses blagues à deux balles…)
    3/ Il fait sortir ou ressortir du bois des tas de posteurs qu’on croyait perdus pour la science

    Pour toutes ces raisons, sois remercié, Homais.

    Et en plus, comme je suis le dernier à poster mon commentaire, toutes les blagues vaseuses sur ton pseudo ont déjà été faites (mentions spéciales à Guillaume et Concombre) ce qui m’évite de me couvrir de ridicule.

  11. Colin 11 janvier 2013 at 20:35

    Au fait, Homais, tu ne serais pas fan de Gérard Manset par hasard? Because cette chanson

    Ça nous ferait un point commun de plus.

  12. Ulysse 12 janvier 2013 at 10:20

    Je ne suis pas déçu par mon passage en coup de vent sur le site. Soit le bienvenu Homais !

  13. Patricia 12 janvier 2013 at 11:20

    Tomic, décidemment inénarrable de melon mutant. Avec lui, l’autosatisfaction federienne est reléguée aux oubliettes :

    « Il était temps que j’atteigne une finale. J’ai eu beaucoup d’occasions – enfin beaucoup, disons qu’il y a eu plusieurs tournois où j’étais en quarts de finale l’an passé et où j’ai perdu dans des matches serrés. « 

    • Skvorecky 12 janvier 2013 at 11:44

      Excellent!

      C’est même Usain Bolt qu’il a dans le viseur, là. S’il gagne un grand chelem, ça risque d’être mythique.

      (Pour ne parler que tennis, c’est d’ailleurs ce que je souhaite à nous autres spectateurs, car c’est un talent comme on n’en voit pas souvent.)

  14. William 12 janvier 2013 at 11:46

    Et premier titre en carrière pour Tomic ! J’ai bien cru qu’il avait loupé le coche avec cette balle de break manquée à 2-1 pour lui dans le troisième. En espérant que ce ne soit pas son dernier titre et qu’il ne soit pas trop fatigué pour Melbourne !

    • Patricia 12 janvier 2013 at 12:22

      Moi aussi j’adore son jeu ! Mais depuis deux citations, je commence à engranger en prévision du « Ainsi parlait Bernard Tomic » !

      Pour te répondre sur dimitrov, oui, le petit canaillou a fait parler son charme slave… Je te dis pas le duo de blondasses-aux-jambes-interminables en tribune dans les futurs matchs Tomic/Grigor, vu l’attraction du premier pour les crins lavés interchangeables !

      • Patricia 12 janvier 2013 at 12:31

        La décla de Tomic la semaine dernière, corrigée après son titre à Sydney : « Il beaucoup progressé. Il sert vraiment bien et ses coups de fond de court sont bons également. Il se déplace aussi tès bien. A ce stade, il n’y a pas grand chose de plus qu’on puisse lui demander. Au service, il trouve désormais beaucoup plus d’angle. Il adore servir comme ça. Même si ça revient, Il a le court entier pour faire ce qu’Il veut… »

        Tremblez pour son premier 1/4 en GC !

      • Guillaume 12 janvier 2013 at 15:37

        Pour mémoire son 1er quart en GC est déjà atteint depuis longtemps : Wimbledon 2011, sorti des Qualifs, à 18 ans.

        D’avoir vu la finale ce matin, ça m’a rappelé pourquoi j’aime bien ce joueur :
        1- sa tête à collectionner les baffes dans la cour de récré
        2- son énorme melon et ses gestes antisportifs (poing brandi quand Anderson commet la double faute qui vaut break dans le 3e set ! On aurait dit le Hewitt de la grande époque)
        3- sa qualité de frappe, sa richesse technique et son sens de l’anticipation
        4- last but not least, son affection pour les balles molles juste derrière le filet. Des balles toutes connes, façon joueur du dimanche, mais super chiantes pour l’adversaire : non seulement il ne peut rien en faire de potable, mais il se retrouve en plus piégé à mi-court, pile dans la zone interdite par tous les manuels, désemparé. Dans le cas d’une brute aux cannes aussi grandes que peu souples comme Anderson, c’en était hilarant.

        Je vous le dit, on ne va pas s’ennuyer avec ce gamin.

        • Patricia 12 janvier 2013 at 17:25

          Ah ben voilà ! Tout s’explique ! (je croyais que c’était en 1/8è).
          Donc, non seulement ils vont apporter du contrepoison au niveau du jeu, mais en plus, ils seront un antidote à la mièvrerie entre les points (à moins que Dimitrov se fédérise et arrête d’estropier les juges de lignes) !
          (Si Gulbis pouvait se remettre au tennis et Dolgopolov se racheter une santé, fini l’aseptie du circuit !)

          • Patricia 12 janvier 2013 at 17:26

            607908-bernard-tomic-in-orange-bmw.jpg

              • Patricia 12 janvier 2013 at 17:31

                « BERNARD TOMIC sealed a breakthrough victory when he defeated South African Kevin Anderson 6-3, 6-7, 6-3 in the final of the Sydney International.

                He celebrated with gusto, falling to his knees and kissing the Ken Rosewall Arena’s centre court; ripping off his shirt and hurling it into a crowd that had roared him home. He told Rosewall, a living legend, it was a pleasure to have played in his presence and with his father, John, watching from the stands with tears in his eyes, Tomic walked off … without his first senior trophy. »

                Comme tu dis Guillaume, on ne va pas s’ennuyer…

  15. Patricia 12 janvier 2013 at 12:33

    Sinon voici l’opinion de Berdych sur la règle des 25 secondes (Monfils était plus amusant, quoique…) : « Cela ne va pas faire progresser le jeu. Il n’y aura plus aucune chance de voir des matches comme la finale de Rafa et Djoko l’an passé. J’ai fait l’expérience de la règle à Chennai et je n’en étais pas content du tout. Je ne vois aucune bonne raison qui justifierait l’application de cette règle. Quand il fait chaud, c’est quasi-impossible de respecter ces 25 secondes. A Chennai par exemple, c’était très humide et on avait vraiment besoin de la serviette après chaque point. Toutes les habitudes qu’on avait depuis toutes ces années sont balayées en une seule décision. Je n’ai jamais vu un joueur ralentir le jeu dans un but malhonnête. Pas un. Jamais. Et ils débarquent avec cette idée. [...] Ils auraient dû nous prévenir plus tôt afin que l’on puisse s’y préparer pendant l’inter-saison parce qu’il faut vraiment apprendre à faire les choses différemment si on veut respecter les 25 secondes. Il faut de l’entrainement. »

    Rien que pour ça, ça valait le coup !

    • Colin 12 janvier 2013 at 13:00

      Ben ouais qu’est-ce que tu crois, il faut un sacré entraînement pour arriver à enchaîner les opérations suivantes en moins de 25 secondes:
      1. se retourner vers le ramasseur de balles qui est en charge de ta serviette, lui faire signe de te l’amener
      2. attraper la serviette de la main gauche (cas d’un droitier comme Berdych)
      3. se sécher le visage, le front, le crâne, la nuque
      4. se sécher le bras droit
      5. passer la serviette dans la main droite tout en passant la raquette dans la main gauche (opération très compliquée nécessitant une grande concentration, sinon on fait tomber par terre la raquette ou la serviette, voire les deux, ce qui occasionne une perte de plusieurs secondes)
      6. se sécher le bras gauche
      7. se sécher à nouveau le visage, le front, le crâne, la nuque, car depuis l’opération 4, la sueur a eu le temps de revenir, surtout en cas de chute lors de l’opération 5, de plus cette opération permet de se sécher la paume et les doigts de la main droite
      8. renvoyer la serviette au ramasseur
      9. repasser la raquette dans la main droite
      10. faire signe aux ramasseurs d’envoyer des balles
      11. sélectionner 2 balles parmi celles envoyées
      12. se diriger vers la ligne de fond
      13. se placer en position de service
      14. faire rebondir la balle N fois, N étant inférieur ou égal au résultat de la fonction suivante: arrondi((25 – temps passé pour les opérations 1 à 13) / (durée moyenne d’un rebond))

      Non sans déconner il faut s’appeler Einstein pour être capable de faire ça sans entraînement!

      • MarieJo 12 janvier 2013 at 16:37

        ah tu es bien moqueur cher colin, mais il n’y a rien de plus dur que de changer une routine bien huilée ;)

        ce qui risque de nuire à son application, c’est qu’elle ne s’applique pas en GC…
        ce qui devrait être réduit c’est le temps entre premier et 2è service, où rafa pour ne pas le nommer redemande encore la serviette ! s’ils commencent à gommer les abus ça sera déjà pas si mal !

        après, comme l’a rapporté tignor dans l’article sur monfils qui râle sur la règle, même pour un gars qui transpire beaucoup, il était arrivé à s’y mettre sur la fin de match… comme quoi berdych est vraiment de mauvaise foi ! et le passage sur le ralentissement de jeu pour pourrir l’adversaire n’a jamais existé, j’espère que qqu’un lui rappellera son match à wimb contre santoro !

        • Homais 13 janvier 2013 at 11:01

          La mode de la serviette ! A croire qu’il y a quinze ans, peut-être moins,il faisait moins chaud. Le réchauffement climatique est donc une réalité mesurable avant tout au comportement des tennismen entre deux échanges.
          Faut pas déconner, la sueur n’est gênante au tennis que quand elle te tombe dans les yeux. Avant, y avait des bandeaux pour les fontaines capillaires genre Roddick-à-la-casquette-qui-goutte, et des tours de poignet pour essuyer le front et les sourcils. Pour le reste, t’attendais le banc !
          Faut faire un article à partir des vieux you tube pour voir l’évolution dans le temps de ce rituel.

  16. Kaelin 12 janvier 2013 at 14:17

    http://www.canalplus.fr/c-sport/c-tennis/c-tennis-atp/pid3441-c-tennis-atp-videos.html pour ceux que ça interesse, un reportage/interview de Gilles Simon, notamment sur vie sportive sans entraineur.

  17. Homais 12 janvier 2013 at 16:20

    Oui Colin, j’avais 14 ans et le Voyage en solitaire, qu’on écoutait avec un copain en commentant, ça avait été quelques chose ! Manset, c’était une sorte d’ovni dans le paysage, c’était âpre, amer, désespéré. Bref quand t’as quatorze ans et que t’as forgé ton caractère en vomissant Casimir, c’est le pied.
    Manset, c’était le temps où on passait des heures chez le disquaire – info pour les plus jeunes : le disquaire était un petit magasin au centre-ville, tenu par chevelu qui n’avait pas 30000 galettes dans ses bacs mais qui connaissait chaque truc en magasin et pouvait te commander la perle rare, que tu attendais deux bonnes semaines comme un jeune marié à qui on a fait promettre abstinence – des samedi après-midi juste à regarder les pochettes, c’était la principale occupation, ça coûtait pas un rond; et puis y avait des filles qui faisaient pareil de l’autre côté des bacs, l’air faussement occupé… Puis un beau jour, un lendemain d’anniversaire, on se lançait avec son billet bleu de 50 et on en ramenait un ! Ah, la sensation de la première fois où on effeuillait l’objet ! En fait de nuit de noces, c’était une véritable tournante : on ramenait et le truc et les copains dans la chambre et, à deux ou trois, on se le tapait. Et pas qu’une fois ! Fallait bien deux écoutes intégrales, histoire de se faire l’oreille, et puis un débat digne des after de cinés clubs…
    Colin, ça te dit ?

    • Colin 13 janvier 2013 at 14:03

      Ah oui ça me parle tout à fait, des après-midis chez les disquaires j’en ai passées quelques unes, ainsi que des nuits à décortiquer le dernier 33t de untel (Charlélie, Manset, Renaud, Higelin…) avec des potes.
      Le trip ultime, ça a été en août 1981 à Londres, le quartier de Soho en était rempli (de disquaires), j’y ai passé un temps déraisonnable, pour finalement ramener juste 3 ou 4 LP vu l’état de mes finances.
      J’y suis retourné il y a deux ans, désormais Soho est envahi par les boutiques de fringues de marque, il n’y a plus qu’une seule rue où subsistent encore 2 ou 3 disquaires résistants, comme au bon vieux temps.
      « Moi-même, un jour, j’ai voulu
      Tout vérifier, j’ai tout vu,
      J’ai tout lu,
      Parcouru
      L’étendue.
      J’ai rien reconnu. »

      • Homais 13 janvier 2013 at 15:04

        Charlélie… la ballade du mois d’aout 75, puis Poèmes Rock ça avait été un choc.

  18. Patricia 12 janvier 2013 at 17:48

    Eh ben les HL de la finale Anderson/Tomic… ça faisait un moment que le filet n’avait pas vu aussi souvent de près deux joueurs, je suppose !
    http://www.youtube.com/watch?v=Rg_aSm25mHg

    En plus il fait presque 2 mètres, il doit avoir une marge énorme au service, Bernie. Incroyable à quel point il utilise son slice, superbe… le plaisir d’agacer sans doute ! Et quelle capacité d’anticipation ! du coup, il peut en rajouter côté nonchalance de grande gigue… C’est la formule 1 du poil à gratter ce mec :twisted:

  19. Kaelin 12 janvier 2013 at 22:42

    Ils sont supers ces highlights, merci Patricia ! Anderson est pas désagréable à regarder jouer ma foi … et Tomic, quelle main, otut comme toi son slice est diaboliquement fourbe et efficace, j’adore !! Par contre j’ai vu dans la foulée
    les HL du Anderson-Bennet’ et autant Anderson est très efficace, Benneteau est complet mais vraiment complet moyen… sur certains matchs comme celui-là il donne vraiment l’impression de n’avoir aucuns coups forts et du coup se fait allumer derrière ! Pourtant il est assez constant, on peut pas dire… il arrive souvent en quart voire qqs fois demi de 250, donc on peut pas dire qu’il usurpe son statut de top 30-35, mais jle vois trop limité pour qu’il s’installe dans le top 20 durablement … Ca n’empêche qu’il a des qualités et qu’il a la gnac donc comme je l’avais déjà dit, j’aimerais tout de même qu’il gagne un titre dans sa carrière un de ces jours! Alllez, courage Julien, fais avec tes armes ^^.

    • Kaelin 12 janvier 2013 at 22:44

      tout comme toi, je trouve que son slice …* (peut etre est-ce un lapsus révélateur et que tu as un énorme slice mais bon, j’en suis pas sûr! :D )

  20. Sylvie 13 janvier 2013 at 11:09

    La suite du « Ainsi parlait Tomic »

    répondant ) Federer : « He has to get there as well.I beat Djokovic,he’s the world n1,i can do anything » ou encore « if he gets that far… »

    Après sa victoire à Sydney
    « When you know that no one can beat you, not even the No. 1, you got a good feeling. »

    • Remy - Karim d'Or RYSC RG-UO 13 janvier 2013 at 11:25

      Plus dure sera la chute :D

    • Sylvie 13 janvier 2013 at 14:21

      C’est fou comme la presse déforme. Federer a dit en conférence de presse que ce serait une erreur pour Tomic de penser déjà à ce troisième tour, qu’il faut déjà y arriver, ce qui est plus un conseil de vieux briscard et qui est valable pour tous les joueurs et pas « il faut qu’il y arrive » qui semble une vacherie alors que dans la conversation ça n’avait pas ce but là.

      • Kaelin 13 janvier 2013 at 14:44

        Ah ok, oui je reconnais ne pas avoir regarder l’original… Le problème est que j’ai un niveau d’anglais assez faible et j’ai peur de déformer moi même inintentionnellement la déclaration, du coup jme fie trop à la traduction de la Presse (celle en qui j’ai confiance, pas tous les médias), alors que même sur de grands sites, ya parfois des interprétations ou déformations grossières en effet.
        Merci pr le recticatif en tout cas.

  21. Antoine 13 janvier 2013 at 15:01

    Salut et bonne année à tous !

    J’ai compris que le fil de l’actualité était ici puisque l’article d’Arno est dédié au dépôt des pronostics concernant le RYSC et que le mien, en ligne depuis ce matin 0h00, est également uniquement dédié à recueillir les dépôts de vos équipes pour G&D 2013.

    Et puisque je suis ici, c’est une raison supplémentaire pour saluer et féliciter Hornais, nouvel inscrit qui signe un coup de maître d’entrée. Je viens de lire l’article qui m’a beaucoup plus, non seulement parce que c’est bien écrit et amusant, mais également parce que cela rappelle quelques souvenirs (Ah! la coupe Galéa !), enfin parce que les indications autobiographiques de l’auteur permette d’en déduire qu’Hornais fait partie des fossiles dans mon genre et que cela fera donc deux mollusques sur un rocher qui n’est pas forcément celui de la principauté, bien connue déjà avant même que Nadal ne rachète le tournoi voici huit ou neuf ans, ce que les plus jeunes ne peuvent évidemment pas savoir.

    Peut être ai je mal lu les commentaires, Hornais, mais il me semble que personne, même William, ne t’a posé la question subsidiaire dont la réponse conditionne la durée de ton séjour parmi nous, et je la pose en toute ingénuité bien entendu, d’autant que tu ne peux pas prétexter de ton jeune âge pour prétendre ne pas connaître le personnage comme certains ont osé le faire avant toi, généralement à leur détriment.

    La question est simple à formuler et la réponse peut tenir en peu de mots, pourvu que ce soient les bons, naturellement.

    Hornais, que penses tu du dénommé Ivan Lendl ?

    Cela étant fait, j’ajoute seulement quelque mots pour dire que je n’ai absolument rien vu, ni lu au sujet des tournois des deux dernières semaines, que j’ai simplement appris le nom des vainqueurs, que je vais tâcher de me renseigner un peu plus à leur sujet, de même que s’agissant des vaincus, et que je viens de jeter un oeil sur le tableau de Melbourne que je vais regarder à nouveau bien qu’il semble à première vue que cela soit du tout cuit pour Roger, à moins que Ferrer ne remporte le tournoi bien entendu.

    Un mot enfin adressé à Patricia pour la féliciter également au sujet de son article sur notre ami et tête de turc Richie qui démontre si besoin était la nécessité impérieuse de la présence de Patricia ici même car si elle n’existait pas, Richie se retrouverait tout nu, sans défenseur attitré. Et l’on peut dire ce que l’on veut au sujet de Richie, mais il demeure que si Nadal n’a pas besoin de Coach pour se défendre, on peut difficilement en dire autant de Richie. Que serait Richie sans Patricia, telle est la question ?

    • Homais 13 janvier 2013 at 21:10

      Antoine, cher Antoine… j’attendais la Question. En ton absence, William, en fidèle second couteau, avait pointé le bout de son nez.

      Je ne saurais mieux te répondre qu’en collant ce que j’avais alors pris le risque de lui écrire…

      « Je commence donc par LUI. Je ne l’ai point haï en son temps. C’est assez ambigu comme réponse, j’espère… Je m’en tiendrai là ! Aux exégètes de commenter. Je ne vais pas tout dévoiler ainsi, dès le premier jour ! On ne se connaît pas assez même si moi, je lis les plus anciens depuis SV… »

      En évitant de le nommer, j’ai donc réussi à envoyer un missile qui est passé sous tes radars, je m’en félicite, j’ai eu quatre jours de survie.

      J’ai été amené à compléter un peu plus tard…
      « Pour le concours de pendaison, je dois t’avouer qu’à l’époque j’aurais pas mis l’escabeau. Pourtant, il battait Noah plus souvent qu’à son tour. Après, oui, j’aurais bien fourni la corde. C’est quand il a demandé la nationalité américaine… J’ai tout bon là ? Non ? Aïe… »

      V’la pour l’essentiel. Lendl, je l’ai connu post-ado, il avait déjà sa tête de croque-mort mais son côté mort de faim plaidait pour lui. Il était pas du côté des winners et ça suffisait à me le rendre sympathique. Au sommet de sa carrière, je ne vibrais pas pour lui – excuse la tautologie – et oscillait entre indifférence et reconnaissance que, quand même, il en voulait le gars…

      Bon, s’il y a un avocat de la défense dans la salle, qu’il vienne à mon secours.

      • Antoine 13 janvier 2013 at 22:20

        Tu aurais bien fourni la corde ? C’est suffisant. Il ne manque pas de volontaire pour apporter l’escabeau et je peux sans problème me charger du reste et demander un croquemort de bien vouloir s’occuper de l’un de ses collègues !

        • Homais 14 janvier 2013 at 06:50

          Requiescat in pace…

  22. Arno, l'homme des antipodes 13 janvier 2013 at 19:09

    Un point sur le programme de la nuit pour les noctambules.

    A 1h du mat’ en ouverture, pas grand-chose à se mettre sous la dent : Sharapova/Pushkova sur le central, pour les fans de Masha ; mais aussi Hanescu/Nishikori, et surtout Benneteau/Dimitrov (sur le court 13, je ne sais pas s’il est filmé ou pas…)

    Vers 3h, Goffin/Verdasco, Russell/Berdych, ou encore Harrison/Giraldo.

    Aux alentours de 5h, Djoko/PHM sur le central, à suivre !! Mais aussi Youzhny/Ebden, Medina Garrigues/Bartoli (au cas où certains ne voudraient louper la belle Marion…) et Bogomolov/Baker.

    Si vous vous levez à 7h, vous tomberez sur Ferrer/Rochus, Bolelli/Janovicz et Troicki/Stepanek.

    La session de nuit commence à 9h chez nous, mais le seul match qui vaille qu’on s’y attarde est bien évidemment Hewitt/Tipsarevic !! Un match à suivre, d’autant plus que de nombreux joueurs du RYSC ont pronostiqué que Tipsa ne s’en tirerait pas…

    Je vous ai dit que j’étais de repos demain ?? Si vous avez oublié ce qu’est du match calling en solitaire, venez faire un tour sur le site cette nuit. MOUHAHAHAHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!

    • Nath 13 janvier 2013 at 19:34

      Courts 2, 3, 6 et 8, en plus des 3 principaux.
      Et pour ta dernière phrase, je viendrai faire un tour bien sûr, mais en silence, les lecteurs ne verront que ton avatar !
      (j’avais repéré 5h effectivement, je ne pourrai pas suivre la night session)

    • Arno, l'homme des antipodes 13 janvier 2013 at 20:00

      Merci pour les courts télévisés, Nath !!

      Vu que le Benneteau/Dimitrov n’est pas diffusé, je pense que pour moi ce sera 3h. J’ai bien envie de voir ce que vont donner Goffin, Harrison, mais aussi Berdych qui a un premier tour intéressant.

    • Sylvie 13 janvier 2013 at 20:04

      J’ai pris un abonnement à Eurosport player. Pour 5.90 par mois résiliable à tout moment tu as accés à de nombreux courts et tu peux choisir ton programme. Après tous les courts ne sont pas retransmis effectivement mais la qualité est bien meilleure que le streaming et ça bugue bien moins.

    • Antoine 13 janvier 2013 at 22:41

      T’as l’air en pleine forme Arno. T’es là bas ou je me gourre ? Va falloir que je me grouille pour regarder un peu sérieusement le tableau et poster vite fait sur ton truc, le RYSC…

      A propos de tableau, je n’ai pas lu tout les commentaires ou plutôt, j’ai lu vite fait, mais j’imagine qu’il ne doit plus y en avoir beaucoup qui se font des illusions sur les chances de Roger, non ? A supposer que ses chances étaient substantielles, ce que pour ma part je n’ai jamais pensé sur cette surface de daube. S’il avait été à la lace du Djoker, il avait sa chance mais là, c’est même pas la peine d’y songer. Lequel Djoker est en finale sauf à se tirer une balle dans les deux pieds tout seul comme un grand, avec deux jours de repos en plus, contre un seul pour son adversaire. Je ne vois vraiment pas comment il pourrait se démerder pour perdre ce tournoi. C’est plié, quasiment comme si c’était Nadal à Roland Garros, enfin j’exagère à peine. Il a le droit de se gauffrer tout seul aussi.

      Benneteau/ Dimitrov, ça cela peut être un bon match. Je me suis vachement renseigné: il parait que les deux ont bien joué depuis deux semaines.

      Je vois que tu mentionnes Hewitt contre Tipsy comme un gros choc à venir. C’est un des pires tirages possibles pour Tipsy en effet, sinon le pire. Je vois en plus qu’il est mené 3-1 dans leur H2H, ce qui veut dire que le Hewitt ne lui réussi pas prodigieusement bien. Bon, le dernier de ces matchs a eu lieu en 2009 et Tipsy a progressé depuis. Il est quand même en forme Tipsy, il vient de gagner à Chennaï il y a une semaine, non ? Il n’y avait personne cela dit. Et le Hewitt est supposé être en forme de son côté. Je viens de voir ses déclarations suite au fait qu’il a gagné l’exhib de Kooyong. Tout cela ne sent pas très bon pour notre ami Tipsy en effet.

      Bon Arno, t’as des tuyaux pour le RYSC parce que là, j’ai pas vraiment le temps d’étudier le truc ?

      • Remy - Karim d'Or RYSC RG-UO 13 janvier 2013 at 22:52

        Il te reste 2h pour valider ta liste Antoine :)

        • Antoine 13 janvier 2013 at 22:53

          Et t’as pas de tuyaux non plus, c’est ça ?

          • Remy - Karim d'Or RYSC RG-UO 14 janvier 2013 at 00:18

            Moi ? Des tuyaux ? Avec mon palmarès ? :lol:
            J’espère que Dimitrov va confirmer ce qu’il a montré lors de Brisbane, il y avait la manière et les résultats.

      • Skvorecky 13 janvier 2013 at 23:34

        Djokovic est loin d’avoir « déjà » gagné le tournoi comme on a pu le dire certaines années pour Nadal avant Roland Garros. Pour la bonne raison que même si la finale lui tend les bras, en y accédant il n’aura fait que la moitié du chemin. Contre Murray ou Federer, ce serait du 50-50.

        Cela me rappelle l’US Open et Shanghaï 2012, tournois qu’il a survolés jusqu’à la dernière ronde, où la pente s’est subitement élevée. Son avantage, c’est qu’il a une marge énorme face aux 125 autres joueurs, ce qui fait que son tableau semble souvent le plus facile, à tort.

        Je n’arrive pas à imaginer Del Potro battre Murray. Si ce match a lieu, l’Ecossais remettra tout et le cuisinera, tant et si bien que même si Del Potro accroche un set, il ne tiendra pas la distance.

        Pour Federer, l’inconnue est… Federer lui-même, puisqu’il a 0 match de compèt’ dans les jambes en 2013. Contre Paire ça devrait passer sans trop de problème. Tomic ou Raonic sont bien plus menaçants, mais vous verriez Djokovic ou Nadal être éliminés par ces joueurs en Grand Chelem, vous? Ils ont encore du chemin à parcourir. En tout cas ça pourrait donner de bons matches, c’est ce qui compte.
        Enfin, c’est vrai que Federer finira bien un jour ou l’autre par trébucher dans les premiers tours, et que ce jour-là prendra tout le monde par surprise. Tant mieux si c’est face à un petit jeune qui monte plutôt que face à Benneteau ou Troicki.

        J’oubliais qu’il pourrait tomber sur l’ami Davydenko au deuxième tour. Au moins il ne va pas s’ennuyer, et par conséquent nous non plus.

        • Antoine 13 janvier 2013 at 23:49

          D’abord le Djoker est quasiment en finale puisqu’il n’a personne dans son tableau. Ce ne sont pas Berdych ou Ferrer qui vont l’empêcher d’y arriver.

          Il joue sur sa meilleure surface et le tournoi du GC qui lui réussi le mieux

          Si jamais il tombe contre Roger, ce qui m’étonnerait, ce ne sera pas du 50-50, mais du 75-25 au mieux pour Roger. Il a perdu trois fois contre le Djoker à Melbourne et ne lui a jamais pris un set.

          Contre Murray la marge du Djoker est plus faible. C’est plus facile pour lui qu’à New York qui est quand même un poil plus rapide. En plus il aura un jour de recup de plus et Murray aura du ramer pour aller en finale. Vu d’aujourd’hui, ce serait du 66-33…

          Ce tournoi est pour lui à moins qu’il se plante tout seul ou que les conditions de jeu soient sensiblement différentes des autres années. On verra bien ce dernier point assez vite. J’ai lu l’interview de Bennetteau qui dit que cela rebondit moins haut. Ce serait donc plus rapide.

          • Skvorecky 14 janvier 2013 at 00:17

            Ben ça y est, c’est ta liste de RYSC que tu commences à échafauder dans ces commentaires. Grouille-toi, il reste moins d’une heure! ;-)

            Sinon j’aimerais continuer d’apporter des nuances à ton analyse. Federer n’a perdu que 2 fois contre Djokovic, et l’a quand même battu une fois, en 2007. Mais je trouve qu’aucune de ces rencontres n’est très significative. Si Federer arrive en finale, c’est qu’il sera en forme et il faudra alors le meilleur Djokovic possible pour lui tenir tête.

            Quant au jour de récupération en plus, il n’a presque jamais été un avantage ces dernières années: en 2008, 2009, 2010, 2012, c’est le joueur avec le moins de temps de récupération qui a gagné la finale.

            De plus, la dernière édition du tournoi infirme totalement la théorie de la promenade de santé pour le Serbe.

            Et puis, 75-25 et 66-33, entre nous, ce ne sont pas des probabilités de victoire très rationnelles entre membres du top 3…

            • Antoine 14 janvier 2013 at 01:47

              2 fois, c’est vrai, à chaque fois en trois sets..En 2007, Djoko était encore un gamin mais passons..

              C’est vrai que 75-25, c’est un peu dur pour Roger pour la raison que tu indiques: s’il est en finale, c’est qu’il joue bien.

              En revanche 66-33 entre des membres du top 3, c’est très courant: c’étaient les côtes de la demie et de la finale de Wimbledon, en faveur de Djoko dans le premier cas contre Roger, en faveur de Roger contre Murray dans le second.

              Le jour de récup en plus est bien un avantage réel, mais cet avantage n’a pas suffit au perdant..Son importance dépend beaucoup des parcours respectifs et en premier lieu de la demie de celui qui a le temps le plus faible. Cela n’a pas empêché Nadal de gagner en 2009 mais il était jeune, ce qui n’est plus le cas de Roger.

  23. Kaelin 14 janvier 2013 at 00:00

    Jme lèverai peut être vers 5h pour le PHM-Djoko perso. Si c’est le cas j’espère ne pas être le seul présent ici! (mais ça m’etonnerait :D). Mon coloc essaye toujours de comprendre cette étrange maladie qui nous unie et nous pousse à nous lever ainsi à des heures pareilles à cette période de l’année (en pleins partiels pour ma part, mais bon il suffit de dormir qqs jours de suite à la fin puis ça le fait)

    • William 14 janvier 2013 at 00:31

      Avec Arno et Nath la silencieuse, nous serons au moins 4 !

      • Kaelin 14 janvier 2013 at 00:51

        en fait j’hésite avec le Dimitrov-Benneteau qui devrait être bien plus serré, forcément et plutôt agréable. Faire les deux est tendu niveau sommeil lol, yaura du monde pour le Dimitrov-Bennet ?

        • Kaelin 14 janvier 2013 at 01:02

          ah nan merde c’estpas diffusé, donc jvais me coucher puis jme lève vers 5h! à toute !

  24. William 14 janvier 2013 at 00:33

    Antoine est de retour, parfait, Grandeur et Décadence réapparait avec lui, magique !

    • William 14 janvier 2013 at 00:35

      J’hésite à livrer ma liste… Allez, loin de moi l’idée d’être charognard et d’attendre les premiers résultats de l’Open d’Australie ! Je change de fil et m’y attèle.

  25. William 14 janvier 2013 at 01:41

    Déjà neuf jeux de joués entre Almagro et Johnson ! 5-4 pour l’Américain, à Almagro de servir. L’amerloque balance des mines au service, en gros c’est tout. Il fait penser à Querrey. C’est pas lui qui avait joué contre Gasquet au dernier USO ?

    • Patricia 14 janvier 2013 at 10:37

      OUi, et ça doit envoyer sévère : sorte de Tsonga, serveur-puncheur-volleyeur fou.

  26. William 14 janvier 2013 at 01:48

    Break à 5-5 classique ! Almagro sert pour le set à 6-5.

    Benneteau sert lui aussi pour le premier set, à 5-4, mais Dimitrov a mené 3-1…

  27. Antoine 14 janvier 2013 at 01:52

    Miss Sharapova a gagné le premier set du tournoi: une bulle…

  28. William 14 janvier 2013 at 01:55

    Heureusement qu’Almagro a lâché un beau revers sur la balle de set parce que le spectacle est pas franchement emballant ! Deux fois Johnson mène 30-0 sur le service adverse et deux fois il n’en fait rien, pas l’air très dégourdi celui-là…

    C’est fait pour Benneteau, putaaaaain ! On se réveille Grigor ! Benneteau m’avait déjà gâché la fête en éliminant Gulbis, qui sortait d’un super printemps, au premier tour de Roland 2010, j’espère qu’il ne va pas récidiver.
    L’entreprise de démolition Sharapova tourne à plein régime, merci pour elle : 6-0 2-0 service à suivre. Ah, la WTA…

    Allez, à plus tard les furieux !

    • Antoine 14 janvier 2013 at 02:00

      C’est d’un très bon niveau visiblement Dimitrov vs Benneteau: 0 fautes directe comptée au frenchie et une seule pour le bulgare jusqu’ici…

      • Nath 14 janvier 2013 at 05:00

        Je sors (déjà) de mon mutisme pour rappeler à ceux qui me liront que sur les courts non télévisés, 1W = 1 ace et 1UE = 1 double.

        (5h !!!)

  29. William 14 janvier 2013 at 02:07

    Et double bulle pour l’adversaire de Sharapova…
    Johnson a fait le break dans le deuxième set.
    Venus mène d’un set et un break.
    Nishikori a perdu le premier au tie break contre Hanescu.

  30. Arno, l'homme des antipodes 14 janvier 2013 at 03:11

    MOUHAHAHAHAHAHAHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!

    Bref, je suis là ;)

    Alors je sais pas si Dimitrov est l’avenir du tennis mondial, mais en tout cas c’est pas le présent… Prendre 4, 2 et 4 contre notre bon Bennet’, franchement… De bon augure pour notre Juju national, par contre.

    Nishikori a perdu le premier set contre Hanescu au casse cravate, mais il réagit vite et bien : 6/3 5/1 dans les deux suivants.

    Verdasco a breaké Goffin d’entrée, Giraldo a fait de même contre Harrison… Décidément c’est pas la fête aux jeunes !!

    Françaisement parlant, on notera que Rufin est sur le point de mener 2 sets à 1 contre Reister, et que Roger-Vasselin est sur le point d’être mené 2 sets à 1 face à Bemelmans !

    ANTIPOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOODES !!!!!

    PS: Masha faut pas l’embêter ;)

    • Patricia 14 janvier 2013 at 10:40

      oh le petit con ! juju c’est toujours dangereux mais qd mm ! me pourrir mon rysk comme ca, t as pas honte ?

  31. Arno, l'homme des antipodes 14 janvier 2013 at 03:13

    Malisse vient de retourner Andujar comme une crêpe, 3, 1 et 2. Merci d’être passé.

  32. Arno, l'homme des antipodes 14 janvier 2013 at 03:25

    Premier set Verdasco 6/3 contre Goffin. De beaux échanges, mais beaucoup de fautes.

    Je suis quand même favorablement impressionné par Goffin. Si tout se met en place chez ce garçon, là on a du top 10 potentiel à coup sûr tant il a de la foudre dans son bras.

    Et Giraldo met 6/2 à Harrison au premier set…

info login

pour le login activer sur votre profil la barre d'outils

Demande d’inscription

contactez-nous à : 15-lovetennis@orange.fr

Archives

Suivez nous sur Twitter

@15lovetennis